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Stabilité
et variabilité des génomes et évolution I.
L’apport de l’étude des génomes: les innovations génétiques Allèle : différentes versions d’un même gène Cellule diploïde : contenant deux exemplaires de chaque gène tel que
nos cellules Cellule haploïde : contenant une version de chaque gène tel que les
gamètes Homozygote : dit lorsqu’on a deux allèles identiques Hétérozygote : dit lorsqu’on a deux allèles différents Dominant : lorsqu’un allèle est le seul à s’exprimer dans le phénotype Récessif : lorsqu’un allèle ne s’exprime pas dans le phénotype Codominant : lorsque les deux gènes s’expriment au niveau du phénotype
1- Polymorphisme (P.88-89) Lorsqu’il existe plusieurs formes d’un gène, on parle de polymorphisme
génique. On considère plusieurs allèles lorsque au moins deux allèles dépassent
1% dans la pop. Ex : l’hémoglobine Pk ce polymorphisme ? Rôle de marqueur
d’identité
2- Origine du polymorphisme génique Changement ponctuel au niveau de l’ADN (= mutation : changement dans
la séquence des nucléotides) a) substitution : d’un nucléide par un autre -
mutation silencieuse : aa non modifié ®
protéine identique (redondance du code génétique) -
mutation faux-sens : aa modifié
® protéine modifiée, fonctionnelle ou non -
mutation non-sens : apparition d’un codon stop ®
protéine incomplète b) délétion ou substitution : manque ou ajout d’un acide aminé
-protéine modifiée car décalage du cadre de lecture Rq : Les mutations ( rare !) ne sont transmises que si elles
affectent les cellules sexuelles.
3- Mécanisme de la diversité allélique
(p.95) On parle de famille multigénique. Ex : les différents types d’hémoglobine Il y a l’idée d’un gène ancestral : des degrés de proximité
plus ou moins différents. On suppose que pour obtenir la présente famille
multigénique, il a fallu 450 Ma. Elle serait obtenue à la suite de multiple duplication, transposition,
mutation. Rq : Si on a une mutation, cela ne veut pas
dire qu’elle va se manifester, elle se manifestera seulement s’il y a un
changement d’environnement et qu’elle présente un avantage. Il y a beaucoup
de mutations mais les mutations acceptables sont rares, c’est pourquoi on dit
qu’il y en a une par million d’années. Quelques agents mutagènes : rayonnement
ultraviolet forts, rayons X, radioactivité (a
et b), radicaux libres provenant de
combustion (cigarette, cuisson), mines d’amiante. Tous les jours, les gens développent
des cellules cancérigènes mais équilibre avec le système. II .
Méiose et fécondation participent à la stabilité de l’espèce 1-
Cycle de deux êtres
vivants L’homme et le sordaria (p.139/ 109) 2-
Le passage de la phase
diploïde à la phase haploïde : la méiose Méiose : C’est la succession de deux
divisions cellulaires qui permet de passer d’une cellule diploïde à quatre
cellules haploïdes. a)
Les évènements chromosomique de la méiose Première division de méiose :
division réductionnelle Prophase :
la chromatine se condense ®
chromosomes visibles, les homologues assemblés, l’enveloppe nucléaire
disparaît Métaphase : les chromosomes se
regroupent au milieu et forment une plaque équatoriale Anaphase : Les chromosomes homologues
migrent vers un pôle différent Télophase : étranglement de la cellule
®
séparation, réformation Deuxième division de méiose :
division équationnelle Anaphase : les chromatides
de chaque chromosome se séparent (fissure des centromères) b)
Anomalies conduisant à un nombre anormal de chromosomes syndrome de Down (21), syndrome de Klinefelter (XXY),
syndrome de Turner (X_) Accidents possibles en première ou deuxième
division de la méiose III.
Méiose et fécondation sont à l’origine du brassage génétique
Apport des drosophiles : Monohybridisme : On s’intéresse à
seulement un caractère au cours du croisement Dihybridisme : On s’intéresse à seulement
deux caractères au cours du croisement Lors du cas de lignée ou races pures, on parle
d’homozygotisme pour le gène. Croisement test (test cross) : l’individu étudié
est mis avec l’individu double récessif, grâce à cela on peut savoir
exactement quels types de gamètes et en quelle proportion la première génération
a fait ses gamètes. Si les pourcentages de gamètes sont les mêmes,
alors on peut affirmer que les gènes sont sur des paires de chromosomes différents :
couple d’allèles indépendants. Si, au contraire, on obtient des phénotypes de
types parentaux en quantité différente alors il y a eu des crossing-over,
les gènes étudiés sont donc sur les mêmes chromosomes. Même chromosome : [phéno, type]
(GÉ NO//ty pe) Chromosome différent : [phéno, type]
(GÉ//ty) (NO//pe) Gamète : (GÉ/ ) IV.
Étude de trois exemples de relations entre mécanismes de l’évolution
et génétique 1-
Exemple 1 : la phalène
de bouleau p. 148 2-
Exemple 2 : le
paludisme p. 150 3-
Exemple 3 : allèle
neutre p. 153
disparaît ou reste : son
cas est aléatoire 4-
Exemple 4 :
homme prématuré jeune singe??
p. 154 | |||||||||||||||||||||||
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