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Les anomalies bizarres d'Apollo 11












Cette vidéo traite du rapport d'anomalies d'Apollo 11.
Les rapports d'anomalies de toutes les missions sont des suites de gags et absurdités, et celui d'Apollo 11 ne fait pas exception.
Selon ces rapports, les ingénieurs n'auraient fait absolument aucun test avant les missions, et auraient même intentionnellement créé des situations pour qu'il se produise des problèmes.









Il y avait une perte de pression du nitrogène gazeux dans le système redondant de propulsion du module de service.
Le problème viendrait d'une fuite dans la valve de contrôle, et la fuite viendrait de la contamination.









Une cause hautement suspecte est un collecteur d'admission qui aurait été contaminé à l'usine du vendeur.
Alors ils utilisent des éléments contaminés sans sérieusement les tester?
Est-ce que cela leur arrive de faire des tests avant les missions?









Un des chauffeurs dans le deuxième réservoir d'oxygène est tombé en panne.
Les lectures enregistrées pendant la mise en pression du réservoir pendant le compte à rebours ont montré qu'un chauffeur dans le deuxième réservoir d'oxygène était tombé en panne.
L'information n'a pas été mise à disposition des points de contrôle avant le vol, car cela n'avait pas été prévu dans les procédures de tests.
Donc le problème était déjà connu avant le lancement, et il a été ignoré parce qu'il n'avait pas été implémenté dans les procédures de tests?
Peut-être ne testent-ils même pas la présence du module lunaire et du module de commande dans la fusée Saturne avant le vol!
La cause de la panne était probablement un contact intermittent sur une borne dans le circuit du chauffeur; cela se serait déjà produit dans le passé, ce qui veut dire qu'ils auraient du être attentifs à ce problème, et ils n'ont pourtant rien fait pour l'empêcher de se reproduire!









Un réacteur du RCS a produit une poussée faible et erratique à cause d'un problème de continuité dans l'une des bobines de la valve du réacteur.









Cela viendrait de deux broches sur le terminal qui étaient lâches et causaient une continuité intermittente dans les bobines automatiques de la valve du réacteur.
Ce type de panne avait déjà été remarqué sur des terminaux fabriqués avant Novembre 1967; ce terminal avait été fabriqué en 1966.
Il savaient donc que ce terminal avait été fabriqué durant une période pour laquelle ce problème était connu, et pourtant ils n'ont pas sérieusement testé ce terminal pour voir si le problème ne se reproduisait pas!
Font-ils jamais des contrôles avant les missions, ou sont-ils trop paresseux pour les faire?









Un segment electromuninescent de l'affichage numérique de système de monitorage des entrées ne s'est pas éclairé.
La cause viendrait de fils mal dirigés qui se sont tordus sur des liaisons terminales contenant des fils avec des extrêmités pointues qui ont percé l'isolation et causé des court-circuits à la masse ou au 4 volts, allumant le segment ou l'éteignant alternativement respectivement.
Un remaniement des circuits affectés a eu lieu lors d'une anomalie constatée dans Apollo 7.
Une inspection pour détecter la mauvaise direction des fils a été faite à cette époque, mais a été limitée à cause de restrictions matérielles.
Alors ce problème était déjà connu auparavant, ce qui veut dire qu'ils auraient du tester les circuits pour détecter des court-circuits ou coupures, mais ils ont négligé de faire les tests, parce que cela semble les fatiguer de les faire!









L'interrupteur K1 (cerclé de rouge) se ferme lorsque le flot d'oxygène diminue, ce qui démarre une délai de 16 secondes; si l'interrupteur K1 reste fermé, après le délai de 16 secondes, l'interrupteur K2 (cerclé de bleu) se ferme, ce qui permet à la fois d'envoyer un courant dans le relais électromécanique K3 (cerclé de vert) et ainsi de déclencher une alarme, et également de remettre à zéro le circuit du délai.
Parce qu'un condensateur de filtrage était ouvert au lieu de fermé, l'interrupteur K1, au lieu de rester fermé en permanence, se serait alternativement ouvert et fermé (aurait bagoté); selon leur explication, le fait que le relais K1 bagotait aurait fait que le relais K2 n'aurait pas remis à zéro le compteur du délai de 16 secondes après les 16 secondes, avec la conséquence qu'une seconde alarme se serait déclenchée.
Mais cette explication ne tient pas, car, si le relais K2 ne se ferme pas, sûrement le compteur du délai n'est pas remis à zéro, mais le relais K3 n'est pas activé non plus, ce qui veut dire que l'alarme ne sera pas déclenchée.









Les valves d'isolation du propergol sur le quad B du système de contrôle de réaction du module de service se seraient fermées pendant la séparation du module du commande et du S-IVB.
Au test de choc, il a été trouvé que des chocs de 80g pour 10ms jusqu'à des chocs de 100g pour 1 milliseconde fermaient les valves.
Après réduction des forces de fermeture pour les valves, un nouveau test a montré que des chocs de 54g pour 10ms jusqu'à 75g pour 1 ms permettaient de fermer les valves.
Mais le problème était que les valves s'étaient fermées, alors leur permettre de se fermer avec moins de force ne résoud certainement pas le problème!









Une odeur a été détectée par les astronautes dans le tunnel lorsque le sas a été ouvert pour la première fois.
En faisant une odeur de comparaison (faite par les astronautes), il a été déduit que l'odeur viendrait du revêtement du sas.
La suppression de l'isolation extérieure a résulté en des températures plus élevées du revêtement.
Question: Pourquoi ont-ils enlevé l'isolation extérieure?
Pour faire des économies?









La mesure du flot d'oxygène a montré une indication erronée à cause d'une résistance (cerclée de rouge) couplée avec le pont de mesure, laquelle aurait augmenté de 1000 ohm à 1600 ohm.
Comment se fait-il que cette résistance ait changé?
Comment n'ont-ils pas pu voir le problème pendant les tests de prévol, puisqu'il pouvaient le voir dans les tests d'après vol?









Des noeuds auraient été faits de manière incorrecte sur le bouclier thermique avant; le schéma montre comment ils auraient du être faits, et comment ils ont été incorrectement faits dans certains cas; ils disent que ceci aurait pu empêcher le déploiement d'un parachute.
Il est absolument incroyable que les tests avant vol soient faits un tel je-m'en-foutisme jusqu'à ne pas tester que les noeuds sont correctement faits, surtout quand cela pourrait avoir des conséquences sérieuses!









Dans la boucle du circuit primaire de glycol, une valve de contrôle (cerclée de rouge) permettait de réguler la température du glycol arrivant à l'évaporateur primaire: Lorsque la température de sortie du radiateur s'abaisse, la valve de contrôle s'ouvre pour mélanger davantage de glycol chaud à la sortie du radiateur, et, inversement, lorsqu'elle devient plus chaude, elle se ferme, et se ferme complètement au delà d'une certaine température de la sortie du radiateur.









Ce qui s'est passé est que, lorsque la température de sortie du radiateur s'est élevée, la valve de contrôle ne s'est pas immédiatement fermée, il y a eu un temps de réaction, avec la conséquence que la température d'entrée de l'évaporateur aurait été plus chaude que normal pendant une petite durée.
Inversement, lorsque la température de sortie du radiateur s'est abaissée, la valve de contrôle ne s'est pas immédiatement ouverte, avec la conséquence que la température d'entrée de l'évaporateur aurait été plus basse que normal pendant une petite durée.
En bref, la valve de contrôle tardait à réagir.
Plus tard, la valve de contrôle a réagi normalement, et la température d'entrée de l'évaporateur est devenue normale.
Ils ont soupçonné que la valve de contrôle avait un problème, et donc, dans les tests d'après vol, ils l'ont inspectée, et trouvé une cause de mauvais fonctionnement.









Mais ils disent que le problème s'est arrêté, et que la valve s'est mise à réagir normalement, après que l'équipage ait agi sur le conduit d'admission permettant d'obtenir la température d'entrée de l'évaporateur (cerclé de vert); l'origine du problème devient donc alors évidente: Cela venait du fait que la valve de contrôle n'obtenait pas correctement la température d'entrée de l'évaporateur; si le problème était venu de la valve elle-même, il aurait persisté même après que les astronautes aient agi sur ce conduit!
Nous devons en conclure que les ingénieurs manquent de logique...ou, bien plus probablement, ils ont à nouveau voulu plaisanter!









Des données photographiques ont été obtenues du module de service pénétrant dans l'atmosphère terrestre et se désintégrant à proximité du module de commande.
L'équipage a observé le module de service pendant environ 5 minutes après la séparation, et a indiqué que les réacteurs latéraux fonctionnaient et que le module tournait autour de son axe longitudinal.
Ils en donnent cette explication délirante; Il aurait été possible pour le propergol résiduel de se déplacer axialement et de provoquer un mouvement résonnant.
C'est une explication complètement fantaisiste, et il n'est pas possible que les réacteurs aient pu fonctionner, car il est évident qu'ils sont désactivés avant la séparation.









L'équipage a rapporté peu après l'alunissage que le timer de la mission s'était arrêté.
L'alimentation du timer a été coupée pour lui permettre de refroidir.
11 heures plus tard, le timer a été redémarré et a fonctionné normalement pendant le reste de la mission.
Cela viendrait d'une soudure sèche; le fait de permettre au circuit imprimé de refroidir aurait permis à la connexion de refaire un contact électrique, et de permettre au timer de refonctionner normalement.
Question: Après que le timer ait été redémarré, pourquoi le problème ne s'est-il pas reproduit ultérieurement?
Deuxième question; Comment les événements étaient-ils chronométrés alors que le timer était éteint, et, s'ils pouvaient l'être sans lui, quel était son rôle?









Dans le système de propulsion de la descente, le carburant aurait été gelé par l'hélium circulant à travers l'échangeur de chaleur.









La solution pour les missions suivantes a été de fermer la valve (celle cerclée de rouge) permettant la circulation de l'hélium au moment de l'introduction du carburant pour éviter qu'il ne soit gelé, et de ne l'ouvrir que quelque temps avant le décollage.
Oh vraiment? Est-ce qu'ils n'auraient pas pu tester cela avant la mission, de sorte que ce problème soit déjà résolu pour Apollo 11?
Oh j'oubliais: Ils ne font jamais aucun test avant les missions, c'est trop fatigant (peut-être ne sont-ils pas assez payés).









La mesure de pression partielle du dioxyde de carbone a été élevée et erratique.









L'eau arrivait dans un réservoir d'absorption, mais ce réservoir pouvait se révéler incapable d'absorber toute l'eau dont une partie pouvait alors passer à travers le conduit coloré de rouge, ce qui aurait causé le problème.
Sur les missions suivantes, le conduit problématique a été supprimé et remplacé par le conduit coloré en vert, ce qui a évité ce problème.
Bien sûr ils n'auraient pas pu appliquer cette solution auparavant, comme ils ne testent rien avant les missions.









Lorsque l'antenne orientable a été sélectionnée après l'acquisition sur la 4ème révolution, il y a eu des difficultés à maintenir les communications.
Ce serait parce que le schéma de la couverture de l'antenne ne prenait pas en compte les déflecteurs des plumes des réacteurs latéraux qui ont été ajoutés sur le module lunaire au site de lancement!
Ceci montre le niveau du manque de professionalisme du projet (mais nous y sommes habitués).
Le schéma de la couverture de l'antenne orientable S-Band impliquerait qu'il y a tout un ensemble de combinaisons des angles de tangage et lacet de l'antenne qui permettraient la communication.









En réalité il n'y a qu'une seule combinaison des angles de tangage et lacet qui permet la communication avec la terre, celle qui oriente l'antenne vers la terre.









Ils parlent aussi d'un problème de réception depuis des directions multiples qui diminueraient la qualité de la réception.
Le signal venant de la terre et le signal réfléchi sur la lune se gêneraient mutuellement et provoqueraient des pertes de réception.









Mais c'est complètement ridicule, car, lorsque l'antenne est orientée vers la terre, elle ne reçoit que le signal venant directement de la terre, et pas celui réfléchi par la lune.









...Et, lorsqu'elle est orientée vers la lune, elle reçoit seulement le signal réfléchi par la lune, et pas celui venant directement de la terre.









D'ailleurs, lorsque vous recevez une onde radio sur la terre, elle est réfléchie depuis différentes directions, et cela ne vous empêche pas de la recevoir correctement.
Même si elle vient de différentes sources, c'est le même signal identique, qui est démodulé pour obtenir l'information qu'il contient.









Il y aurait eu des alarmes générées par l'ordinateur pendant la descente; l'ordinateur aurait redémarré plusieurs fois car il aurait été incapable de réaliser son travail dans le temps imparti à la tâche de guidage.









Cela viendrait du fait que l'ordinateur comptait des impulsions radar, et il y aurait eu trop d'impulsions radar à certains moments.
Sur la position Slew, le radar pouvait fournir jusqu'à 6400 impulsions par seconde; comme il y avait deux unités radar, cela pouvait faire 12800 impulsions par seconde.
Chaque impulsion prenait un cycle de 11,7 microsecondes à l'ordinateur pour être traitée.
En bref, dans chaque seconde,les signaux radar pouvaient voler 12800*11,7=149740 microsecondes à l'ordinateur, soit envison 150 millisecondes; cela représente 15% de la puissance de l'ordinateur qui était perdu pout faire des calculs.









Si l'ordinateur prenait plus de 1,7 seconde pour réaliser ses calculs dans la tâche de guidage, le temps qui était perdu à compter les impulsions radar, qui pouvait représenter jusqu'à 0,3 seconde dans les 2 secondes de la tâche de guidage, pouvait faire que la tâche de guidage ne pourrait finir son travail à temps, auquel cas cela pouvait causer un redémarrage de l'ordinateur si le problème se répétait plusieurs fois.









Mais ce problème venait seulement du fait que l'ordinateur comptait lui-même les impulsions radar; chaque impulsion radar volait un temps précieux à l'ordinateur.
En fait ce n'est jamais fait de cette façon, ni avant Apollo, ni après.
L'ordinateur IBM de la fusée Saturne n'avait pas d'instruction pour compter les impulsions matérielles.









La manière correcte de procéder est de faire compter les impulsions matérielles par des compteurs électroniques, et l'ordinateur peut lire le compte d'impulsions sur les compteurs électroniques en utilisant une instruction de lecture I/O; Et cette instruction existait dans le jeu d'instructions de l'AGC!
Si l'ordinateur du LEM avait géré les choses correctement, il n'aurait pas compté les impulsions radar lui-même, ce qui signifie que, même s'il y avait eu un excès d'impulsions radar, cela n'aurait pas eu d'impact sur le temps de calcul de l'ordinateur, et il aurait pu finir la tâche de guidage à temps.









Je crois savoir pourquoi les ingénieurs ont géré les choses de cette manière.
C'est parce qu'ils voulaient absolument que l'ordinateur affiche des alarmes 1202 répétitives, de sorte que cela exaspérerait Armstrong...









...Et que cela le pousserait à prendre lui-même les commandes du LEM, de sorte qu'il nous montrerait comment ils pouvait faire voler le LEM comme un hélicoptère...









...Au dessus d'un sol qui ressemble diablement à celui de l'aire 51, mais c'est tout à fait normal, car le sol de l'air 51 ressemble vraiment à celui du sol lunaire...








...comme quiconque peut s'en assurer, en revêtant son habit de cosmonaute, et en volant vers la lune avec son ULM.









De toute façon, comme le LEM était descendu avec une grue, ce n'était pas si important que cela si l'ordinateur marchait de manière erratique...









...car Armstrong et Aldrin l'utilisaient probablement pour jouer à des jeux vidéo, telle qu'une version primitive du jeu de tennis.
(Pouquoi Armstrong ne nous a pas parlé de ces jeux vidéo lors de son entrevue?).









La décompression de la cabine avant les activités extravéhiculaires a requis plus de temps que prévu.
Cet excès de temps viendrait de l'utilisation d'un filtre à bactéries, et le supprimer a permis de réduire le temps de décompression.
Question: Ils sont sur la lune, pourquoi auraient-ils besoin d'un filtre à bactéries? Les bactéries ne peuvent survivre sur la lune.









Un segment électroluminescent sur l'affichage numérique du système d'abort a été rapporté déficient.
Le segment déficient (celui en haut à gauche) fait qu'il n'était pas possible de distinguer entre un 3 et un 9.









Effectivement, vous pouvez voir que, lorsqu'un 9 est affiché sur le digit fautif, il ressemble à un 3; cela signifie que le 9 n'est jamais affiché, et que, lorsqu'un 3 est affiché, il n'est pas possible de dire si c'est un 3 ou un 9.
Mais cela ne signifie pas que les autres digits sont correctement affichés; certains ne le sont pas, même s'ils ne peuvent être confondus avec un autre digit.









Cette animation montre, sur la gauche, comment les digits devraient apparaître, de 0 à 9, et, sur la droite, comment ils apparaissent en réalité avec le segment déficient.
Elle illustre le fait que le segment déficient rend le digit fautif difficile à lire, même au delà du fait qu'un 3 ne peut être distingué d'un 9.
Ils disent que l'équipage était encore capable d'utiliser ce digit particulier, quoiqu'il y avait quelque ambiguité dans la lecture.
Oh bien sûr, il pouvaient encore utiliser l'affichage, quoique, lorsqu'un 3 était affiché sur le digit fautif, ils ne pouvaient dire qu'il s'agissait d'un 3 ou d'un 9, et ils n'avaient pas d'autre moyen de le savoir!









Ils disent que, de manière à assurer un fonctionnement correct sous toutes les conditions, un test de prélancement activera tous les segments, et l'intensité sera variée sur toute la gamme des intensités possibles, alors que l'affichage sera observé pour des déficiences éventuelles.
Oh vraiment? Nous aurions pu nous attendre à ce que ce test soit fait auparavant!









Mais nous savons déjà qu'ils sont trop paresseux pour faire des tests sérieux avant les missions.









Une voix doublée (écho) a été entendue pendant les activités extravéhiculaires.









Cela viendrait du fait que la voix que les astronautes reçoivent dans leurs écouteurs serait entendue par leur microphone.
Ils disent que le fait d'utiliser le mode Simplex éliminerait l'écho pour les astronautes, mais pas pour le sol qui aurait encore l'écho de CAPCOM.









Alors que le mode duplex permet la transmission simultanée dans les deux sens...









...le mode simplex permet seulement la transmission dans un seul sens à la fois.









Dans le mode simplex, lorsque le sol parle, les astronautes reçoivent la voix de l'opérateur au sol, mais leur voix n'est pas transmise pendant ce temps.
Donc, dans le mode simplex, le sol ne peut avoir son propre écho, car la voix de l'opérateur au sol allant depuis les écouteurs des astronautes vers leur microphone n'est pas retransmise vers le sol.
Donc, le fait que l'écho persisterait pour le sol dans le mode simplex est une plaisanterie.









L'unité d'enregistrement des entrées n'a pas enregistré correctement pendant le vol.
Le signal de référence a été correctement enregistré, mais le signal de la voix était très bas, et il y a eu un fort bruit de fond.
De plus il aurait du y avoir deux différents signaux de timing enregistrés, un de 4,2 khz, et un de 4,6 khz, et seulement un des deux a été enregistré.
Cela montre au moins que l'enregistreur fonctionnait correctement.
La cause en serait deux fils cassés dans le cablage arrivant à l'enregistreur.
Ils ne sont donc même pas capables de protéger les fils de la cassure.
Une fois de plus les tests avant la mission n'ont pas été faits correctement, mais ce n'est pas une surprise, nous y sommes habitués.
Et, si le fil amenant la voix était cassé, elle n'aurait pas du être présente du tout, et pas seulement diminuée.









L'équipage a rapporté après la fin des activités extravéhiculaires que le bouton sur le coupeur de circuit du bras du moteur était cassé, et deux autres coupeurs de circuit étaient fermés.
Ils disent que la cause la plus probable du dommage était un impact du système de purge d'oxygène pendant la préparation pour les activités extravéhiculaires, et un tel impact a été démontré dans des simulations à l'intérieur du module lunaire.
S'ils peuvent le reproduire sur terre, pourquoi n'ont-ils pas pris des mesures pour empêcher que cela arrive?
Oh j'oubliais, ils ne testent rien avant les missions!









L'interrupteur utilisé pour commander un des réacteurs du RCS a montré une réponse lente aux commandes envoyées pendant la plus grande partie de la mission.
Le temps normal de fermeture était de 0 à 12 millisecondes selon les tests au sol, mais il aurait monté de 25 à 30 millisecondes après la panne.
Mais de toute façon, somme la période de guidage est lente (2 secondes), cela n'a guère d'importance si le temps de fermeture de l'interrupteur est augmenté de quelques millisecondes.









C'est même parce que les réacteurs du RCS ne pouvaient pas être commandés assez rapidement qu'ils n'étaient pas capables d'éviter un mouvement notable de balancement dans la remontée (visible dans la remontée d'Apollo 17), quand ils devaient corriger le déséquilibre causé par le décalage du centre de masse relativement à la poussée du moteur de remontée (qui ne pouvait être pivoté).









Donc le fait que le temps de réponse de l'interrupteur d'un réacteur latéral était accru de quelques millisecondes avait peu d'impact sur le guidage du module lunaire.









Après que le module lunaire ait été mis en orbite, de l'eau a commencé d'entrer dans l'habit par giclées à des intervalles d'environ une minute.
Le commandant a immédiatement sélectionné le second séparateur d'eau, et les giclées se sont arrêtées après 15 à 20 minutes.
Un test de plus qui n'a pas été fait avant les missions.
Et si le problème venait du premier séparateur, pourquoi le problème ne s'est pas arrêté plus rapidement après la sélection du second séparateur?









Il y aurait eu des signaux d'avertissement pour trois paires du RCS.
Les signaux d'avertissement ont été éteints en agissant sur l'interrupteur du circuit de l'électronique des alarmes.









Il y aurait une explication pour ceci: Dix des 16 sorties de commande de pression sont conditionnés par 10 buffers dans un module du système électronique qui conditionne les signaux.
Si soit le courant continu 28V est interrompu ou bien un oscillateur qui fournit un courant alternatif aux 10 buffers a un problème momentané, aucun des 10 buffers ne répondra aux commandes de fermeture.
Le problème est qu'il y a un réacteur des paires qui ont émis les signaux d'avertissement qui n'est pas commandé pas l'un des 10 buffers.
Le signal d'avertissement aurait donc du persister sur celui-ci.
Ils émettent l'hypothése que la panne sur celui-ci se serait réglée toute seule.
De tels miracles arrivent dans l'univers d'Apollo!









Le cable pour la caméra de télévision de la surface lunaire aurait conservé sa forme bouclée après avoir été déployé sur la surface lunaire.
Alors ils ne sont même pas capables de fournir un cable qui se déploie normalement.









Durant les préparations pour les activités extravéhiculaires, l'équipage a éprouvé une difficulté considérable pour relier le connecteur de l'unité de contrôle (que les astronautes avaient sur leur torse) à celui du système de survie (que les astronautes portaient sur leur dos).
Et bien sûr, ils ne pourraient pas avoir testé ces connecteurs avant la mission, ils ont préféré laissé les astronautes faire le test eux-mêmes, au péril de leurs vies!









La force requise pour fermer les conteneurs d'échantillons lunaires a été bien plus importante qu'attendu.
Bien sûr c'était bien trop fatigant pour les ingénieurs de tester les conteneurs avant la mission alors que les astronautes pouvaient le faire eux mêmes!









Sérieusement, pensez-vous vraiment que les ingénieurs aurait écrit un rapport d'anomalies aussi bizarre si la mission avait été réelle?









Si la mission avait été réelle, un tel manque de professionnalisme aurait inévitablement conduit au crash du module lunaire.

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