Ces paragraphes sont extraits de textes
d'un ami.
J'apprécierais qu'ils ne soient pas
empruntés!!!
Voir autrement
Que ceux qui voient vraiment,
des arcs-en-ciels avec leurs oreilles,
Venant d'une musique,
Tellement romantique:
Suffit d'y penser,
De se laisser bercer
Comme une fleur
Poussée par le vent,
Sentir son odeur
Pour un instant
Et vaincre ses peurs
En y croyant,
Pour ouvrir son coeur
À son amant.
Pas un enfant qui vient au monde
Sait comment fabriquer une bombe,
Il l'a sûrement appris
D'un plus grand que lui.
Hier encore, je me demandais
Qui est le plus grand?
L'homme ou l'enfant.
Hier encore, je me demandais
S'il y a trop de grands
Et pas assez d'enfants.
On décore les hommes,
Les femmes en font seulement partie,
Ils portent les couronnes,
Pourtant, Elles nous donnent la
vie.
Un homme qui va de femme en femme,
On l'appelle "Don Juan".
Une femme qui veut en faire autant,
On l'appelle, vous savez Comment.
L'homme, qui parmi les autres,
Devrait avoir des remords,
Est celui qui crie de plus en plus
fort,
Qui fait du mal à ses enfants,
Sans la moindre pitié,
Et à la femme qui pleure
À ses côtés.
Les sautes d'humeur,
Qui forment le caractère
des ados,
Sont marquées de hauts et
de bas;
Comme un arbre qui perd
Ses feuilles à l'automne
et les retrouve au printemps suivant.
Si le tronc est toujours vivant,
Que le soleil est bien ardent,
Que la pluie est au rendez-vous,
Il grandira pour faire de l'ombre
À ceux qui s'abriteront
en-dessous.
Il y a des peines qui en valent
la peine,
Et des pleurs qui sont sans valeur.
On devrait toujours se demander,
Si ça vaut la peine d'en
pleurer.