Site hosted by Angelfire.com: Build your free website today!

L'Impératif Hedoniste

hedoniste@ca.tc

0. Introduction

1. Comment?

2. Pourquoi?

SOMMAIRE

1.0 Sabotage à la fabrique.
1.1 Le Programme Biologique.
1.2 Pomper Plus Le Volume.
1.3 Civiliser Le Neurotransmetteur.
1.4 L'Importance Cardinale de Gratification en Différé.
1.5 La Génétique Moléculaire Du Paradis.
1.6 La Ré-Encéphalisation de l'Émotion.
1.7 Comment Se Fait-il Que Tout Est Si Bon?
1.8 L'Amour Est Tout Ce Dont Nous Avons Besoin?
1.9 Le Goût De La Dépravation.
1.10 Sur La Romanisation Malavisé des Fauves Psychopathes.
1.11 La Dernère Molécule Abominable Sur Terre?
1.12 La Persistance de la Porno Pure et Dure?
1.13 Les Plaisirs Croissants de l'Homuncule.
1.14 La Conscience Post-Perceptuelle.

"Dieu est dans Son Ciel - Bien avec tout le monde!" (Robert Browning)

1.0 Sabotage à la fabrique.

Retour au sommaire

Pour s'abstenir de l'astreinte du tapis roulant hédonique, nous devons, en premier lieu, saboter une série de petits mécanismes, fort pervers, de rétroactions négatives. Ceux-ci sont génétiquement encodés dans la conscience cérébrale. L'abus des drogues récréatives ne transcende pas ou ne subvertit pas comme tels, ces mécanismes. Au contraire, en fait, ceux-ci les amènent à jouer un rôle ingrat et à engendrer des mesures de rétorsion. Les euphorisants rapides-et-salaud d'aujourd'hui sont néanmoins instructifs. Ils nous donnent un aperçu intriguant de l'état naturel de conscience de l'humanité, de qu'elle pourrait devenir si plusieurs conduits métaboliques neuronaux disgracieux eurent été interdits ou éliminés. Un meilleur indicateur de l'avenir émotif de notre vie organique, date du début de la décade de 1950. Les cobayes malgré eux étaient des vétérans, et des patients dans un sanatorium américain pour tuberculeux. Aux résidants, ils prescrivirent; l'Iproniazid, un médicament inhibiteur-MAO, mais celui-ci n'a pas guéri que leur tuberculose. Après quelques semaines de traitement, beaucoup d'entre eux ont commencé à se sentir étonnamment heureux. Les médecins ont décrit leurs malades, peut-être de façon colorée, comme "dansant dans les couloirs". Pour la plupart, les vétérans n'avaient pas précédemment été des dépressives cliniques, ni particulièrement irritables. Leur euphorie, survint subitement, n'était pas une réaction liée au fait que leur état de santé eux été restauré. De plus, contrairement à la plupart des drogues récréatives, la tolérance à l'inhibiteur-MAO, l'effet secondaire des substances égaillant l'humeur, et le danger appréhendé d'une escalade de la dose non contenue, ne ce matérialise pas, pas dans ce cas en particulier. Plutôt, il appaire que l'inhibiteur-de-MAOs en tant que classe de substance, peut provoquer un re-règlement bénin et à long terme de plusieurs familles de récepteurs protéiniques des cellules nerveuses impliquées dans ce qui fait de nous des êtres heureux ou triste. C'est tout à fait par inadvertance que la médecine moderne avait découverte un égailleur d'humeur persistant et don les propriétés furent celles d'une catégorie remarquable et diverse, les molécules bienfaitrices; l'oxydase inhibitrice de monoamine. L'oxydase monoaminé a deux principaux types, malencontreusement classer A et B. Elle est une enzyme responsable de la déamination de la monoamine des neurotransmetteurs tel que la dopamine, la noradrénaline et la sérotonine. Elle déamine aussi la phénylethylamine, ce retrouvant à l'état résiduel dans le chocolat et que nous relâchons sous le coup de foudre amoureux. L'isoenzyme-A MAO deamine la sérotonine, la norépinéphrine et, de façon moins significative, la dopamine. L'Isoenzyme-B décompose la dopamine et phénylethylamine. L'action des neurotransmetteurs monoaminique sur les récepteurs post-synaptique, et la post-transduction intracellulaire en cascade qu'ils provoquent, joue un rôle vital dans la médiation de l'humeur et de l'expérience émotive. L'épuisement des stocks monoaminiques dans e.g les vésicules synaptiques par la reserpine un médicament anti-hypertension, peut parfois entraîner de sévère et même des dépressions pathogènes. Des niveaux élevés de dopamine, d'autre part, sont associé à la manie (hypo) euphorique.
En modulant la disposition synaptique, et conséquemment re-règlement de récepteurs, de neurotransmetteurs de base, à long terme, l'inhibiteur-MAOs ont servient du premier groupe de médicaments disparate catégorisé, de façon rebutante, en tant que "antidepressants". Aujourd'hui, la récolte est en grande partie médiocre. Des produits licenciés tel que les tricycliques, sont en général improductif pour des gens qui n'ont jamais été diagnostiqué comme étant cliniquement déprimé. Ils ont tendance à être sédatifs. Leur action atténue, malgré que ce soi discrètement, l'intellect et la sensibilité. Les agents thérapeutiques plus traditionnels - au moins jusqu'à ce que le développement de (relativement) bloqueurs de réabsorption de sérotonine sélectif tel que le Prozac (fluoxetine) et la noradrénaline et les bloqueurs de réabsorption telle que le Reboxetine - sont "malsains", ces médicaments ont très peu d'acuité. Ils ont beaucoup d'effets secondaires troublants. Ils aplanissent fréquemment plutôt que d'approfondir les émotions. Plusieurs marques, parmi les plus vieilles encore en circulation, sont imprécis et les conséquence irréversible. Ces inhibiteur-MAOs sont potentiellement dangereux si non gober régulièrement selon la posologie et en cas de non respect de restrictions diététiques rigoureuses . Ils le sont tous, grâce à l'éthique puritaine du corporatisme médical. Ils furent homologués et mis en marché avec le but délibéré de ne pas induire un sentiment euphorique de bien-être ("du-potentiel-d'abus") chez l'utilisateur.
Ce se sont leurs successeurs, ceux dérivés de siècle passé, d'étrange pseudo-concoction psychotropes, or les euphorisants illicites à action rapide d'aujourd'hui, promettent de délivrer la population "euthymique" de son cantonnement dans le ghetto psychochimique des maladies causées par la mauvaise qualité d'une souche génétique quelconque. Les égailleurs d'humeur, les puissants et ceux qui durent - non pas des "anesthésiques psychiques" cliniques ou des drogues de rue octroyant une "gratification instantanée" - nous serviront de coche d'enclenchement pour l'enrichissement de la vie jusqu'à ce que les thérapies géniques radicales permettent d'annihiler intégralement les pathologies de Darwinienne de la conscience. Euphorisants de designer, à dispersion en différé, laisseront présager un éventail étendu de traitements innovateur. Collectivement, ils guériront ce que notre postérité post-humaine sophistiquée reconnaîtra comme un désordre-dérivé-des-gènes-de-l'humeur-tarés. La plupart du temps en ce moment, nous ne pouvons faire - et ne pouvons - appréhender l'étendue des malaises qui nous affuble. Puisqu'il y a de puissants arguments qui réputent que la conscience de tous les jours, pour ainsi dire; n'est pas transcendantalement merveilleuse. Est-ce les premiers symptômes d'une profonde atteinte de notre santé mentale?
Aujourd'hui, cet aspect est loin d'être reconnue dans grand public. La maladie mentale porte toujours un stigmate. "Bien-sur-que-je-suis-bien". Il n'y a rien qui cloche avec moi! " est encore une expression déclamée machinalement. Être dépressif équivaut à avoir endommagé sa santé, d'avoir bas-statut, un choix pauvre type comme camarade, et d'être généralement antipathique. Alors il s'instaure des mécanismes d'auto-défense de dénis et de démenti pour palier à l'échec de l'imaginaire, en cours.
La défensive et le démenti ne seront pas nécessaires pour toujours. Par conséquent, en quelques générations, la joie de intoxicante de la vie normale sera génétiquement pré-programmée. Les drogues psychotropes seront redondantes. Le bien-être pur peut devenir potentiellement une prédisposition profondément naturelle de la vie de tous les jours. Le bonheur existentiel non édulcoré s'infusera dans chaque seconde de l'existence éveillée et de la vie onirique; il assouvira de tout point de vue le corps et la psyché. Tristement, le genre de thérapie génique à la base des cellules souches d'une lignée appropriées, prennant effet toute une vie, procurant un état euphorie de haut niveau adéquat pour tous, qui peut être contrôlé, est de loin de devenir réalité, quelque façon qu'on s'y prennent. Dans l'ère transitoire, les égailleurs d'humeur chimique seront essentiel aussi.

1.1 Le Programme Biologique.

Retour au sommaire

Les Méta-Récits grandiloquents ne sont pas très à la mode actuellement. L'histoire peut, en effet, apparaître comme une succession de phénomène insupportable. De nos jours, le plus près que nous nous approchons d'un quelconque dénouement de l'intrigue de l'histoire et du pourquoi la vie sur la terre se dirige ainsi. Quand d'habitude on se borne à un déterminisme technologique simplet. Néanmoins, une esquisse de parcours est possible par laquelle toutes les sources de valorisation négative seront purgées du monde seront exposé ci-dessous. Les autres stratégies biologiques pour la Maximisation-de-la-Valeur-Cosmique(!) - Ou simplement de rendre tout le monde beaucoup plus heureux - sera envisageable. Les détails et les variations importent. Chaque famille d'options pour naturaliser-le-paradis-sur-terre a besoin d'être recherché à fond - et non seulement l'objet d'une discussion philosophique. Pourtant il est vital de saisir le but visée. Bannir la souffrance en général et en particulier de nos premiers plans défaillant du moyen pour l'atteindre. Les petites avaries techniques de quoi qui soient proposé ici, ne devrait pas avoir la permission d'altérer la stratégie générale en elle-même.
Ce programme biologique particulier, au moins, est inspiré par un sens de l'urgence morale presque désespéré, pas de la technophilie avancée d'un hurluberlu. Pour enrayer cette pratique, tout à fait littéralement, il suffit d'essayer, quotidiennement, consacrez quelques minutes à pratiquer l'empathie systématique! À tout instant des choses très éprouvantes arrivent aux gens comme vous, à moi et à nos êtres aimés. L'horreur de toutes les sortes de souffrance est trop explicite pour être descriptible et inconcevablement épouvantable. Sous un régime de Darwinien "naturel", des expériences assurément horribles - de même qu'un malaise endémique légèrement incommodant, couve depuis longtemps - ils sont aussi banal et qu'inévitable. Au Deuxième Chapitre, j'argumente en faveur de l'arrêt complet. Puisque le "devoir" interpelle le "pouvoir", premièrement, il doit être établi que l'élimination d'une catégorie d'expérience désagréable n'est même pas une option biologiquement faisable. Je ne réfute pas les leçons des études sur l'auto-stimulation intracrânienne - en dépit de leur mauvaise image contemporaine -.
Le grand dessein biologique ne fait seulement que l'esquisse d'un prototype grossier d'un paradis de post-Darwinien réfléchi. À partir de nos croquis, l'avenir probable des percées neuroscientifique est plus qu'incertain. Le difficile à prévoir, leur évolution, la forme spécifique que prendront les percés et des durées projetés. Les experts dans les domaines de spécialité pertinents sourcilleront sans aucun doute, au moins à quelques endroits. L'Impératif Hédoniste, consiste en un survol à batton rompu, d'une courte pointe de matière interdisciplinaire, il est ambicieux et traite des sujets de spécialiste complexes. Inévitablement, une partie de la neuroscience "pop" est simpliste au point d'être parodique. Des sourcils devraient être soulelevés, cet exposé sommaire mais tranchant, soulève divers problèmes philosophiques. Souvent, à lui seul, un mot contenu dans une phrase mériterait un livre. La multitude de problèmes pratiques, médico-légaux et socio-politiques qui accomplissent cette Destinée Manifeste, celle de notre neurochimie, sera principalement escamoté.
Ces filières sont importantes. Pourtant en les laissants de côté, le programme biologique peut être divisé, un peu arbitrairement, dans trois étapes. Ils sont ici classés en raison de leur difficulté. Heureusement, les étapes coïncident et sont d'une importance éthique relative, puisque l'apaisement du mal-être et l'élimination de la souffrance brute sont plus faciles à accomplir que l'affinage des subtilités architecturales du paradis. Moins heureusement la description biochimique de la mécanique du sublime ne fait que travestir la nature de l'expérience elle-même. La prose de sous-académique qui suit, détraque inévitablement ce qu'elle vise à élucider. Ce qui en est la cause; la libre association de termes contaminés, associée à l'abus de drogue, le génie génétique, l'eugénique, ou même l'atmosphère frigide de laboratoire. Notre perspective actuelle sur la biopsychiatrie utopiste est passé sous silence. Notre système d'éducation néglige pratiquement toutes les fondations psychobiologiques de toute la vie émotive. Heureusement, ce système fournit aussi les outils formels pour que nous puissions décrire et éviter notre infortune.
Ce qui est vraiment nécessaire, au-delà des simples formulations chimiques, est un nouvelle matrice conceptuelle - un guide de l'utilisateur pour cartographier des royaumes magiques. Alors d'étranges interrogations surviendront. Pourtant une fois que de tels outils peuvent être développés comme les nouveaux états-d'être, l'expérience accessible, ce complot révolutionnaire conceptuel qu'ils représentent sera un besoin moins urgent.
Un jour, nous pourrons avoir des pensées aussi bien que nous avons des couchers du soleil. Leur éclat remplacera l'insaisissable et phénoménologuement mince de petit chatouillement cognitif triste que nous (apparemment) mêlons ensemble et c'est via ce manifeste que ce fut écrit et lu. Dans l'entremise le sordide, ou au mieux le vocabulaire impersonnel de la chimie est tout indiqué et nous y en remettre pour communiquer comment faire ce qui doit l'être. Un paradis terrestre peut seulement être atteint, par l'application profane de la science. Cela n'arrivera pas via les discours religieux édifiants ou la magie.
1.2 Pomper Plus Le Volume.

Retour au sommaire

Un ingrédient brut mais efficace de l'étape initiale du programme biologique impliquera la modification méso (cortico-) du système de dopamine de limbique. Ce qui est controversé, est une petite vulgarisation puisque que dopamine n'est pas en elle-même "la molécule magique du plaisir", le circuit de récompense mésolimbique emprunte le tronc commun final dans le centre du plaisir cérébral. Le relâchement de dopamine neuronal peut être "naturellement" déclenché via les mécanismes-de-transduction biochimiques. Il est d'habitude déclenché par les stimuli écologiques adaptatifs. D'autre part, de relâchement de la dopamine peut aussi être persuadé plus directement usant de substances illicites. L'anticipation, le manque de cocaïne en crack, par exemple, signale faussement un gain de santé Darwinien énorme. Quoiqu'il en soit, bien que le système nerveux central ait des dizaines de milliards de cellules, que sa source mésolimbique de plaisir, de motivation et de libido comportent seulement quelques 30-40 milles; et clairement ceci n'est vraiment pas suffisant.
Les axones et dendrites de neurones dopaminergiques du mésolimbique nervurent les plus hautes régions corticales du cerveau. Ainsi ils facilitent la médiation génétiquement adaptative "d'émotion encéphalisé". Ce petit tour futé a servi notre ADN, mais nous très peu fréquemment, bien amicalement. L'encéphalisation émotive convainc ses victimes que ce bonheur est indissociable de la présence ou de l'absence du bonheur sans d'objet intentionnel imbriqué typiques. Nous sommes heureux ou tristes à l'égard de certaines choses. Entièrement sans coïncidence, la réalisation de nos objets intentionnels types les plus chargés émotivement a tendance à promeuvent la santé incluse de nos gènes. Grossièrement, nous aimons ce qui est bon pour eux.
Malheureusement, ils ne se préoccupent pas de nous. Nos gènes ne veillent pas sur leurs véhicules très longtemps. Dans la vie adulte, les neurones dopaminergique meurt à un taux de plus de 10% par décade. Leur mort assure que la sénescence est marquée par un déclin dans l'unité, de la libido, du plaisir et de l'intensité de l'expérience en elle-même. Même dans la jeunesse, la pleine ampleur et la plus belle expression des cellules-du-plaisir dopaminergique est continuellement frustrée par des rétro-réactions inhibitrices. Ceci découle autant des autorécepteurs pré-synaptiques des cellules elles-mêmes et des procédés des autres neurones, souvent moins bénins, des neurones synapsant sur eux.
Donc ce qui doit être inclus, dans n'importe quel programme systématique de bonification-de-la-vie, est une stratégie de multiplication simultanné de leurs nombres, et d'inhiber sélectivement les rétro-réactions réductrices, chez les cellules dopaminergique du mésolimbique. Parvenir décupler au centuple, initialement apparaît modeste, l'accentuation de la capacité de l'organisme pour le bien-être n'est pas, il est inutile d'ajouter, simplement une question d'enclencher génétiquement une prolifération non contenue de neurones dopaminergique; malgré qu'il est nécessaire de le mentionner, en qui a trait aux causes de mortalités, une tumeur des cellules du plaisir serait pas dénudée d'un certain charme fantaisiste. Ni, bien sûr, le fait qu'un régiment d'amplification-du-plaisir soutenu signifie simplement l'amélioration des niveaux de dopamine dans les synapses. La stimulation post-synaptique excessive particulière des sous-types de récepteur de dopamine est impliquée dans, par exemple, les symptômes de patente de la schizophrénie. Il marque aussi les excès de psychotique ultime de l'égoïsme, de l'intoxication proposée au crack. La monothérapie est si rudimentaire qu'elle n'accomplirait sûrement pas le travail d'elle-même.
1.3 Civiliser Le Neurotransmetteur.

Retour au sommaire

Il y a une approche, à deux voies, dès plus prometteuse. Celle-ci consiste à rehausser le métabolisme des sous-types dopaminergique et sérotonergique.
La sérotonine fut décrite comme étant le "neurotransmetteur qui civilise". Une telle étiquette est une information utile de mnémotechnique. Il est opportun de noter que même la simple monoamine a quinze sous-types de récepteur plus ou moins fonctionnellement distincts. Le dysfonctionnement sérotonergique est associé à l'irritabilité, la colère explosive, la violence, la sociopathie, et le suicide. En revanche, le sentiment extraordinairement profond d'amour, de confiance et d'empathie inspirées par "la pénicilline de l'âme", le MDMA, est principalement dû à la sécrétion massive de sérotonine que son usage provoque. Cela ne cause qu'une modeste sécrétion de dopamine. La sécrétion simultanée de la dopamine et de la sérotonine est nécessaire pour inhiber les effets du MDMA sur la sensibilité neuronale sollicitée par le glutomate dans l'accumbens pour que l'effet magique des noyaux batte son plein. En tout cas, les conséquences de gober une pilule nonchalamment peuvent être révélatrices et marquantes. L'ennui est, qu'aujourd'hui, la magie ne dure plus!
Il n'y a pas de bonne raison pour laquelle il doit en être ainsi. Un système neurobehavioural évolué pour maximisé sa santé de Darwinien, peut être reconçu pour plutôt, maximiser son bien-être personnel. Sur cette base, il serait éminemment raisonnable de développer des mélanges cocktail à action différé, en utilisant des substances qui ne sont pas neurotoxiques, des égailleurs d'humeur persistant. Ceci pourrait nous rendre tous très joyeux et révolutionne notre conception archaïque de la santé mentale. La vie de tous les jours dans Éden médicalement accentué peut fusionner, si nous le choisissons, l'euphorie la plus enlevé, éprise-de-la-vie d'un puissant dérivé de la dopamine avec l'amour tranquille et mystique "empathogène" ou "entactogène" du MDMA ("extasy"). Les états incisifs, la pensée volontaire résolue peuvent coexister avec l'amour profond que nous avons pour nos camarades. Si nous le voulons, nous pouvons réaliser des états tels, les occasionner naturellement, grâce à la biologie; et finalement ils seront innés. Il y a des bons temps qui s'en viennent. Comme l'ingénierie hédonique ce développera en une discipline mature, les modes paradisiaque génériques de que nous optons pour, pouront alors être génétiquement pré-encodé. Les extatiques naturellement nés proliféreront. Tous les merveilleux modèles arbordés dans cette section de L'Impératif Hédoniste seront perçu comme les prototypes simplets. L'innovation, les bio-paradis à haute spécification de l'avenir seront de loin beaucoup plus riches. La compétence sémantique nous fait défaut pour que nous puissions en discuter raisonnablement. Mais quoiqu'il advienne de nos entretient approximatif, notre but est d'entamer la brèche, au tout début c'est l'objectif stratégique ultime, ensuite; l'accomplissement de l'ingénierie neurochimique de précision du bonheur pour chaque organisme doté d'une conscience sur cette planète.
Çela vous semble rébarbatif? Certainement si, au départ, alors que presque chaque mouvement historique de réforme radical le fut; incluant, très certainement, ceux qui furent sans l'ombre d'un doute rébarbatif.
1.4 L'Importance Cardinale de Gratification en Différé.

Retour au sommaire

Finalement, le bien-être fera intégrale de notre nature. Un robuste réseau de mécanismes homéostatique assurera que toute l'hérédité extatique et la façon don les points névralgiques hédonique sont génétiquent encodé, le seront bien audelà des maximums minimes d'aujourd'hui. Cependant à l'ère transitoire, l'usage répandu de substances rendront dans cette pratique inévitable. La thérapie génique en est à l'enfance de son âge; et les interminables épreuves cliniques avec des cellules souches sont encore loin d'être effectuées chez les humains. Donc il est critique, de mettre l'accent médicalement sur l'implication socialement responsable de l'aspect pharmacologique de la stratégie de transition biologique. Nous devons êtres (relativement) renseignés sur les effets structuraux et fonctionnels dans le tissu nerveux à long terme qu'un cocktail euphorisant de récompense en différé caractérisera dans conscience cérébrale individuelle. Les drogues récréative à aaction rapide ne sont que strass et désillusion. Nous devons maîtriser - et instruire nos enfants à cet égard - sur les équivalences pharmacologique et sur les mérites de la gratification en différé.
Les délais thérapeutiques découlant du re-règlement de récepteurs génétiquement déclenché peuvent être en quelque sorte, très utiles. Ne pas simplement développer moins de tolérance. Non contenu et potentiellement inconvenant besoin irrépressible (de manger,de boire,de consommer) sur un e substance arrive quand il y a le retard minimal entre ingestion et la récompense. Par le contraste, le prévu gène-changé, en haut- ou l'en bas-règlement du pré-et post-synaptique neuronal récepteurs dans un régiment d'égailleur d'humeur persistant prendra généralement jusqu'à plusieurs semaines à completer. Heureusement, l'ingrédient en question, la sérotonine embellie, prédispose à la patience à l'accroissement du contrôle de l'impulsion ou même de l'humeur.
Peut-être une comparaison avec la nicotine pourrait être utile ici. Dans son montage actuel, le a substance est si accoutumance, pas à cause du tout à fait minimal "haut" persuadé, mais à cause de la vitesse véritable de début de son succès intrinsèquement doux grâce au mécanisme de livraison coutumier. La "récompense" vient de sept secondes après inhalation. Si l'hâte de orgasmique d'entier-corps de même crack-cocaïne a été retardée pour dix jours plus ou moins après sa consommation, alors le a substance serait loin moins d'un de problème social et médical qu'il est en ce moment. Tragiquement, la plupart de ses utilisateurs actuels semble inaccoutumé avec, ou avoir long depuis oublié, le concept de récompense retardée. Ils ne pourraient vouloir pas maintenant à l'attente presque si long.
1.5 La Génétique Moléculaire Du Paradis.

Retour au sommaire

Stratégique une pharmacothérapie et sur toute l'espèce, du genre de ce qui ci-dessus mentionné peut être mener à bien, et s'allié la synergie, du génie génétique à musure qu'il matures et ne soit plus de simple bricolage. La thérapie génique ciblera les cellules de somatique et, après mures réflexions, les cellules souches. Si elle est appliquée astucieusement, en combinant l'accroissement cellulaire du système de la dopamine du mésolimbique, en altérant le fonctionnement métabolique en sélectionnant les clefs des sous-types intracellulaires des canaux sérotonergiques, et la désactivation de plusieurs procédés d'inhibition contrecarrant la rétroaction mettront en place l'architecture biomoléculaire pour une transition majeure dans l'évolution humaine - celle de la vie elle-même.
La ré-ingénierie de morceaux des circuits psycho-neuronaux que nous venons d'esquissés, le peuvent, évidemment, cela semble un peu trop ambitieux, improbable, futuriste. Comparativement, cependant, ces techniques reviendront à une pratique primitive inepte si on le compare à son équivalent révolutionnaire pour conscience cérébrale repensée et améliorée, celle qui sera probablement entreprise dans le millénaire à venir.
Ce ne sera pas seulement la qualité et la quantité de la conscience dans le monde que sera transformé dans les premières étapes de la Transition post-Darwinienne. À mesure que l'humanité émergera de son "obscurantisme" psychochimique, l'utilisation de faculté dopaminergique rehausser en particulier affûtera la véritable intensité de chaque instant de l'existence consciente. Pour une génération dont les vies traversent les deux modes de conscience, ce sera comme s'ils ont les réveillaient en haut après qu'ils eux somnambulé toutes leurs vies sur le bord de la stupéfaction. Par la suite leur ancienne existence mondaine minimaliste sera seulement un vague souvenir de la catégorie des états de transe zombifiée. Notre propre conscience "ordinaire" peu apparaître sans profondeur, un malaise ennuyant dont les propriétés physiologiquement nous échappent, nous sommes incapables des distinguer "de l'intérieur". En ce moment, cependant, nous manquons des substrats neuraux pour que nous ayons la capacité de contextualiser nos connaissance archaïque dans un climat pré-ou post-Darwinien. " Qu'est-ce qu'un poisson sait de la mer dans laquelle il nage? ", Einstein fit remarquer: avec sa sagesse de génie, peut-être, qu'il se trouve des pêcheurs qui savent où en trouver.
D'autres neurohormones, des facteurs de transcription, les opiacés, les activateurs de tyrosine-hydroxylase, les sécréteurs d'ocytocine, les récepteurs régulateurs de densité et les second et troisième messagers intracellulaires, les protéines de phosphorylate, et des inhibiteur et les instigateurs génétiques qui sont impliqués dans la modulation de l'humeur, la longueur d'onde de la douleur et sa composition psychophysique émotive sera modifié par ordinateur, le programme biologique résolu. Les détails sont désordonnés et compliqués. Naturellement, les systèmes de neurotransmetteur s'entrelacent finement. Ils peuvent être traités isolément, concevables seulement dans le but d'être démontrer avec brio. Ils forment une interaction complexe et délicate de boucles de rétroactions qui défient les simplifications et les synopsis faciles. Dans ce siècles d'avenir, nous seront collectivement engagers dans le re-travail de la texture de l'expérience. Notre bonheur sera embelli avec plus que jamais peuplé de grand art et de finesse. En retour, plusieurs déclencheurs sournois d'une insolence jamais (l'e.g. bradykinin, substance P) sera banni du sensorium, quelqu'un a pour toujours confiance.
1.6 La Ré-Encéphalisation de l'Émotion.

Retour au sommaire

Ces procédures établissent les fondements de l'hédonisme pour un état extatique étourdissant solidement établi au sein d'une existence consciente. La question la plus pressante à examiner après est; que feront - et que doit-on faire de ça? Pourquoi, et comment, l'émotion devrait être encéphalisé dans une ère où l'intention n'est plus liée à avancement la vitalité d'un ADN autorépliqué? À propos de "quoi" devrions-nous nous réjouir?
C'est que le vrai enjeu intellectuel, finalement, ne se trouve pas dans une maximisation du bonheur véritable. Après tout, si la félicité éternelle était l'unique objectif, un rat avec les électrodes plantées dans ses centres de plaisir indique déjà la voie à suivre. En fait, nos descendants peuvent trouver qu'engendrer des états génériques bonheur de toute une vie insignifiant et facile. Cependant, la plupart d'entre nous, intellectuellement, somment tout à fait snob. Nous ne voulons pas dé-encéphalisé nos d'émotions. Nous aimons les bonnes ambiances, mais aussitôt qu'on laisse transparaître une frénésie orgasmique du perpétuel plaisir, cela remue des sentiments, les plus ambivalents qui soient. Dans les limbes la canalisation nerveuse du néocortex sera aussi adaptable à cause qu'elle permet à quelques objets intentionnels, ceux des véhicules génétiques sophistiqués, à ressentir ce qui en soi est bon ou mauvais. Nous voulons éprouver du bonheur - nous sommes heureux de l'être pour de bonnes raisons - nous sommes génétiquement égocentriques aussi souvent que nous le pouvons.
Nous serons bientôt à même d'entièrement désamorcer cette dangereuse tendance. Mais nous ne voudrons pas à l'abolir. Au cours des générations à venir, la première objectif de l'attention du savoir-faire neuroscientifique sera la retopographication de l'arborisation axonale et dendritique du néocortex. Ce qui rend la rationalisation de l'émotion possible. Le dessein de cette réévaluation du rationnel peut être l'amorçe de notre nouvelle façon d'assouvir nos désirs de deuxième-ordre pour qui et ce que nous voulons devenir. Finalement, ce qu'il adviendra de nous, nous est difficile à imaginer. On peut sans peine prédire qu'il sera totalement sublime.
L'utilisation de la biotechnologie pour abroger une personnalité, au goût spécifique de son utilisateur. Un choix d'identité, même au sein d'un monde paradisiaque, sera toujours conditionné par les préjugés génétiques, les stéréotypes culturels anciens, et les derniers aléas de la mode. Le leurre du bouton d'autostimulation supra-normal sera, à c'est début, très puissant. Pourtant, nous pouvons aussi êtres enchantés par des idées et des modes d'expérience qui aujourd'hui même n'ont pas encore été conceptualisés. Potentiellement, il y a de loin beaucoup plus de choses réjouissantes à se consacrer que probablement nous pouvons saisir.
Au niveau social, des genres de permis neuro-architecturaux pour toujours émient pour les planificateurs qui en auront vraisemblablement besoin dans le but d'orchestrer de multiples microcosmes à mesure que leurs conceptions utopiques prendront forme. Pourtant l'harmonisation devrait être accomplie plus facilement quand les gens sont déjà des exaltés "tout excités", emphatiques et heureux. Neurologiquement, en fait, il n'y a rien qui empêche la coopération avec les autres une source de joie enlevante; alors qu'hélas ce n'est pas toujours le cas aujourd'hui. Quand la vie n'est pas perçue comme une analogie de jeu zéro somme, l'existence sociale vont être de loin, plus faciles à coordonner.
Au début, les extatiques tout récemment illuminés peuvent tenter de rechercher des réalisations idéalisées d'objets de plaisir purement traditionnels. Effectivement, nous pourrons avoir n'importe quoi que nous avons toujours voulu et encore plus. Ceci inclut l'appréciation des substrats, un sens aigu de la réalité, une perception authentiquement relevée, et de vives et tranchantes exaltation - ou bien la sérénité intense d'une paix spirituelle. Au cours des premiers jours, les usagers peuvent trouver l'idée d'assouvir les plus datant conceptions comme dans la "bonne vieille vie" une perspective rassurante. Avant leur propre transition céleste personnelle, n'importe quel venir de trépidation de paradoxal des candidats pour hédonique enrichissant devrait être placé au repos par le reflet suivant. Rien de ce que nous n'avons précédemment apprécié ne sera introuvable par la suite ou moins satisfaisant qu'auparavant. En fait, nous pourrons motiver la conquête de vieux objectifs, avec de loin plus d'audace, une fois que la faiblesse ne sera plus qu'une curiosité évolutionnaire. Puisqu'alors le faible calibre de notre volonté causée par l'hypo-fonctionnalité dopaminerique est une de ces déficiences neurologiques que même un effort soutenu ne peut pas surmonter de lui-même. Heureusement, au Paradis l'esprit plus faible peut déplacer des montagnes.
1.7 Comment Se Fait-il Que Tout Est Si Bon?

Retour au sommaire

Peut-être que, par exemple, les premiers balbutiements de la vie post-Darwinienne pourraient servir d'indicateur.
L'amant de nature, à titre d'exemple, serait en mesure de contempler avec stupéfaction, une scène sublime émanant du lustre superficiel au lieu de simplement cellui qu'elle avait à offrir avant l'avènement.
Un musicien pourrait souhaiter que ces riches modules fonctionnels contrôlant son apréciation sonore et musicale quite à recevoir une intervention pour amplifier la capacité de son système du plaisir. Il pourrait entendre alors, et avoir l'occasion de jouer la composition musicale la plus exaltante et execptionnellement belles que tout ses ancêtres n'ont jamais rêvés d'entendre; une musique provenant des sphères céleste entendues par des mystiques privilégiés des temps médiévaux sonera alors comme un sifflet d'arbitre en la comparaison.
Le sensualiste découvrira que ce qui avait précédemment passé pour du sexe passionné n'avait été qu'un agréable aperçu des préliminaires. Le plaisir Érotique d'une intensité intoxicante que chair de mortel n'a jamais connu pourra par la suite être apprécié avec une gamme entière d'amis et d'amants. Ceci sera rendu possible parce que la jalousie, pouvant être déjà écarter de façon transitoire aujourd'hui avec l'aide des divers agents stimulant la sécrétion de sérotonine, n'est pas le genre de perversion inspiré du génie génétique que devrait être jugé digne d'attention au cours de la nouvelle ère.
Un peintre ou un fin connaisseur des arts visuels pourront contemple l'équivalent de séculaire de la vision béatifique dans un million manifestation différentes, chacune d'une gloire indescriptible. Les marques lexicales arriérés dont nous disposons aujourd'hui ne seront alors qu'un résidu archaïque à toute fin pratique caduc pour évoquer leur majesté. À mesure que la langue évolue, ce répercute et navigue dans des plans d'existance toujours plus des élevés, une taxonomies fraîche des conceptualisations-du-plaisir sera protagoniste et aidere à définir des modes récemment-découverts de conscience. C'est définitivement mieux qu'un emploi neuf-à-cinq.
En guise d'exercice, le lecteur peut prendre soin d'évoquer brièvement ses fantasmes les plus envoûtants qu'il peut personnellement concevoir. Aussi agréable qu'ils puissent êtres, les états de bonheur divins sont d'un ordre de magnitude supérieur à n'importe quoi qu'une conscience contemporaine peut accèder sera prévalent dans la matrice de la réalité des générations à venir. Même la plus virile des imaginations ne peut appréhender que le sens le plus rudimentaire et formel de la splendeur ravissante qui l'avenir lui réserve.
1.8 L'Amour Est Tout Ce Dont Nous Avons Besoin?

Retour au sommaire

Toujours dans la veine personnelle, la fragilité l'amour propre et d'une image de soi chancelante sera embelli et de nouveau recristallisé. Pour la première fois de leur vie, dans de nombreux cas, les êtres humains pourront consentir à l'amour propre de leur personne et leurs images corporelles. Les ego meurtri et mutilé pourront ainsi être fortifiés. Ils pourront être rescapé du naufrage de leur passé Darwinien et ravigoter. L'amour affichera aussi de nouveaux attributs et de nouvelles personnifications. Par exemple, nous pourrons, non seulement aimer tout le monde, mais être perpétuellement en amour avec tout le monde, aussi; et peut-être, nous serons beaucoup plus dignes d'adulation que les valeurs corrompues que nos gènes promeuvent aujourd'hui. Il a déjà été mentionner que quand dans l'amour nous trouvons étonnant qu'il soit possible d'aimer beaucoup quelqu'un d'autre, parce que normalement nous nous aimons si peu.
Cette indifférence, ou au mieux simple bienveillance diffuse, le reste de la population prend facilement résigné devant les dures réalités sociales du capitalisme de consommation compétitif. Pourtant nos déficiences amoureuses sont seulement une autre manifestation alarmante de l'égoïste (dans le sens technique) de l'ADN. Si les humains avaient partagés collectivement un plus grand degré de relativité génétique en commun avec beaucoup des insectes sociaux, alors nous pourrions déjà êtres "naturellement" aptes à nous aimer avec le plus grand enthousiasme. La sociobiologie explique notre relative froideur de coeur.
Heureusement, dans l'avenir il sera possible d'imiter, et alors magnifier hors de toute reconnaissance, le genre de dévouement altruiste des uns pour les autres qui pourrait survenir si nous étions tous à 100% des clones génétiquement parents. Nous serons à même de tous s'aimer en pièces détachées. Un délicieux mélange d'ocytocine, phénethylamines et d'opiacés - ou de puissantes concoctions divinement inspirées pas encore encodées génétiquement - pouvant être automatiquement déclenché quand n'importe qui apprend qu'elle est disponible ou reconstituable. L'homme Darwinien, par contre, sera vu comme un crypto-psychopathe mal intentionné. Nos successeurs seront de loin, plus gentils. Absolument, ils combineront, l'amour inconditionnel et l'émancipation pour tous et chacun tout en célébrant la diversité génétique et les cultures. En ce moment cette perspective semble en quelque sorte, utopique.
Un autre aspect de l'amour post-Transition peut même apparaître plus étonnant. Les rapports personnels individuels pourront enfin être consentis avec une véritable assurance, si nous le désirons. À travers les âges, d'épouvantables souffrances furent causées par des cruautés destructrices de l'âme des pratiques amoureuses traditionnelles. Nous reconnaissons, principalement, que nous blessons la plupart de ceux que nous aimons. Pourtant, souvent nous ne pouvons simplement pas nous arrêter de ce faire. Avant très longtemps, si nous avons vraiment cette préoccupation, nous serons en mesure de faire quelque chose conséquemment. Quoiqu'en-soi leur cause proximale, leurs origines distales de tant de rapports amoureux briser reposent, une fois de plus, dans les intérêts concourant des coalitions génétiques rivales. Seulement à titre d'exemple, deux amants, peut-être, qui des années auparavant avaient professé qu'ils mourraient plutôt que de se causer des torts de part et d'autre, pour qu'à échéance ils se séparent dans les déchirements et l'acrimonie. Une épouse peut s'apercevoir, qu'avec le déclin de son potentiel reproductif, au fil du temps, qu'elle n'est plus longue sexuellement attrayante aux yeux de l'homme qui s'est engagé à l'amer pour le meilleur et pour le pire. Son partenaire, qui probablement se déteste pour sa traîtrise, se trouve à la déserter elle et leur progéniture pour une plus jeune, une femme sexy, et alors fonde une autre famille. Des vies sont détruites; la santé génétique inclusive est déservie. La nature est barbare et futile au-delà du sens.
Après la Transition, d'autre part, quelqu'un pourra aimer avec passion, une qui ne fut jamais possible auparavant. L'amoureux sera rassuré par la notion qu'il ne les vexera jamais et que lui le sera pas non plus. Le vrai amour peut vraiment durer pour toujours, bien qu'un couple responsable doive prendre des précautions. Si celui-ci désire qu'une relation en particulier demeure singulière et perdure, alors la conception réciproque co-coordonné des uns les autres les espaces de poids de neural peuvent assurer qu'un distinctivement plateau du pic-dépassé dans le nouveau paysage de hédonique garantit structurelement que les uns les autres la présence toujours uniquement remplit. Choisir l'ampleur de la sensation que nous recevons de la présence des uns les autres, aujourd'hui, n'est pas une science exacte. Bien sûr, il est possible que, les générations par conséquent, n'adhérent à notre concept de couple et qu'il leur semble anachronique et pittoresque. Il peut être considéré comme seulement un plus de trace du passé génétique qui est destiné un jour à la passe loin.
L'exemple ci-dessus mentionné est recompté seulement pour démontrer jusqu'à quel point nos inquiétudes sont mal définis et qu'importe leurs prétendues valeurs de ceux qui veulent l'épargner seront d'une manière ou d'une autre débouté à l'époque de post-Transition. Nous n'avons rien à perdre.
1.9 Le Goût De La Dépravation.

Retour au sommaire

Maintenant, avant de considérer les perspectives d'avenir plus lointain des états affectifs dans l'univers, le statut d'animaux non-humains doit être confronté. Ceci est justifié par le fait que la plus grande part de la souffrance du monde est celle des membres de d'autre espèce. Une convergence d'évidence suggère que la nature et l'étendue relative de la vie organique ont des dispositions biologiques pour ressentir la douleur et que celle-ci est aiguillée par des fréquences neuronales spécifique; cellulaire, de densité synaptique et de récepteur; et une architecture fonctionnelle, un système neurochimique distinctif à sein du nerveux central. La douleur n'est pas enracinée dans une capacité générative de syntaxe.
L'humanité se comporte souvent comme si c'était le cas. Puisqu' actuellement nous détenions des centaines de millions d'entités dotés d'intelligence dans des conditions inconcevablement effroyables. Nous agissons ainsi que pour satisfaire nos goûts culinaires. Fait à remarquer; si les animaux ont une conception du démoniaque, elle a sûrement une forme humaine. Hélas ceci n'est pas de la rhétorique abstraite simpliste.
Actuellement, les humains, incarcèrent intentionnellement et abattent systématiquement nos amis les bêtes, par le biais d'une vaste machination sanctionnée par l'état, dans des camps de concentration et d'extermination. Elles sont gérées de façon horriblement mécaniste pour en tirer un profit commercial. En rétrospective, nos descendants pourront les percevoir, d'une certaine façon, comme une caractéristique définitive de notre âge, apparenter, à notre propre conception du Troisième Reich de Hitler. Analogiquement, leur véritable voracité et leur existence même sont habituellement camouflées derrière un paravent d'euphémisme édulcoré.
Heureusement pour notre santé mentale, au moins, nous avons de la difficulté a concevoir convenablement de quoi nous fûmes épargnés. Les conditions dans les élevages et les usines sont fréquemment si macabres que le public s'en voit l'accès interdit donc nous sommes dans l'impossibilité de pouvoir témoigner des atrocités qui y sont perpétrées.
Cependant, pour la plus grande part, ce sont nous qui en sommes des complices volontaires, nous entretenons notre propre ignorance. Par nos achats, nous payons d'autres, pour qu'ils commettent des actes de violence extrêmes qui autrement, pourraient déranger nos propres sensibleries. Ironiquement, n'importe qui qui pratique, ou bidouille dans, l'abus d'un impuissant zygote embryonnaire de notre propre espèce, est fort probablement calomnié et décrié. Les bien pensants trouveront "inconcevable" comment un tel monstre "inhumain" pourrait causer de telle souffrance à une jeune pousse, innocente, impuissante et sans défense. Dès lors, il sera poursuivi et incarcéré.
Ce que nous faisons dans nos usines mortifères est si vil que même quelques lignes de texte ne peuvent à peine, commencer à faire allusion à l'accablement s'y trouvant. Néanmoins, nous sommes si accoutumés à la notion d'exploitation et de meurtre des autres entités pour émoustille notre palais que beaucoup de gens autrement "sophistiqués" trouveront l'expression irréductible de ces paragraphes d'une manière ou d'une autre sensationaliste; ou peut-être "émotive", comme si la réalité de telle souffrance pouvait être autrement convenue.
Avoir pitié de l'affliction des victimes non-humaines que nos actions occasionnent, n'est pas un cas bécotage sentimentalo moche d'un gentil lapineau, ni d'un cas anthropomorphisme enfantin. Ce n'est non plus une question d'accorder plus de soin aux animaux qu'aux humains; ni, comme parfois il est même suggéré avec toute l'apparat du sérieux, de la misanthropie absolu. Les gens empathiques ayant des objections qui se soucient de la torture infligé aux êtres non-humains sont aussi, en général, d'un tempérament plutôt enclint à agir en fonction de réduire la souffrance humaine. Des contrastes tels et de fausses antithèses sont, en tout cas inutile. Simplement en s'abstenant de manger de viande, par exemple, quelqu'un peut quand même consacrer, tout autant de temps à des causes dévouées exclusivement à la condition humaine comme le ferait un mangeur-de-viande pratiquant.
Il y a une vraie lueur d'espoir émanant du carnage en cours. Dans la prochaine centaine d'années tput au plus, et fort probablement plus tôt, la biotechnologie rentabilisera la production en masse de protéine cellulaire comestible pour l'espèce humaine, et en effet de toutes formes de nourriture, d'un sans distinction aromatique, de texture, ou gustative, des produits d'animaux aseptisés que nous mangeons maintenant. Comme nos papilles seront dès lors, satisfaitent par d'autres moyens, les arguments moraux pour les droits des animaux commenceront apparaître pressant. L'élite planétaire occidentale finalement, commencera allouer, aux créatures sensibles que nous torturons et tuons, le statut moral accordé à un bébés et nourrissons humains. Les végétaliens, bien que pas dans, tout à fait, le sens contemporain, deviendront la norme globale. Grâce au génie génétique, l'énorme réduction de la souffrance gratuite prévue ici, auront probablement lieu même si aucune des autres prédictions de l'Impératif Hédoniste n'est confirmée. Si elles le sont, alors le casse-croûte le plus modeste sera plus savoureux et plus délicieux que la nourriture céleste des dieux. Les gourmets d'aujourd'hui pourraient aussi bien se nourrir de frites graisseuses.
Beaucoup plus sérieusement, dans les écosystèmes traditionnels que nous choisiront de maintenir, des millions d'animaux non-humains continueront périodiquement mourir de faim, de mourir horriblement de soif et de maladie, ou même à être dévoré vivant. Ceci est ordinairement perçu comme "naturel" et par conséquent fondamentalement acceptable. En effet, nous nous réconfortons avec la pensée, qu'en quelque sorte cet holocauste animalier permanent importe très peu. Souvent nous nous complaisons dans l'idée bien ancrée que la capacité à la souffrance soit d'une manière ou d'une autre intrinsèquement lié avec une capacité linguistique rationnelle ou des prouesses d'un ordre apparenté. Pourtant il n'y a pas absolument d'évidence que ceci est le cas, et une grande affaire qu'il n'est pas.
Les régions fonctionnelles du cerveau desservant l'agonie physique, "les centres de douleur", et principalement les substrats limbiques de l'émotion, apparaissent en termes phylogénétiques comme remarquablement constant chez les vertébrés. Les canalisations neurales impliquant la sérotonine, la periaquaductal de la matière grise, bradykinine, dynorphine, les récepteurs ATP, les familles majeures d'opioïd, la substance P etc existaient bien avant que l'hominidé foule le sol. La biochimie de la souffrance est non seulement d'une similarité dérangeante à travers un large spectre de vertébré (et même quelque invertébré) mais n'en demeure pas moins différencié au sein de chaque espèce où les individues ne sont pas systématiquement d'un type-identique. Il est possible que des membres au sin de n'importe quelle espèce aient parfois des des cellules de plus dans leur centre de douleur et de plus grandes densité synaptique que celles des humains vues que celles-ci sont exposées à plus de abominable souffrance que les notres, quoiqu'il appert de leur "intelligence" notionnelle. En tant qu'utilitariste [techniquement, une éthique utilitairiste-négative - voir ci-dessous), je devrais dire, contre-intuitive, si cela était ceci à est le cas, alors telles vie-formes de "hyperalgésie" importeraient intrinsèquement, et ils font se trouve que les choses importent intrinsèquement, plus si que nous faisons. Ceci semble extravagant exagéré. Mais c'est qu'une gradation éthique par laquel nous devrions évalués la question plus que notre silicium de appauvri de phénoménologique etc les siècles de mentors intellectuels par conséquent. Un doit espérer seulement la notion de dérangeante qui n'importe quoi, n'importe où, peut souffrir plus qu'aucun autre humain et faire de la conceptualisation-maladive.
1.10 Sur La Romanisation Malavisé des Fauves Psychopathes.

Retour au sommaire

Dans l'avenir, sûrement, les formes de vie existant sur cette planète, seront là, purement et simplement parce que nous leur permettrons d'y être, ou nous auront choisi de les créer. Un tissus de mensonge; qui peu être réel. De plus en plus, nous pouvons agencer la matière et l'énergie du monde dans n'importe quelle ordre désirer tout en ce conformant aux lois de la physique. Les questions morales et pratiques soulevées sont: Quels sont les autres modes d'expérience. Quels autres organismes devrons-nous créer? Lesquelles laisserons-nous "dans la nature sauvage"? Comment évité d'être numérisées, cataloguer dans les banques de gènes au cours du millénaire à venir?
Les gens en général pourraient facilement accepter qu'une centaine de milliers de spécimens d'une quelconque espèce de coléoptère viennent à disparaître. Idéalement, si des herbivores eugéniquement affinés, d'autre part, pouvaient être adéquatement programmés pour qu'ils ne broutent assurément que dans les limites d'un habitat naturel bien délimité et bénéficieraient d'une situation stabilisée si une forme de contraceptif persistant naturellement dans leur habitat prévenait toute prolifération de leur espèce. Leur bonheur devrait s'avérer plus facile à paramétrer génétiquement qu'il ne le sera dans le cas des humains. Ceci présuppose que les êtres non humains moins névrosés par leurs plaisirs que le sont, à l'occasion, certains membres de notre propre espèce.
Ceci dit; qu'adviendrait-il des espèces carnivores? Il est facile de les idéaliser, qu'ils soient tigres, lions ou chats, nous admirons leur beauté majestueuse, leur force et leur agilité. Mais nous considérerions leurs homologues humains notionnels comme des psychopathes de la pire espèce. Donc tout comme il n'est pas nécessaire de recrée l'habitat naturel des beaux blond futé d'arien nazi pour qu'ils puissent pourchasser leurs proies naturelles, continuent de les victimiser (le Nazi est un modèle non moins naturel et remarquable d'énergie lancée au cours de l'évolution, bien qu'un type maintenant fort heureusement décimer), de la même manière, la pratique de perpétuer la ligné des machines meurtrière pré-programmée que l'espèce des félins représente parce qu'elle rend hommage à la Nature, est tout aussi éthiquement intenable. Cela ne va pas sans dire que le pire défaut des chats est qu'ils sont enclin à torturer les souris; mais alors, pouvons-nous dérivé une équation analogique, que le pire défaut du Nazi d'essayer de persécuter des juifs. Ceci n'est pas une justification les autorisant à continuer de se comporter ainsi.
Dans le cas d'un triomphe de l'esthétisme sur la moralité, beaucoup d'amis des bêtes sans doute sympathiques aux sentiments exprimés ici seront sûrement atterrés par l'idée de perdre des compagnons si aimables malgré que les membres de l'espèce féline eux étés les meurtriers des temps immémoriaux; mais tout de même, il est très peu probable qu'ils soient chassés et terrorisés ou dévorés vivant, ce qui démontre une perspective plutôt différente à n'importe quelle question survenant suite à leur extinction.
1.11 La Dernère Molécule Abominable Sur Terre?

Retour au sommaire

Cette méditation sur le lot de nos amis les créatures, m'amène à avancer quelques prédictions spécifiques malgré qu'elles soient potentiellement falsifiables, sur le prochain millénaire.
A un moment donné, datable avec exactitude, la dernière expérience désagréable sur cette planète, surviendra. Celle-ci sera probablement une douleur mineure (purement comparativement) d'une quelconque (pour nous) espèce d'invertébré marin. Cet événement arrivera bien avant la fin du quatrième millénaire. Il pourrait même être techniquement faisable - bien que dans la pratique peu probable - d'abolir tout désagrément d'ici la fin de du troisième.
Une affirmation qui, selon toute vraisemblance, peut apparaître grandiloquente certes. Pourtant tout comme le virus de la vérole fut systématiquement enrayé, jusqu'à son extinction, donc la signature moléculaire précise(s) de l'expérience désagréable et de ses prédispositions génétiques seront prévisiblement pourchassées et seront, elles aussi, enrayées. L'application méthodique de nanotechnologies, de robots micro-miniaturisé auto-répliquant armé de la capacité de traitement d'un superordinateur, le génie génétique ultra-sophistiqué et des vecteurs rétro-viraux qui, si bien utilisés, pourront extirper tout élément malsain dépisté, à sa racine.
Bien sûr, la douleur et le désoeuvrement revêtent, apparemment, une panoplie de formes. Donc nous pouvons supposé qu'une inconcevablement grande matrice de réactions biochimique devra être passée au peigne fin avant que le projet d'émancipation complète puisse être parachevé. La difficulté, et de façon plus controversée, l'impossibilité d'établir les identités de type-typique non-insignifiantes entre les états physiques et les facultés mentales supérieures, donneraient l'impression que la tâche de purger le monde de tout ce qui est déplaisant est d'autant plus ardu.
Cependant, d'une certaine façon au moins, plusieurs visages du désespoir peuvent nous induire en erreur. Comme les diverses sources nominales de bonheur, ils encouragent une polyvalence génétiquement illusoire. Dans ce cas, l'illusoire est que les phénomènes amoindrissant-la-vitalité [Darwinienne] seraient inappropriés. C'est une "adaptation" née des mécanismes neuraux primaire traitant l'émotion physiquement comme tel, par l'aiguillage l'infiltration et l'infusion du néocortex. Les millions d'années d'encéphalisation menée par l'ADN ont obscurci les substrats primitifs de l'émotion enfouis dans la conscience cérébrale. Ces substrats peuvent être codés et donc amendés. En ciblant les engins anciens du système limbique du désespoir, les spécialistes de l'ingénierie du paradis de l'avenir devraient persuader des légions d'accrocs cognitifs à lâcher prise aussi. Premièrement chez les humains et, la progression "vers le bas" de l'arbre phylogénétique, finalement dans chaque métazoen non-humain tout autant, tous les modes inextricable divers d'expérience qu'une conscience cérébrale devraient avoir en commun la propriété d'être génériquement délectable. Une ère particulièrement vilaine de l'histoire du monde aura alors, tiré à sa fin.
1.12 La Persistance de la Porno Pure et Dure?

Retour au sommaire

Quelles traces du passé seront archivé, jusqu'à quel point, après que c'est malencontreuses prédisposition eux été purgé de notre consience, c'est difficile à évaluer. Tout comme nous avons conservé (mais que d'aucune façon nous comptons utiliser) l'information précise nécessaire pour recrée le virus de la vérole - puisque nous avons répertorié précisément son génome entier - si les répertoires du phylogénie et l'architecture moléculaire de la douleur et la dépression seront, selon toute vraisemblance, aussi conservés.
Il est difficile de supposer que des modèles typiquement désagréables puissent êtres physiquement ranimés. Peut-être resteront-ils principalement non décodés. L'interprétation de leur danger et de leur formalisme de quasi-pornographique pourra être accessible à nos descendants, s'ils le sont du tout, seulement par biais d'analogie mal interprétée. Puisque le post-humain connaîtra les gradations hédoniques. Après tout, pour autant que les nuances qui nuanceront le plaisir imprégneront quoi qu'ils pensent, les différentiel plaisir seront le plus plausiblement du reste, la motivation primaire de l'action. Les générations si lointaines devraient pouvoir, sommairement au moins, être apte à conceptualiser la "douleur" et le "désespoir". Des états tels pourront être envisagés comme des modes de conscience très bas dans l'hiérarchie céleste - un niveau où une propriété générique d'expérience en elle-même subit un genre de changement de phase mystérieux. Mais au delà d'un certain point mal défini, peut-être, notre postérité extasique trouvera que les propriétés des expériences du mauvais côté de la grande division, insaisissable.
Pour leur bien, il est souhaitable que l'étalon de l'extase se garde d'entrenir sa curiosité intellectuelle sur de tels mystères tabou. Ils ne seront d'aucune façon prédisposé à faire un choix informé avant d'opter à sombré dans l'abîme. Rien ne pourrait les préparer pour l'horreur qu'ils trouveraient. Heureusement, ils ne le feront probablement plus. Par manque d'intérêt pour la douleur la dépravation et l'obscénité.
L'on pourrait s'objecté ici que les états de plaisir comparativement amoindris sont équivalents à ceux de la tristesse. À défaut de promouvoir l'uniformité, l'action paralysante d'un certain niveau de bonheur à vie, alors les états de affligeant seront sûrement endémique même dans un régime de post-Darwinien mature.
Cette objection défendable mais mal conçu. Confronté à deux alternatives pénibles, celui optant pour la moins de deux diabolique ne rend pas l'expérience pénible plaisante par rapport à l'autre. De la même manière, éprouver le moins plaisant de deux plaisirs n'est pas, d'une manière ou d'une autre, vraiment pénible; c'est seulement que les cellules du plaisir sont très avide en effet, et toujours avide pour plus du pareil au même.
1.13 Les Plaisirs Croissants de l'Homuncule.

Retour au sommaire

En supposant qu'en effet ils réclameront toujours plus, que peut-il être affirmé de de plus dans l'avenir lointain de l'émotion dans l'univers? Comment, en fait, les post-humains passeront leurs vies, et à quoi, ce qu'il ressentiront, ressemblera, après que le Paradis aura été biologiquement apprivoisé?
Une premier note de caution. Aujourd'hui la plupart de nos fantaisies futuriste ce concentre sur le noyau dur la haute technologie. Cette conception du monde repose sur des fantaisie-du-monde-physiques à la "Star-Trek". Cependant, les nouvelles émotions exotiques, sont pratiquement inconcevable pour nous comme de nouvelle phénoménologie exotique coloré. Elles sont non seulement vide sens, comme les possibilités abstraites qui motiverons nos geste d'alors, auquelles nous pouvons que faire allusion, sans plus. Implicitement, nous supposons que notre répertoire de vertébré de primate aux dispositions sentimentales acentués caractériseront nos descendance post-humaines et les formes de vies étrangères qu'ils rencontreront. Nous sommes même enclin à anthropomorphiser les robots inorganique dans la même façon. Nous présummons qu'ils se "sentiront" supérieur et qu'ils manifesteront le "besoin" de nous domine (une autre allusion à la loi de la jungle!) Pourtant l'économie émotive d'une psyché de post-Darwinien ne peut être comparable à quoique ce soit fut antérieurement. En effet, la vie intérieure entière des post-Darwiniens peut demeurer impénétrable à nos conciences de chasseur-cueilleur. La texture de leurs modes d'expérience à la premier-personne ne pourront d'aucune façon être celle que nous possèdons et si oui ce ne sera que dans la nomanclature. Même si nous pouvons l'anticiper à l'avenir, peut-être sommes nous comme nos chats qui regarder la télé. Nous ne comprenons pas la pleine signification des implication d'alors.
Malheureusement, il n'y a pas de façon de cartographier l'étendue de notre périple cognitif à venir de l'intérieur. Ceci est frustrant. Si les cosmologistes quantique peuvent théorisé sur les premières 10 à 43 secondes après le Big Bang, il y a plus de treize milliards d'années, et toujours être considéré comme des disciples de la science pure, c'est une honte de supposer que depuis les quelques milliers d'années passées, dans ce monde ou des millions d'habitants ne soit pas plus consideré avec plus d'estime. Par conséquent les sciences sociales non pas la cote, elles sont qualifiées comme étant molles, souvent aussi, traitées comme des sujets de science-fiction. La raison invoqué pour de tel jugeemnt; il s'y trouve trop d'impondérable pour avancé toute prédiction avec une confiance rationnelle. Pour dire vrai; la simple extrapolation des présentes tendances, peut-être à la limites trompeuses. L'échelonnement des différents échéanciers projeter des triomphes biomédicaux mêmes sont, selon toutes relativités, prévisibles, (à l'instar de l'élimination des procédés du vieillissement), malgré qu'ils demeurent vagues dans leur application concrète. L'Impératif Hédoniste présume de bien des choses; mais, d'ici la fin de troisième millénaire, la vie et la connaissance seront d'autant plus étrangères à notre imaginaire contemporain que ne le sont les plus extravagantes prédictions formulées ici. D'autre part, nous savons tous, que quelques variantes du principe-du-plaisir sont universelles - et universellement intelligible - la signature de la vie autonome; et son apothéose orgasmique au sein du cosmos d'un ordre sublime que sera son destin ultime dans l'Univers. [cet énoncé surexploite un peu la crédulité; des fervents du Big bang!] Nous ne disposons pas de suffisamment d'évidence. Ceci dit, nous pouvons toujours récolter des bénéfices en cheminant calmement dans la voie de la découverte.
Une fois la souffrance abolie, l'ère des choix moraux vieux-jeux s'achèvera. Les mécanismes physiologiques fondamentaux comme les procédés de création-de-la-valeur de la conscience-cérébrale seront dévoilé dans le courant de l'invention des modes de libération-de-douleur; mais le genre de naturalisation, de la valeur a des objections-dépendant créée (et maximisé?) par les ingénieurs-du-paradis après que la phénoménologie du déplaisir aura disparu et quelle n'embrassera plus les catégories éthiques dans le sens que nous l'entendons actuellement. L'urgence morale héroïque sera dissipée; en effet il y a un véritable risque que les thèmes hédonistes abordés dans des sections de l'Impératif Hédoniste détourneront l'attention et nous éloigneront du sérieux à propos moral du projet post-Darwinien, en somme comme nous l'entendons aujourd'hui.
Quoiqu'il en soit, voici une courte énonciation des options qui risquent de survenir à long terme.
Premièrement, l'envergure actuelle de la conscience humaine et de ses capacités de affective sont limitées par la taille du conduit de l'enfantement. Tant et aussi longtemps que les pressions sélectives favoriseront l'évolution de substrats biologiques plus puissamment perfides - armé comme une gâchette, prête épisodiquement, à faire feu de tout bois pour s'adapter à l'agonie et à l'émotivité fluctuante - alors la contrainte de l'accouchement ne sera tout au plus, qu'un peu de mépris.
Cela ne durera pas; ceci n'aura pas raison d'être. Après l'application globale des techniques d'hybridisation-d'espèce via le génie génétique assurera que la souffrance sera physiologiquement impossible, une restriction d'une taille telle ne ferait que retarder le développement et la maturation émotive du monde vivant. Pour les neurones saines [non issue de l'hippocampe], malheureusement, ne ce reproduise pas aisément. Puisque nous bénéficions d'un apport presque complet à la naissance. Elles meurent quelque peu irrégulièrement par la suite. Cependant, une fois qu'il devient faisable de nourrir l'embryon et le foetus humain de sa conception à son terme dans un environnement extra utérin artificiel (ex-vitro), alors leur nombre de même que la qualité de la densité synaptique de ces cellules nerveuses peut être sélectivement accentués avec une conscience utilitariste définitive. Pour densifier les récepteurs, les mécanismes de transduction post-synaptique et les facteurs vitaux contrôlant la transcription génétique dans les canalisations du plaisir. Donc le cortex de production de la sérotonine du subgenual préfrontal peut aussi être accru et enrichi.
Aujourd'hui de façon troublante les dépressifs cliniquement reconnus on en moyenne au moins 40% de tissu moins cérébreau à cet endrois que c'est typement le cas chez le gens "dit normaux". Cette région apparaît critique pour le traitement des émotions dans les relations, les situations complexes, personnelles et sociales. Selon toute vraisemblance son rôle ne devrait que s'accroître. Après nous ayons conçu des circuits neuraux plus sophistiqués et socialement responsables, tous nos modes émotionnels prélittéraires et de vie sociale seront perçu comme superficiel et rudimentaire.
Il est incertain comment d'ordres de magnitude de plus tout à fait une conscience cérébrale d'un méta-organisme en théorie pourraient être échelonné en amplification avant d'être acculer à l'insurmontable (?) aux contraintes de conception. C'est aussi incertain, qu'un "cerveau de Jupiterrien" puisse éprouver des états cohérents, la mécaniques et quantique nécessaires au maintient unitaire de vécue divers (cf. Sellars' "le problème du germe" de la connaissance) et soutient la notion d'un "soi-Jupiterrien" potentiellement intégré. Dans l'entremise, et sur une échelle plus conservatrice, un gigantesque amalgame de super-neurones hédoniste peuvent être cultivés et auto-façonné dans des groupements grandssant, plus heureux et plus richement assortie dans des mondes virtuels culminant.
Il pourrait être supposé que l'accès aux états sans parallèle d'alimentation euphorique orgasmique de corps entiers par un plaisir infiniment hypertrophié et par conséquent l'appareil accentuer serait tout à fait approprié pour n'importe qui. Bien, peut-être; % dépend d'un cercle de connaissance. Deux parfums de bonheur toujours distinguer de valeur est l'encouragement motivation de satiété de extase et euphorique. Si, comme prédit, il est le moteur de dopaminergique dernier de progrès qui fera le pouvoir l'ère de post-Transition, alors les plaisirs cités au-dessus de seront seulement un avant-goût d'également Transitions de millénaire - et quoi que le méta-paradigme d'esprit-éprouvant change leur venue signifie. Pour un début, le cortex somato-sensoriel et son physiquement "homuncules" occupe actuellement seulement une portion très modeste du cerveau. Sa comparativement petite taille le marque comme un autre vestige de obsolescent de Darwinien antiquité. L'utilisation de la grande masse du cortex à a couru égocentrique simulations données-conduit de l'environnement externe, et pas seulement la corps-image de égocentrique du véhicule d'hôte, a eu tendance à maximiser la santé génétique sur la savane africaine. Avec les lions de prédateur longs allés, tels états de soi-aliénation partielle deviennent moins utiles. Si dans l'avenir sensoriel par somato cellules-le style peuvent être utilisées à la semence les autres domaines du cortex et ses structures adjacentes. Ils peuvent de cette façon sélectivement interpénètre le repos de chaque vécu de la personne divers. En conséquence, ravissement d'hyper-orgasmique d'entier-corps peut s'être étendu facultativement à imprégner un psycho-neurale un entier monde véritable. Le rêve de mystique de devenir celui avec l'univers - bien que inadvertance seulement avec son propre micro-cosmos neural - peut s'être rendu compte dans une extase totale de l'être dans ses sens et sa neurochimie. Cosmique en effet.
La vie pourrait recevoir meilleur toujours. Aujourd'hui le accumbens de noyau et son est allié les structures de mésolimbique ne consistent pas en les circuits de plaisir crus. Certaines biomolécules (l'e.g. la dynorphine qui s'accumule pendant l'usage chronique de psychostimulant et participe dans le manque caractérisé par le servrage de la cocaïne), sont désagréable et dysfonctionnel. Ils peuvent être génétiquement amendé. C'est aussi une possibilité beaucoup plus passionnante. La plupart des neurones corticales n'on pas de capacité inhérente pour le bien-être, sans parler d'hédonisme autonome. Comme il fut noté, elles dépendent de l'irrgation du monoaminergique etc neurones à prête un ton de affective à quoi que le rôle et le parfum fonctionnels de subjectivité qu'ils expriment. Mais une fois les signatures moléculaires précises de l'extase du vécu particulier sont isolées dans le canaux de plaisir, alors leurs réactions de métabolique peuvent aussi être transplantées aux autres types de neurone: la démocratie de hédonique.
1.14 La Conscience Post-Perceptuelle.

Retour au sommaire

Beaucoup de fixations d'avenir sur le plaisir résolu seront concentrés dans des types de connaissance qualitativement semblable que quantitativement étrangère à la période pré-Transitoire humaine. Cette procrastination témoigne, qu'une variation en apparence mineure dans la neuro-protéine structurale engendre des types d'expérience aussi disparate que dans la perception du son et de l'image. Dieu seul sait quel genre de modèles innombrables et des probabilité qu'ils adviennent ("la qualia") sera découverte quand des changements beaucoup plus significatifs surviendront dans l'architecture des cellules excitables auront été entreprises avec succès.
Puisque que le statu quo Darwinien est à appelé à une fin certaine. Tout mais un volume insignifiant de (comme quelqu'un pourrait s'en appercevoir abstraitement) l'espace de poids du vécu hitherto est allé physiologiquement, hors d'atteinte. Il n'y a rien d'anormal à ça. Mais jusqu'à ce que maintenant, l'encodage des structures de l'ADN, qui nous ont rendu où nous en sommes, implique en-soi, des croisements génétiques abaissants les probabilités de flétrissement de la santé globale. Escamoter le désert de bout en bout est un procédé que l'évolution néo-Darwinienne empêche. La sélection naturelle n'est pas prévoyante. Cependant, ne fois tels nouveaux genres de connaissance sont finalement accècible par définition, n'auront plus besoin d'être déployé dans un rôle traditionnel de pris en compte, ou de rétro-action aux modèles écologiques environementaux.
À première vue, ils peuvent êtres colonisés hédoniquement; et puis, artistiquement exploré et réagencé de nouveau, renouer dans de riches structures naratives et des aventures débridés, les nouveaux rôles fonctionnelles accordées à une conscience cérébrale, ou seulement, peut-être, seront-elles apprécié pour leur goût prononcé intrinsèque fascinant.
Les vieilles définitions du soi et de la réalité s'effondreront probablement d'une façon ou d'une autre. Il est utile de rappeler comment, en ce moment, les pensées-épisodiques occurrentes, typiquement sont cognitiment décomposés en valeurs nominales et arborent des aspects affectifs voulus. Cette trinité mystérieuse peut prouver que des variations triviales, chacunes avec leurs propres nuances mineures, toutes issues de plusieurs familles phénoménologiques étendues, ruissellent "en série" au sein de LA conscience. Ces nouveaux modes en série attendent la découverte d'une invention biotechnologique particulière. En partie, certains de ces nouveaux modes peuvent fonctionner en mode computationnel comme des machines quasi-virtuelles ayant transformé la conscience cérébrale en un massivement parallèle; mais le reste n'a nul besoin de jouer un rôle fonctionnel distinctif du tout. À part la description de toutes les variations subtiles de sa probabilité d'être comme tant génétiquement gratifiant quand il est convenablement nervuré et ce malgré le fait que leur nature ne peut être intelligemment décrite ici. Nous ne faisons que plaisanter quand nous nous vantons de la richesse langagière présentement à notre disposition.
Puisqu'il est facile d'être séduit par l'indéfiniment grande capacité productive des mécanismes humains préexistants et d'engendrer des mots sans baser nos présuppositions sur de fausses prémisses. Ceci est la syntaxe qui nous habilite à penser et à parler d'une variété illimitée de choses. Pourtant, latent et terrer entre les couches sédimentées précédemment inaccessibles et mésadapté de nos canalisations neurochimiques sont liées à l'influence immense qu'ont les vécus hyper-bizarres qui - en excluant les paradoxes sémantiques superficiels - de quelconque façon, ne peuvent convenablement, êtres appréhendés. Leur étrange exotisme sera enclavé cognitivement et ce, pour longtemps encore. Dans le cas d'états infernaux inconnus ou pire, osons espérer qu'à jamais, ils demeurent impénétrables.
Empiriquement découvertes, de telles catégories d'expériences susciteront de nouvelles hypothèses, seulement si leurs propriétés intrinsèques sont décemment engendrées à l'aide de l'émotion encéphalisé, et de l'exploration à la première personne du singulier. L'observation sans l'expérimentation n'est nullement valide. La manipulation expérimentale systématique de la conscience par l'entremise d'agents psychotropes complétera la perspective à la troisième personne du singulier de la science physionomique. L'exploration sera le plus prudemment dirigée en ce qui a trait aux extatiques, naturellement occurrents ou autrement, par constraste à ce uqe les espèces Darwiniennes aux gènes désordonnés durent subir. Il en sera ainsi parce que génétiquement, les incultes inaltéré que nous sommes, risque de vivre de pires états d'êtres que ceux nous accablant ce moment. De toute façon, que nous philosophions une fois de plus sur les mérites des psychédéliques d'antan et de l'utilisation de nos vieux legs issus du défrichage de notre matériel neurochimique sont un gouffre conceptuel sans pareil qui n'apportera tout simplement plus de résultat probant. Notre expérience contemporaine et notre description linguistique déficiente souffrent du manque sémantique nécessaire à l'appréhension d'un tel dessein. Seulement une sémantique primitive, à peine esquissée, peu espéré captée des bribes de ces nouveaux modes expérimentaux - et non de simple utilisation d'inférence-intérimaire issu notre présent répertoire de concepts limités - permettra de façon concevable, une compréhension théorique de la psychédélique du cosmos. Des nouveaux primitifs seront aussi nécessaire à la compréhention authentique des nouveaux modes d'émotions, de sensations, d'introspection et de la connaissance réflexive.
Ceci n'est pourtant pas une notion consensuelle répandue. Le courant académique dominant actuellement stipule que n'importe quelle étude de la conscience, en tant que discipline expérimentale légitime, au lieu d'être l'objet d'une dissertation dialectique, est pratiquement inadmissible. Les comptes rendus systématiques de manipulation à la première personne du singulier, s'ils sont le seul exemple accessible, sont généralement jugés non-publiables et discrédités. Ironiquement, nous nous moquons de la conscience obtuse des adversaires cléricaux de Galilée parce qu'ils ont refusé d'observer les astres à travers son télescope. Pourtant nous chérissons notre propre tranquillité d'esprit non moins ardemment; s'il y a peu de justification pour satisfaire notre curiosité intellectuelle.
Dans nos lois de antidrogue répressives nous, aussi, rendons hors-la-loi et pénalisons les états de consciences qui troublent véritablement l'ordre établi. Le déclenchement des Psychédéliques occasionna des changements d'attitude qui sont radicalement subversifs à l'égard des structures existantes du pouvoir, social, politique, académique et surtout, de leurs définitions de la réalité. Des peines sévères sont administrées à ceux qui publiquement les recommandent ou exercent le trafic de telles connaissances dangereuses notamment, elles ne sont pas plus indulgentes que celles prescrites lors de l'Inquisition - nos prisons sont des endroits brutaux - bien que l'incarcération et la récrimination publique, de la même manière peut parfois mitiger la pleine rigueur de la punition.
La psychédelia extasique des post-humains est trop difficile à contempler. Les pronostiques pour un avenir lointain, de même que les états affectifs dans l'univers seront, sans aucun doute, plus que stupéfiant. Nous ne faisons pas qu'ignorer les émotions récemment synthétisées et les découvertes biotechnologiques mais aussi ce qu'elles nous réserveront dans l'avenir. Nous ne pouvons probablement pas savoir quelles régions néo-corticales "cognitives" seront altérées, saturées et enrichies.
Est-ce que la conscience dans sa présente manifestation phénoménologique et quasi-computationnelle prendra un aspect post-cellulaire ou abhorrera des formes d'enrichissement prosthétiques? Ou, certains chauvins se porteront à la défense des organismes au "carbone", est-ce qu'il y a un argument micro-fonctionaliste qui décrète qu'uniquement les structures au "carbone" ont les propriétés de valence soient les seul moyens faisables d'infusées le vécu organique d'émotions diverses?
Éventuelement, est-ce qu'il surviendra, une ère post-personnel au sein de laquel discretement des supercerveaux génétiquement constituer choisiront progressivement, la coalescence; ou les univers d'îlot fragmentés hérité des profondeurs du passé Darwinien perdureront pour assurer la continuitée de notre isolement semi-autonome indéfiniment? Est-ce que la conscience est un fondement ontologique du cosmos, plutôt que d'être épingler par un "leurre nomologique", est-ce que l'énergie des superstrings [des M-branes etc] vibrent dans des ordres de magnitude plus élevés que la nôtre soutenant des modes et des intensités d'expérience correspondante plus grande que celles de l'actuel régime à basse-énergie? Ou est-ce qu'ils sont entièrement dépourvus de toutes vraisemblances?
Ce qui va sans dire, nous n'avons pas de réponses à de telles questions, d'une façon ou d'une autre. Tout ce que nous prédisons ici avec un quelconque semblant de confiance est que de très ancienne expérience, du type qui polluent la conscience et qui sont le génériquement désagréable, bientôt iront la façon du proverbial dodo.

Deuxième chapitre


Créé: 4/12/99 Mis à jouir: 30/10/00

hedoniste@ca.tc


Le Relais
Membre du Relais

LinkExchange Member
Click Here!