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La Page d'Accueil d'Eric

Mes Choses Favorites





Bonjour ! Je m'appelle Eric Wilkins (« Érique » en français), et voici l'histoire de ma vie. Si vous voulez me connaître vraiment, il faut que vous lisiez cette autobiographie. Commençons. J'ai 17 ans maintenant, mais j'aurai 18 ans mon anniversaire prochain, qui sera le 5 août 2005. J'habite à 310 rue Arrow Drive à Elizabeth dans une maison en briques avec mes parents, qui s'appellent Denise (ma mère) et Bill (mon père). J'ai une grand-mère (qui s'appelle Pearl) aussi, et une demi-sœur très étrange qui s'appelle Danielle et qui vit à Brooklyn. Je vais au Lycée Elizabeth Forward (qui est grand, mais pas trop grand), et les cours que je suis sont : la physique (qui est le pire !), le français (qui est le meilleur !), la santé, le gouvernement américain, l'anglais (on commencera lire « Roméo et Juliette » cette semaine-ouais !), et un cours dans la probabilité et les statistiques. J'ai les yeux bleus et les cheveux blonds foncés, et je ne suis ni petit comme un hobbit, ni grand comme un géant. Je suis fou, mais intelligent, et je suis très bavarde. J'adore lire, nager (surtout à la plage d'une île tropicale), et aller au cinéma. Mes films favoris de tous sont « Le Seigneur des Anneaux » (tous les trois), « Kate et Léopold, » « Casablanca, » et, maintenant, « Le Fantôme de l'Opéra. » J'adore mémoriser mes lignes favorites des films et des livres, aller à l'église chaque semaine, et sortir avec mes parents le samedi.

Quand j'étais jeune, mes lieux favoris à visiter étaient le zoo, le musée, Kennywood, et Disneyland, et quelques choses ne changent jamais. J'adorais les dinosaures (et le film « Parc Jurassique »), et je voulais être un paléontologiste avant que j'ai appris que ça aurait entraîné de la fouille. Je n'aimais jamais les « grands espaces naturels. » Mes nourritures favorites étaient le poulet, le steak, le maïs, et les frites. Mes émissions favorites étaient « Le Voisinage de Monsieur Rogers » et « J'Adore Lucy » (maintenant, je préfère « Les Filles Gilmore, » « Perdu, » et « L'Émission Ellen DeGeneres »). L'année passée, j'étais très intéressé à l'Impressionnisme et l'histoire d'art et de l'architecture. Ma classe favorite (après le français, bien sûr) était la mythologie avec Mme. Meehleib. Nous avons lu « L'Iliade » (que j'adore) par Homer. Cet été passé, mes parents, ma sœur, et moi sommes allés en Aruba, une petite île dans la Mer des Caraïbes au nord du Venezuela. Il faisait beau la semaine entière que nous étions là. Nous sommes venus pendant la saison venteuse, et j'ai presque perdu mon chapeau beaucoup de fois. Nous montions des chevaux (mon derrière me faisait mal pour plusieurs jours après), nagions dans la mer (on voyait beaucoup de pélicans en plongeant pour des poissons), faisions des achats (ma sœur a acheté une nouvelle valise), et faisions une tournée de l'île en autobus (il pleuvait, mais, pour la plupart, quand nous étions dans le bus). C'était merveilleux-je voulais y rester pour toujours ! En fait, je pense qu'une partie de moi y réside encore. Au passé, d'autres lieux que nous avons visités à nos vacances incluent Hawaii (la grande île, Oahu, et Maui), Disneyland, Las Vegas, et les Bahamas (comme on peut voir, nous aimons passer nos vacances quelque part chaud). Il faisait chaud même quand nous sommes allés au Canada en 2002. Cette année-là était l'année quand j'ai reçu mon premier « goût » des Caraïbes (nous faisions une croisière, qui était trop merveilleuse pour les mots !). Et prochain ? Lisez en avant…

Cet été, nous irons en Europe-ouais !! Nous visiterons Londres (et peut-être prendrons du thé et des crumpets avec la reine !), Paris (notre hôtel ne sera pas très loin de la Tour Eiffel), Venise (nous prendrons une gondole pour visiter la ville), Rome (je veux voir la Chapelle Sistine et « il Colosseo »), Florence (où on trouve la Statue de David), Pisa (la résidence d'une autre tour célèbre), et Montagano (le petit village où mon arrière-grand-mère vivait avant qu'elle est venue à ce pays). Mais avant que je peux faire mes bagages, il faut graduer en premier ! Je serai diplômé le 6 juin 2005 (j'avais espéré que ce jour-là serait tombé plus bientôt), et j'irai à l'Université de Californie, où je spécialiserai en éducation secondaire. Je voudrais enseigner la mythologie, l'anglais, le français, ou l'histoire (ceux-ci sont mes sujets favoris du monde). Je voudrais aussi vivre en Europe, peut-être en Italie (où tout le monde prend une sieste l'après-midi !). En fait, en dix années, je serai un professeur ; j'habiterai à Rome, la ville éternelle, et je ferai une bonne somme d'argent. En vingt années, je serai marié et aurai une fille qui nous appellerons « Lorelai » (mon personnage favori de l'émission « Les Filles Gilmore »), et j'aurai acheté une maison pour mes parents en Aruba ! Je mènerai une vie très heureuse et paisible. Alors, merci pour lire mon autobiographie. J'espère que vous l'aimiez et qu'elle vous faisait sourire.



Le Fantôme de l'Opéra



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Pour Erik, l'amour est triste. Mais la tristesse de l'amour est aussi du bonheur. Erik n'avait jamais connu l'amour avant qu'il a rencontré Christine Daaé. Et quand Christine a donné son cœur à un autre homme, pauvre Erik avait le cœur brisé. Mais, à la fin de l'histoire, Erik a réalisé qu'il ne pourrait jamais être heureux si Christine était triste.

Depuis qu'Erik est jeune, personne ne le touchait jamais. « ‹Ma mère, Daroga, ma pauvre misérable mère ne m'a jamais permis de l'embrasser…Jamais!...Jamais!› » (123). Erik adorait Christine du moment qu'il l'a vue. Elle l'aimait aussi, mais comme l'Ange de la Musique, pas comme il était en réalité. Mais quand il l'a libérée et l'a laissée se marier avec Raoul, elle l'embrassait pour la première fois. Ils s'embrassaient et pleuraient ensemble. C'était le plus joyeux moment en la vie d'Erik. Maintenant, Christine l'aime comme un ami.

Mais l'amour est aussi triste pour Erik. Christine n'aimait pas Erik comme il l'adorait. Donc, Erik essaie de la forcer à l'aimer, mais ça ne fait rien. Son amour appartient à Raoul, le vicomte de Chagny. Erik a pensé qu'il a trouvé l'amour vrai, mais il avait tort. Il devient jaloux de Raoul et aurait tué le vicomte si Christine n'avait pas été là. « ‹Elle me suppliait pour son petit jeune homme. Moi, je lui ai répondu que j'étais maintenant son fiancé puisqu'elle avait tourné le scorpion. Elle n'avait pas besoin de deux fiancés. Et tu allait mourir avec l'autre fiancé!› » (123).

Enfin, Erik voit que Christine ne pourrait jamais être heureuse avec lui parce que son cœur serait toujours avec Raoul. Il cherche dans son âme et trouve qu'il désire seulement le bonheur de Christine, même si ça voudrait dire la laisser se marier avec un autre. Alors, il donne son anneau d'or à Christine et leur dit « ‹Prends ça pour toi…et pour lui…Ce sera mon cadeau de noces…le cadeau du pauvre, malheureux Erik!...Je sais que tu l'aimes, le jeune homme› » (124). Il sait aussi qu'il aura permis l'amour vrai à durer par les laisser être ensemble.

Erik est mort d'un cœur brisé. Mais dans sa tristesse, il a trouvé un bonheur plus merveilleux qu'on peut imaginer. Il était heureux parce que Christine avait pleuré avec lui, l'avait embrassé, et lui avait promis de porter son anneau d'or et le lui retourner quand il serait mort. Il faut que le lecteur sache que Christine tiendra sa promesse. Sachez aussi qu'il n'est pas mort sans des amis. N'oublions jamais l'histoire d'Erik, le Fantôme de l'Opéra.



La Belle et la Bête


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Dans le conte des fées « La Belle et la Bête, » l'amour vrai gagne sur tout. C'était l'amour qui a sauvé le père de Belle, qui a dissipé la peur de Belle envers la Bête, et qui a cassé le charme de l'enchanteresse. En cette histoire, le lecteur aura vu par la fin que l'amour vrai exerce une magie qui est plus puissante qu'aucun charme d'une fée.

L'amour vrai a le pouvoir de sauver des vies. Après que Maurice avait pris une rose du jardin de la Bête, la Bête l'a forcé de jurer qu'il retournerait dans trois mois pour être mangé si une des ses filles ne prendrait pas sa place. Maurice ne voulait pas demander à ses filles de le faire pour lui pace qu'il les adorait tellement. Mais la Belle ne le laisserait pas aller à sa mort, alors elle promet de rester au château de la Bête en échange de la vie de son père. « ‹Je vous assure, mon père,› lui dit la Belle, ‹que vous n'irez pas à ce palais sans moi; vous ne pouvez m'empêcher de vous suivre› » (Beaumont 6). Sa bonne action a touché le cœur de la Bête et l'a causée de libérer Maurice.

L'amour vrai peut vaincre aucun obstacle. La première fois qu'elle l'a vue, la Belle avait peur de la Bête et était repoussée par sa laideur. Mais, après qu'elle est passée trois mois dans son palais, tout cela commençait à changer. « Quand Belle observa le grand maladroit essaie de bête pour nourrir quelques oiseaux, elle s'est rendue compte qu'il eut un bon côté doux à lui-quelque chose qu'elle n'ait pas vu auparavant » (Disney 26). La Belle et la Bête deviennent des amis, et Belle lentement perdait sa peur de lui. « ‹Vous avez bien de la bonté,› dit la Belle. ‹Je vous avoue que je suis contente de votre cœur; quand j'y pense, vous ne me paraissez plus si laid› » (Beaumont 9).

L'amour vrai peut bouger des montagnes, mais pour le faire, il faut qu'il soit fort. Au commencement de l'histoire, un charme magique transforma le beau prince dans la Bête. « ‹Une méchante fée m'avait condamné à rester sous cette figure jusqu' à ce qu'une belle fille consentît à m'épouser› » (Beaumont 13). Belle pensait qu'elle seulement aimait la Bête comme une amie, mais quand elle l'a voyait blessée, elle a réalisé qu'elle vraiment l'adorait avec tout son cœur. C'était dans ce moment-là, quand la Bête serait morte, que la Belle a dit qu'elle serait sa femme et le charme a enfin été cassé.

Comme on peut voir, l'amour vrai conquiert tout, même la mort (en cette histoire, au moins). Il ne vient pas toujours facilement ou vite, mais où il est trouvé, il peut faire de grandes choses. Et l'amour vrai n'existe pas seulement dans les contes des fées. Regardez prudemment, et vous le verrez partout.



Le Petit Prince



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À Danielle Dybiec

Cette œuvre est spéciale car elle a une dédicace. J'y avais pensé longtemps, et j'ai décidé qu'elle est si grande qu'il faut qu'elle soit dédiée à quelqu'un. Cette quelqu'une est ma sœur, que j'adore beaucoup et qui a 13 plus ans que j'en ai. Si vous êtes un petit enfant, ça la ferait une grande personne, peut-être, à vos yeux. Mais si vous la connaissiez comme je la connais, vous sauriez qu'elle est jeune au cœur. Et, elle adore les petits enfants. Moi aussi, qui bientôt serai une grande personne moi-même, et je veux essayer rester un enfant au cœur toute ma vie, comme ma sœur. Alors, c'est pourquoi que je change ma dédicace. C'est maintenant :

À Tous les Enfants du Monde et
À Tous les Jeunes au Cœur

« Les enfants doivent être très indulgents envers les grandes personnes » (St.-Ex.). Une fois ou une autre, tout le monde devra vieillir, et il faut qu'on renonce les jouets de sa jeunesse. Mais ça ne veut pas dire qu'on doit arrêter d'être un enfant au cœur ; cependant, beaucoup de grandes personnes oublient ce qu'il soit d'être jeunes. Ainsi, ils pensent qu'ils doivent être indulgents envers les enfants, mais en réalité, le même est vrai pour les enfants aussi. Qui l'aurait jamais cru ?

« Celui que je touche, je rends à la terre dont il est sorti…Mais tu es pur, et tu viens d'une étoile » (le serpent). Depuis quand les premiers humains ont péché contre Dieu, tout l'humanité est sujet au pouvoir de la mort. Mais Dieu a changé tout cela quand il a envoyé Jésus à mourir pour nous et ainsi nous donner la vie éternelle. En cette histoire, le Petit Prince, qui symbolise le Christ, meurt pour sauver sa planète et sa rose. (Quand vous la lisez, sachez que le prince sera déjà retourné à la vie et sera déjà rentré.) Ici, le serpent, qui symbolise la mort, se sent menacé par la bonté de ce prince descendu du ciel.

« Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. » (le renard). Toutes les choses de ce monde sont temporelles. Quand on part cette terre pour la prochaine vie, on ne peut rien emporter avec soi, sauf ce qu'on est : son âme. Nos corps ne sont que des voiles de chair au-dessous de qui la vraie beauté et la vraie signification sont cachées. L'amour, la force la plus puissante à l'univers, ne peut pas être vue ou sentie avec nos yeux ou nos mains, mais seulement avec nos cœurs. C'est pourquoi on ne devrait jamais juger un livre par sa couverture.

« C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante » (le renard). Les mères portent leurs enfants dedans elles-mêmes pour 9 mois avant la naissance, et, à chaque mère, ses enfants sont les choses les plus précieuses dans le monde entier. Jésus a montré son amour pour nous quand il est descendu du ciel et vivait, un humain, avec nous sur la terre. Ça lui a fait plus intime envers nous et nous fait plus intime envers lui.

« Ce qui embellit le désert…c'est qu'il cache un puits quelque part » (le Petit Prince). Tout le monde est spécial parce que chaque personne est unique. Mais nous sommes spéciaux aussi car nous avons quelque chose en commun : tout le monde a un puits. C'est situé au milieu du cœur, et, quand on croit vraiment, ce puits déborde avec l'eau vivante. Alors, croyez : en Dieu, en vous-mêmes, et en les autres, et nous pourrons étendre les eaux dedans nous partout dans le monde.



Jeanne d'Arc



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vendredi, le 1er juin 1431

Monseigneur le Pape,

J'espère que cette lettre vous trouve en bonne santé. Vous ne connaissez pas mon visage, mais peut-être vous avez entendu mon nom. Je m'appelle Capitaine Jean de Metz, un officier de l'armée royale française, et je vous écris avec une proposition qui concerne une fille qui était une amie à moi. Cette demoiselle de qui je parle était la raison que les Français gagnent enfin la guerre contre l'Angleterre pour le trône de la France. Elle s'appelait Jehanne d'Arc, la Pucelle de Lorraine. Elle est née dans le petit village de Dom Rémy (P2). Elle travaillait comme une bergère simple, mais Dieu avait de grands plans pour elle. Jehanne était très pieuse. Elle irait souvent à la messe, où, elle m'a dit, elle entendrait les voix des anges. Elle me disait que celles-ci étaient les voix de Sainte Catherine, Sainte Marguerite, et Saint Michel. Ces saints lui apparaissaient depuis elle a 12 ans et lui disaient que c'était la volonté de Dieu pour elle à conduire le dauphin (maintenant le Roi Charles VII) à Reims pour le couronner, lever la siège d'Orléans, et libérer la France des Anglais (P1, 4). Ainsi, Jehanne est partie de chez elle à l'âge de 17 ans et est venue à Vaucouleurs à voir Richard de Baudricourt, le capitaine du roi, pour obtenir une escorte aux courts du dauphin. Elle lui a dit tout ce que ses voix lui avaient dit. J'étais là, et j'avoue qu'il n'y avait pas de mensonge dans ses yeux. Mais de Baudricourt ne l'aurait jamais crue si ses poules ne se sont pas arrêtées de pondre des œufs quand il ne lui accorderait pas une escorte. Alors, je suis devenu l'escorte de Jehanne à Chinon, et nous sommes devenus des amis. À Chinon, le dauphin s'est caché parmi ses courtisans (L89) pour tester si Jehanne était vraiment envoyée de Dieu. Et, à la surprise de tous, Jehanne, qui n'avait jamais vue Charles en avant dans sa vie, l'a trouvé dans la foule. Si quelqu'un avait aucune raison de la douter, il n'en avait plus. Plus tard, quand Jehanne a reçu son armée du dauphin, elle a délivré la ville d'Orléans et m'a sauvé quand j'étais fait prisonnier par les Anglais. Et elle a mené Charles sain et sauf à Reims (à travers un territoire occupé par les Anglais), où il a été couronné roi de la France. Après beaucoup d'autres victoires contre les Anglais, Jehanne a été capturée par les Bourguignons (qui étaient aussi des ennemis de Charles) à Compiègne et vendue aux Anglais (leurs alliés). Les Anglais la craignaient et voulaient sa mort. Elle était jugée comme une sorcière et une hérétique (P7) et a été condamnée à brûler au bûcher à Rouen l'avant-hier. Jehanne n'a fait pas d'effort de se sauver. Elle a su que sa mort unifierait tous les citoyens de la France contre leurs envahisseurs. Avant qu'elle est morte, elle a demandé de voir un crucifix à égalité de ses yeux. J'étais là, déguisé (encore), dans la foule, et j'ai tenu le crucifix pour elle. Elle criait le nom de Jhésus et, enfin, « Merci ! » au Seigneur au moment avant que les flammes l'a engouffrée. Elle n'avait que 19 ans. Un soldat anglais a hurlé, « ‹Nous sommes perdus, nous avons brûlé une sainte !› » (P7). C'est pourquoi je vous écris. Je voudrais nommer Jehanne pour la béatification pour toutes les raisons que vous avez déjà lues. Je sais que ceci semblera étrange à vous, mais si vous contacteriez Mère Babette, l'évêque Cauchon, ou Sa Majesté Charles VII, ils seraient du même avis. Quand vous recevrez cette lettre, j'aurai déjà été réassigné à Paris. Ne prenez pas ce que j'ai écrit trop légèrement, s'il vous plaît. Je sais que Jehanne est au ciel avec Dieu aujourd'hui et qu'elle continuera nous aider à gagner la lutte. Il faut que nous l'honorions pour son courage et sa foi.

Signé,

Capitaine Jean de Metz



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Moi et Mon Université

California University

Maintenant, je suis un "terminal" au Lycée Elizabeth Forward. Je serai diplômé le 10 juin 2005, et après ça, j'irai à l'Université de Californie. J'ai été accepté le 8 janvier de cette année. Je voudrais spécialiser en éducation secondaire. J'ai choisi cette université parce que le coût n'est pas trop cher et parce qu'elle offre beaucoup de bons programmes en enseignement. Je l'ai choisie aussi car elle n'est pas du tout loin de chez moi, et je pourrai rentrer le vendredi et passer le week-end avec ma famille. L'université est située une heure au sud de Pittsburgh par voiture. Le campus n'est pas très grand (il n'a que 38 immeubles sur 90 acres), une autre raison pourquoi j'ai choisi l'Université de Californie.

Je ne sais pas qui seront mes camarades de chambre. Je sais que je vivrai dans un des nouveaux immeubles en dehors du campus principal. Si je veux rentrer pour le week-end, je pourrais prendre le bus du campus à Belle Vernon (où nous font les courses chaque vendredi). J'ai lu qu'on ne passe que 15 heures par semaine en classe à cette université. Peut-être j'aurai enfin l'occasion de me joindre à un club et rencontrer des amis. Je n'ai pas encore pensé de toutes les choses que je devrai acheter, mais je devrai y penser bientôt! Il y a tellement de choses qu'il faut que je fasse avant que je pourrai appeler «Cal U» chez moi. Je suis tout écrasé, mais très excité à la même fois!

La mascotte de Cal U est le dieu romain Vulcan.

J'ai faim. Au revoir!





Les Cathédrales


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Cette année dans notre classe de français, nous étudiions les cathédrales françaises avec Mme Les Étés. En France, on voit deux styles distincts de cathédrales : celles qui sont romanes et celles qui sont gothiques. Nous avons appris les différences entre ces deux styles et discutions des innovations étonnantes qui les font de vraies merveilles du monde.

Même après le renversement de l'Empire Romain en 476 après Jésus-Christ, la culture romaine était gardée dans tous les pays que les Romains avaient conquis. Ceci était reflété dans l'architecture du Moyen Âge (l'époque entre la période classique et la Renaissance). En France, les constructeurs des premières grandes cathédrales incorporaient beaucoup d'éléments de l'architecture romaine, comme les rangs de colonnes pour supporter le toit (une idée approprié des Grecs) et les arches rondes entre les colonnes (une innovation purement romaine) dans leurs chefs-d'œuvre en pierre. Ainsi, ces églises sont appelées aujourd'hui « les cathédrales romanes. » Les cathédrales romanes ne sont pas très hautes parce qu'elles n'ont pas de support externe qui empêcherait les murs de s'écrouler sous les poids du toit s'il avait été construit trop haut et car ça veut dire qu'il faut aussi que les murs soient relativement épais par rapport à leur hauteur. On remarquera aussi que ces cathédrales sont couvertes des fresques à l'intérieur et des frises, des sculptures, et des statues (les bas-reliefs, qui saillent des murs, et les hauts-reliefs, qui sont presque séparés des murs) à l'extérieur qui racontent des histoires de la Bible et les distinguent des cathédrales de l'Église orthodoxe. Les cathédrales romanes sont situées dans le sud du pays parce que c'était où la culture gréco-romaine prit pied sur la France pour la première fois.

Les cathédrales gothiques, par contre, sont situées dans le nord de la France parce que c'était où les Goths ont envahi et étendaient leur culture et leur style « pointu » de costume et d'architecture. Ils inspiraient les flèches et les arches brisées de ces cathédrales. On dit que la pratique fait la perfection, et les cathédrales gothiques ne sont pas d'exceptions. Les ingénieurs qui construisaient ces églises apprenaient de leurs erreurs au cours des siècles et ont découvert une voie à augmenter l'hauteur du toit pendant que réduire l'épaisseur des murs. Cet exploit architectural était accompli via l'innovation des arcs-boutants, qui canalisent la plupart des poids du toit dans le sol. Puisque les murs de ces cathédrales ne devaient pas être très forts, beaucoup de vitraux étaient installés dans eux. Avec toutes les statues qui les ornaient richement, les vitraux des cathédrales gothiques racontent des histoires (les vitres en bas dépeignent les ouvriers paysans et les artisans ; les vitres moyennes dépeignent la noblesse, et les grandes vitres en haut dépeignent des scènes de la Bible et des vies des saints, des apôtres, et des prophètes). Quand la lumière du soleil luit par ces vitraux et remplit tout l'espace entre le parquet et le plafond voûté, ça donne l'impression de la présence divine, comme si on est venu devant le trône précis de Dieu lui-même. Chaque cathédrale gothique est construite selon un plan appelé « la cruciforme, » qui veut dire qu'elles sont toutes dans la forme de la croix du Christ. La « tête » de la croix pointe toujours vers l'est, vers Jérusalem et l'aurore. Toutes les chapelles et les deux autels sont situés à l'aile est de la cathédrale, et les portails principaux sont situés à l'aile ouest. La « poutre » de la croix est appelée « le transept, » et les façades ouest, nord, et sud toutes ont trois portails et un vitrail circulaire qu'on appelle « une rose. » Enfin, le premier étage est supporté par une colonnade, derrière laquelle est une promenade appelée « l'ambulatoire, » qui sert de régler la circulation des pratiquants et des pèlerins.

Cette année, après que nous avons étudié Jeanne d'Arc, les cathédrales, et Le Bossu de Notre Dame dans notre classe de français, nous sommes allés au Musée Carnegie de Pittsburgh (ouais !). Notre tour a commencé dans la salle de l'architecture, où notre docent, Jan Rogers, nous a montré les plâtres des portails de deux grandes cathédrales françaises (qui étaient faits des moules faits de chaque détail au site et rapportés aux États-Unis). Le premier était fait de la façade ouest de la cathédrale romane de St Gilles-du-Gard en Provence. Nous avons vu les tympans des trois portails (qui dépeignent l'adoration du Christ par les trois rois, le Christ en majesté, et la crucifixion du Christ), la frise en haut des portails (qui raconte l'histoire de la dernière semaine de la vie de Jésus à Jérusalem, sa mort, et sa résurrection glorieuse), les colonnes corinthiennes, et les statues derrière les colonnes. Ensuite, nous avons vu le portail nord de la cathédrale gothique de St André à Bordeaux. Ce portail était beaucoup plus grand que ceux de la cathédrale de St Gilles. Nous avons noté les hauts-reliefs et le tympan, qui dépeignait le Christ en jugement. Après ça, nous avons vu les plâtres de quelques statues célèbres : le Lanceur de Disque (par Byron), la Vénus de Milo (qui réside dans le Louvre), Nike de Samothrace (la « victoire ailée »), Auguste César, et Athéna (la déesse de la sagesse). Notre docent nous a menés aussi à la salle de la sculpture, où nous avons vu d'autres exemples de la sculpture gréco-romaine. Enfin, nous avons visité les galeries Scaife pour voir deux autres sculptures et un sarcophage romain, mais j'ai revu aussi beaucoup de peintures par les impressionnistes que j'ai vues l'année passée. Monet (le chef du mouvement), Renoir (mon artiste favori !), Cassatt, Pissarro (« paysans et joli »), Van Gogh (j'ai vu le crevasse dans sa peinture, mais je ne l'ai pas dit à la docent), Cézanne, et Degas, ils étaient tous là, comme de vieux amis.

Avant notre tour, André et moi avons visité beaucoup d'autres expositions. Nous avons commencé avec le Carnegie International, et nous nous intéressions brièvement en art moderne (quand vous le lisez, cette exposition aura déjà partie le musée). Nous sommes allés à la salle égyptienne, mais nous ne sommes pas allés dans le tunnel qui va au tombeau parce que nous avions peur de la malédiction de la momie ! En réalité, nous n'avons pas le temps ! Il y avait tellement de choses à voir, et nous les aurions visitées, si nous aurions eu plus de temps. Mais nous avons manié de voir la restauration des fossiles pour la nouvelle aile des dinosaures. Un jour, je verrai toutes les exhibitions au Musée Carnegie, mais je ne sais pas quand ça se passera. Il est trop grand pour le connaître dans un jour. J'adore le Musée Carnegie : c'est un de mes lieux favoris du monde, et je voudrais apprendre plus de ces trésors innombrables. Allons au Carnegie !



Le Lycée Elizabeth Forward fièrement présente

Le Bossu de Notre-Dame

de samedi le 9 à lundi le 11 avril 2005

dans l'amphithéâtre de l'école.


samedi et dimanche: 14h30 et 19h

lundi: 20h30



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1er Acte : En Bas

C'est la Fête des Fous! Quand le rideau se lève, nous rencontrons Clopin, le roi des gitans, en parlant à des enfants. Il leur raconte l'histoire de Quasimodo, le bossu de Notre-Dame. À ce moment précis, Quasi regarde toute la ville du toit de la cathédrale, et il est très heureux et très triste à la même fois. Il y a une grande fête en bas, mais il ne va pas y descendre parce qu'il a peur que personne ne l'aimera à cause de sa laideur. Mais il décide d'y aller à la fin parce qu'il voudrait pouvoir parler avec quelqu'un autre que les gargouilles ou son maître Frollo. Et, à la surprise de tous, Quasi va à la Fête et est couronné le Roi des Fous ! Mais Frollo est fâché et ne dit rien quand la foule l'attache au pilori. Seulement la gitane Esmeralda est gentille à Quasimodo. Elle le libère, mais pas sans attirer les affections de 3 hommes dans la foule : Frollo, Phoebus (le capitaine de la garde), et Gringoire (un poète). Chacun de ses hommes essaie de passer du temps avec Esmeralda. Gringoire la suit à la Cour des Miracles, où les gitans vivent, et il doit se « marier » avec elle s'il veut vivre ! Frollo envoie Quasi pour l'enlever et la mener à lui, mais Esmeralda échappe. Phoebus parle avec elle sous un arbre pendant une autre fête, mais Frollo, dans un accès de colère, tue Phoebus et met son couteau dans la main d'Esmeralda. Et avant qu'elle peut savoir ce qui est arrivé, elle est ainsi découverte, et le rideau tombe.

2me Acte : Dies Iræ

Le rideau se lève à des cris de « Kyrie Eleison ! » Au début de cet acte, on verra que le procès d'Esmeralda aura déjà commencé. Elle ne va pas bien du tout, et les choses n’améliorent pas quand Djali le bouc est mené dans la chambre. Il va directement à Esmeralda, et tout le monde croit que c’est un signe qu’elle est une sorcière ! Elle sollicite l’asile devant le clergé à Notre-Dame, mais ils le lui refusent. La gitane est amené au gibet, mais Quasimodo, qui voit cette injustice, aimerait mourir plutôt que la regarder être pendue. Avec une corde, il saut du toit de la Cathédrale, prend Esmeralda dans ses bras, retourne en haut de Notre-Dame, et crie, « Asile ! Asile ! » à la foule en bas. Frollo saisit la cathédrale et poursuit la gitane jusqu’au toit, où dans une lutte avec Quasimodo, il tombe à sa mort. Le poète Gringoire convainc le roi de l’innocence d’Esmeralda, et elle peut partir Notre Dame comme une femme libre. Elle et Gringoire se « remarient,» et tout le monde salue Quasimodo comme un héros ! Enfin, le rideau tombe. La fin.



Les Misérables


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La force mystérieuse que nous tous connaissons comme l’amour existe en des formes nombreuses. Les anciens grecs comprirent ce fait, et alors ils employaient beaucoup de mots pour la décrire : « philia » (l’amour fraternel), « storge » (l’amour familial), et « agape, » qui seul implique l’amour puissant du Christ pour tout le monde. Dans le roman classique « Les Misérables » par Victor Hugo, le lecteur verra que Jean Valjean, le personnage principal, aura trouvé et exemplifié tous ces types d’amour par la fin de l’histoire.

Au commencement de l’histoire, Jean Valjean est un forçat endurci qui vient d’être libéré de prison. Son crime : il a cassé une vitre et a volé un pain pour nourrir sa famille affamée. Il est plein de ressentiment et très malheureux ; « il jugea la société et la condamna » (Hugo 4). Dans le village de Digne, où Jean essayait de trouver une place à reposer de son voyage à Pontarlier, seulement le bon évêque, Monseigneur Myriel (a.c.c. Monsieur Bienvenu), l’accueillerait dans sa maison. Et quand Jean a volé toute l’argenterie de l’évêque pendant la nuit et était arrêté et ramené chez lui le matin par des gendarmes, l’évêque l’a pardonné et lui a donné l’argenterie et deux flambeaux (aussi en argent). Mais avec ces cadeaux, l’évêque a donné à Jean Valjean quelque chose plus précieuse que tout l’argent (ou même tout l’or) dans le monde. « ‹Employez cet argent à devenir honnête homme. Jean Valjean, mon frère, vous n’appartenez plus au mal, mais au bien. C’est votre âme que je vous achète et je la donne à Dieu› » (Hugo 5). L’évêque lui avait montré le vrai amour fraternel et lui avait donné la chance à commencer une nouvelle vie, une meilleure vie que Jean Valjean pourrait avoir (ayant?) jamais pensé possible. Cet acte, comme nous verrons, « ouvre la porte » à une multitude de bonnes actions à la partie de Jean Valjean.

Même après 19 ans à la prison de Toulon, le lecteur peut voir que Jean Valjean n’a pas perdu sa capacité à aimer. Son amour pour sa sœur et ses enfants l’a amené à voler le pain qui lui a gagné ses premiers 5 ans au bagne, et c’était pour eux qu’il essayait (infructueusement) à échapper (en se gagnant, en effet, les autres 14 ans de sa sentence). C’est pourquoi nous le trouvons en marchant à Pontarlier : c’était où vivait sa famille. Il ne les a jamais trouvés, mais cela n’était pas la fin d’amour pour Jean Valjean. Quand il s’est déménagé à Montreuil-sur-Mer, il a sauvé deux enfants d’un incendie et un homme attrapé sous une charrette, et il a bâti une grande fabrique et employait tout le monde dans le village. Plus tard, après que Fantine, une de ses ouvrières, est congédiée à cause de sa fille illégitime, Cosette (qu’elle soutenait en secret), Jean Valjean la soigne quand elle tombe malade. Avant la mort de Fantine, Jean Valjean lui promet qu’il élèvera sa fille. Il va à l’auberge des Thénardier, la famille à qui Fantine a confié Cosette, et trouve qu’ils la traitent pis que Cendrillon. Il la libère de leurs griffes, et lui et Cosette vont à Paris. Jean Valjean la protégeait et l’adorait comme si elle était sa propre fille. Par sa responsabilité, il a appris le vrai amour paternel. « Quelque chose de nouveau lui pénétrait l’âme. C’était la deuxième apparition blanche qu’il rencontrait. L’évêque avait fait lever à son horizon l’aube de la vertu ; Cosette y faisait lever l’aube de l’amour » (Hugo 13-14).

Il y a un autre bel exemple de l’amour de Jean Valjean qui peut être vu dans son traitement de Javert, le policier ambitieux qui veut le renvoyer à prison. Pendant la Révolution de 1830, Javert (un officier de l’armée royale) a été capturé derrière la barricade des insurgés (en cherchant Jean Valjean). Au moment quand ils allaient exécuter le prisonnier, Jean Valjean (qui était là en cherchant Marius, le petit ami de Cosette) a demandé le droit à tuer Javert. Mais il ne l’a pas tué. Il a libéré Javert, alors même qu’il savait que Javert continuerait le chercher, mais il avait appris à aimer et pardonner ses ennemis par l’exemple de l’évêque. Javert était complètement abasourdi par cette action, et il a réalisé que le forçat qu’il cherchait pour tant d’années n’existait plus : il était devenu un bon homme. « La générosité de Jean Valjean envers lui, Javert, l’accablait. Il était forcé de reconnaître que la bonté existait. Ce forçat venait d’être bon. Et lui-même, il venait d’être bon » (Hugo 20) parce qu’il avait résolu de ne plus chasser cet homme, même s’il devait terminer sa vie pour en faire.

Il faut que nous apprenions de l’exemple de Jean Valjean. Il faut que nous apprenions à aimer tout le monde, même nos ennemis. Et rappelons que tout le monde est un enfant de Dieu et que même ceux avec un cœur endurci sont capables de donner l’amour si l’amour est montré aux eux en premier. L’amour a le pouvoir de bouger des montagnes, abattre des murs, et changer des vies. C’est vraiment la force la plus puissante sur la terre.







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