Conte moral pour l'édification de la jeunesse

Ce site est une fiction et une création littéraire, en référence à :
- « L’ours et l’amateur de jardins » et "Le vieux chat et la jeune souris" de Jean de La Fontaine.
- « Le nœud de vipères » de François Mauriac.
- « Vipère au poing » d’Hervé Bazin.

Ce site décrit une prébendière «trou noir de droit divin», manipulatrice (qui mène son mari par le bout du nez) et captatrice successivement de biens immobiliers et/ou mobiliers issus, d’une donation d'un cas clinique de pervers après le choix d’une vie de pauvreté qui débouchera sur un échec (et donation de son père), de ce père, d’une tante et qui se prépare, au final, à spolier sa belle-famille une quatrième fois par main mise méticuleuse, appuyée sur des arguments démontés les uns après les autres, sur le patrimoine de sa belle-mère [la prébendière « trou noir de droit divin », dotée d’un patrimoine proche de l’ISF, envisage-t-elle à ce jour de rétrocéder la donation du cas clinique de pervers (qu’elle manipule comme son mari) et la plus-value à ce même cas clinique de pervers manipulé ? au prorata du capital détenu et en dispensant un beau-frère à très faibles revenus (18% du capital total) au titre de pénalité de reprise de don ? il est rare qu’un pervers trouve plus fort que lui, en l’occurrence un « trou noir immobilier et mobilier »]. Titulaire d’un patrimoine 7 à 8 fois supérieur à celui de ses deux beaux-frères concernés, elle cherche à brader, à la hussarde, le dernier bien de sa belle-famille, en période de crise et sans maîtriser la valeur du bien :

- droit divin façon SARKOZY plaçant son fils à l’EPAD : elle se vante auprès d’une belle-sœur d’avoir appelé une copine correctrice du concours d’état de sa fille et d’avoir fait remonter la note de celle-ci « qui ne correspondait pas à son niveau ». Délits de favoritisme et de prise illégale d'intérêt ? et surtout (c’est tout l’esprit des prébendiers de droit divin) rien à cirer de la fille ou du garçon sans relations qui aura raté le concours alors qu’elle ou il l’avait réussi ? Le mari haut fonctionnaire a-t-il été complice de facto et a-t-il violé l’article 40 du Code de Procédure Pénale ? Il faut créer une association militante pour faire réintégrer le concurrent lésé, façon affaire DREYFUS ou « Il faut sauver le soldat Ryan ». Le premier point est de localiser la copine correctrice du concours.
- droit divin : reproches à des proches d’avoir mis leurs enfants dans l’enseignement privé, à la demande du grand-père qui avait visité le lycée concerné et avait donné l’ordre d’y envoyer ses petis enfants tout en prenant en charge les frais : c’est « lui avoir donné une claque ». Mais de quoi je me mêle ?
- droit divin : indélicatesse lors d’une fête de famille. Méchanceté spontanée, gratuite et indélicate. Acquise à force de sarcasmes en direction de ses élèves ? Dans la même veine, ragots gourmands sur les difficultés (temporaires) d'un beau-frère avec son épouse.
- droit divin : qualifie un de ses beau-frères qui ne veut pas vendre une partie de la donation à un de ses fils de «…le bon chrétien qui ne veut pas vendre…». Il faut avoir l'esprit tordu pour sortir un truc pareil.
- droit divin : expédition à la hussarde de son beau-père dans la maison de retraite de sa mère, sans la moindre humanité et par principe : ce que je fais ne peut qu'être par essence et de façon intrinsèque parfait. Mais de quoi je me mêle ? Le beau-père disait à un de ses fils qui venait le voir chaque semaine : "je ne suis plus chez moi". Le beau-père tombait-il du lit à la maison de retraite ? une garde de nuit aurait-elle pu être trouvée ? le lit aurait-il pu être changé avec des systèmes d'aide pour se lever ? C'est à travailler pour le futur de la génération qui arrive à l'âge crucial.
- jette au panier, malgré la supplication de son beau-père qu’elle expédie en maison de retraite et sous les yeux de celui-ci, les papiers souvenirs que celui-ci veut garder. Mais de quoi je me mêle ? Cela traduit bien l'intention réelle qui était de vendre.
- « vos filles pourront utiliser l’appartement pour leurs études » : un mois après l’installation de la fille aînée, la prébendière de droit divin met l’appartement à la vente.
- droit divin : reproches parce que son beau-père a aidé un fils, chômeur, père de famille nombreuse et d’enfants étudiants. Souhait aujourd’hui d’aider ses propres enfants arrivant à l’âge du chômage. Ce qui était inadmissible hier devient tout naturel aujourd’hui.
- après la mort d’une vieille tante, que son beau-frère chômeur avait régulièrement emmené voir un ami au fin fond d'une banlieue, l’intéressée déclare à une belle-sœur (qui avait repris son travail, pour soutenir ses enfants étudiants au moment où la prébendière savourait les plaisirs précoces et l’aisance de la retraite dorée dotée de tous les avantages et suppléments des prébendiers d’état) : « elle s’est sentie abandonnée ». Pourquoi une pareille méchanceté gratuite et vicelarde ? Le beau-frère, qui a assisté seul à la mort de ses deux parents, n’aurait jamais eu le moindre début d’idée de faire ce type de reproche à ses frères. Il faut avoir l'esprit tordu pour sortir un truc pareil.
- la même devant le lit même où sa belle-mère, encore chaude, vient de mourir parle de récupérer sa commode à la maison de retraite. Cerise sur la gâteau de l'indélicatesse à répétition, elle donne à une de ses petites-filles, sans demander l'avis de personne [ce qui montre que le patrimoine de sa belle-famille est bien pour elle un garde-manger à sa disposition pleine et entière de droit divin], la jolie couronne de fleurs séchées qu'un de ses beaux-frères achetait chaque année à sa mère lors d'une foire artisanale de montagne à un horticulteur de Beaurepaire. Il s'en faisait une fête par avance. C'était un rite annuel , une joie attendue et renouvelée, pour lui. L'indélicate est passée avec ses gros sabots et a tout piétiné.
- en montagne, un beau-frère auquel elle soutient que ses garçons à lui n’ont pas besoin de meubles et que seules les filles doivent avoir voix au chapitre pour les meubles de la tante, lui répond avec fermeté : « je ne veux pas de différents dans ma famille ».
- leçon de morale à un neveu étudiant (mais de quoi je me mêle ?) : jamais ses proches n’ont fait la moindre remarque sur les malheurs de ses propres enfants. Respect du malheur des autres. C'est là que se situe le droit divin nobiliaire prébendier : le droit au sarcasme unilatéral. Une seule mise au point lui a été faite pour mettre un terme à une boulimie dévorante (elle déclare qu'une vitrine ancienne "ne vaut rien" et, dans ses notes manuscrites, son mari l'estime à un bon prix) pour les meubles de sa belle-famille (son goût pour les intérieurs bourgeois, façon bonbonnière, n’est heureusement pas partagé par tous). Son beau-frère s’est bien gardé, par discrétion, de mettre le début du bout du petit doigt dans les affaires d’héritage de sa propre épouse. Une remarque a été faite également à une des filles de la prébendière de droit divin hurlant «L’a-t-elle eu par héritage ? L’a-t-elle eu par héritage ?», sans aucun tac et aucune discrétion, avec une indélicatesse héritée de sa mère, en entrant dans la propriété de la belle-mère d’une cousine lors d’une fête de famille.

Tout ceci est d’autant plus désolant que cette personne était charmante et serviable aux temps jadis. A –t-elle développé un fonctionnement avec une méchanceté vicelarde (vicelarde au sens de méchanceté cruelle spontanément ajustée : elle traite un neveu futur agrégé, comme elle, de "sale gamin", en veillant à ce que sa mère l'entende, au moment où son fils aîné lui demande de l'argent en lui disant "Aboule le fric !" devant l'oncle ébahi père du "sale gamin") en exerçant ses sarcasmes sur ses élèves ? Elle en parlait parfois avec le plus grand mépris. Elle a aussi un frère expert en sarcasmes en tous genres.

Tout ceci évoque irrésistiblement « Le nœud de vipères » de François Mauriac et la fable "Le vieux chat et la jeune souris".