POUR
L'ANARCO-CAPITALISME
Pourquoi les socialistes et les anarchistes
de gauche ont tort.
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Pourquoi l'anarco est quoique ce soit
sauf capitaliste, n'est pas
anarchiquement viable?
Parce que toutes organisations quelqu'elles
soient, requièreraient une quelconque part
de hiérarchie?
Pourquoi le socialisme requiert-il de la pauvreté
pour subsister? Comment ce fait-il que la main
d'oeuvre ouvrière n'est pas l'appanage
de la prospérité (exemple: la Chine)?
Je hais la sémantique mais, je ressent le besoin
de défendre "l'anarco", et "le capitalisme".
A cet égard je met de l'avant fièrement mon
titre d'anarco-capitaliste.
J'ai lu tellement de socialiste bullshiteux
et d'anarco "socialiste" dans les "F.A.Q."
des groupes discussions colportant
des slogans du genre:
"la propriété est du vol",
"les travailleurs sont des esclaves",
"les capitalistes ne gagnent pas vraiment leur argent"
Bon, j'avoue qu'en éditant ce txt
j'avais besoin de laisser sortir
mon trop plein d'amertume.
Prenons l'argument anarco-socialiste
que l'anarco-capitalisme n'est pas
de l'anarchie puisque qu'il
n'abolie pas l'autorité.
Bien, certainement le capitalisme
n'abolie pas l'autorité ou la
hiérarchie, le capitalisme,
simplement, réduit les
intermédiaires au niveau
le plus bas possible,
et ce, dans le plus
grand respect de
l'intérêt des
consommateurs.
Seulement les rêveurs utopistes
crédule croient qu'une société
peut être complètement
libre de hiérarchie.
Les anarco-socialistes clament
souvent que seul des communes
ou des compagnies dirigées par
leurs ouvriers sont réellement
libre de la tyranie de la
hiérarchie, ceci, à mon
avis est un non-sens
complet et total.
La seule chose que les travailleurs
qui mènent ces compagnies assureront
sera qu'il y est une autorité, élu
par les ouvriers pour administrer
leur travail et leur propriété,
mieux connue sous l'appellation
d'état providence.
Comment détermineront-ils les salaires?
Comment détermineront-ils les heures?
Qui a quoi, quand, et comment?
Évidemment ces idiots n'ont jamais entendu
parler de la bureaucratie, d'une démocratie
ou d'une république et n'on aucune réelle
appréhension de la nature l'autorité
/ hiérarchie. Bref, que l'état est
l'autorité suprème et que le droit
à la propriété est synomyme
de liberté individuelle et
collective.
Les droits à la propriété assure que vous
pouvez être mis en esclavage ou que
quiconque réclame avoir des droits
sur votre travail ou que votre
opulence ne vous soit pas
banalement soutiré de vous
(taxes, ou pour le bien
commun), c'est pourquoi
que le bien publique est
du vol car il accorde
le droit aux autres
de vous posséder.
La seule chose que le bien public vous
libère de, est la décision de disposer
vous-même comme bon vous semble et
de votre pripriété à cause que
"l'intérêt public" (inséré état
/hiérarchique) décide ça
pour vous.
Ceci est plus éloquent quand le
socialisme énonce; "de chacun
en fonction de ces habiletés,
à chacun en fonction de ses
besoins" l'anarco-socialiste
ne déroge pas d'un hiatus de
ce mantra du socialisme
étatique, l'anarco-
socialiste désire
seulement que son
pouvoir soit plus
décentralisé.
Le capitalisme énonce; "de chacun
comme il choisit, de chacun à ceux
qui sont choisis". Le choix est la
liberté, qui que ce soit qui
s'inscrit en faux devant cet
énoncé..., appartient dans
un roman Orwellien à le
droit de ce fendre le
crâne sur l'hôtel du
ministère de l'amour.
Comment les anarco-socialistes
prendront soin des travailleurs
qui ne peuvent travailler.
Comment paieront-ils des salaires
sans qu'il n'y est personne pour
payer pour leurs temps?
Ce pourrait-il qu'ils aient à
se départager les tâches
hiérarchiquement?
Horreur, enfer et damnation!
Pour ce faire ils se doivent tous d'être
des profiteurs, des vendeurs de leurs
produits ou ils ce doivent tous être
des travailleurs dans un système
capitaliste étant payés pour
leurs temps par ceux qui leur
permettent de gagner un
salaire en premier lieu...
un capitaliste.
Les salairiées en général n'existaient,
pratiquement pas avant la révolution
industrielle, en quelque sorte,
avant cet avenement, tout le
monde était capitalistes,
ils travaillaient tous
avec leur propre
capacité de
production.
Ce système était intrinsèquement
inefficace et la répartition des
tâches, l'apanage du capitaliste
avare et (qui fut mis de l'avant
par l'entrepreneur) qui permit
aux gens de vendre du leur
temps au lieu de leur
production.
Ceci eu pour effet de centraliser le marché
et le stabiliser le strandard de vie
des opprimés, des exploités qui
s'accentua grandement en leur
faveur (lisez un livre
d'histoire si vous ne
me croyez pas).
Aujourd'hui les occidentalisées vivent de 1.5 à 2
fois plus longtemps, ont des meilleurs conditions
de logement, de meilleur soins médicaux,
de quoi ce vêtir aisément, ce nourir
à très peux de frais et beaucoup plus
d'opportunités de ce sortir de ce
qu'ils considèrent des conditions
de vie misérables, qu'a n'importe
quelle époque dans l'histoire et
il y a peu de d'indicateurs qui
présage de ralentissement
(à part au sein d'états
socialistes à outrance
voir: Chine, Korée
du nord).
La racine de la création de la richesse
n'est pas le labeur, la force musculaire
brute ne construit pas une maison sans
un plan, à l'instar un gratte-ciel
n'est pas construit sans ingénieurs
brillants, même l'ordinateur
personnel doit son existence
au génie entrepreneurial qui
conceva et commercialisa les
circuits intégrés.
Si vous persisté à pensé que le labeur et
la force musclulaire est à la source de
toute la création de richesse alors
assayez, dès à présent de devenir
riche, percutez un marteau au
plancher huit heures par jour
et constaté ce avec quoi
vous vous retrouverez.
Le capitaliste, de par la vertu de son
inventivité exemplaire, de sa prévoyance
des ses sages investissements, de son
avarité et son goût pour le succès,
fit du monde moderne une réalité.
Ce ne fut pas l'inepte, le prolétaire,
le paresseux ou l'ignorant qui
contribua l'enrichissement
du monde...;ce fut les gens
d'accomplissement.
Si vous travaillez dans une aciérie et que
par la vertu même de votre travail, vous
aviez droit aux mêmes tarifs qu'un
forgeron des temps médiévaux
recevait..., vous ne seriez
même pas en mesure de vous
construire une forge
digne de ce nom.
Ceci est tout ce que votre labeur peut
produire à la forge d'un homme, chaque
cent que vous gagnez au-dessus du
standard de vie est un cadeau
du concepteur qui conçus cette
aciérie, qui a perfectionné
l'acier, qui a investi du
temps et de l'argent
dans celle-ci.
Ceux eux qui riqués et ont
réinvesti ce vil argent en
augmenter le rendement, la
rentabilité pour éliminer
tout compétiteur désuet
et ce, pour vous
procurer par cette
entremise une
meilleure qualitée
de vie.
Votre labeur à elle seule, peut-elle
construire une aciérie entière?
Peut-elle réinventer l'acier?
Est-ce qu'elle peut en elle seule,
rendre la production plus efficace?
Est-ce qu'elle peut élever votre
standard vie ipso facto?
Non, elle ne le peu, les gens que les
socialistes qualifient de sangsues,
de parasite sont les membres les
plus productifs de la société
et ils redistribuent la plus
grande part de leur richesse
sans rechigner sous la forme
d'économie d'échelle et
en encourageant
l'efficacité et
l'innovation.
Avez-vous déjà entendu parler de technologie?
Elle est responsable pour 99% du standard
de vie don vous profitez et celle-ci
débuta quand l'homme utilisa des
roches, des couteaux, du feu...
et devinez quoi... c'est une
personne de genre qui a du
les produire.
Avez-vous déjà entendu parlé de labeurnologie?
C'est parce que ça n'existe pas en terme
humain, c'est que les animaux et les
brutes sans facultées supérieures qu'on
utilise pour subsister..., des incisives,
des griffes. Ceci est un standard de vie que
le labeur seul peu procuré.
Pourquoi je me préoccupe de l'argument de
l'exploitation? Ca percutes au coeur du
mensonge socialiste et de l'anarchiste
de gauche.
Si vous n'êtes pas maintenu à votre poste de
travail à la pointe d'un fusil vous n'êtes
pas un esclave.
Si vous forcez quelqu'un à vous donner
quelque chose que vous n'avez pas
produit à la pointe d'un fusil
vous en train de réduire celui-
ci à l'esclavage.
Quand est-ce que les industriels modernes
forcent-ils les travailleurs enchaînés
dans des manufactures?
Quand est-ce que les travailleurs forcèrent
les industriels à leur accorder plus qu'un
standard de vie médiévale pour
leurs travailleurs?
Entendez-vous parler des piquets de grève?
Des centaines de gens furent tués sans
vergogne pour avoir essayé de les
franchir et de les disperser pour
permettre l'accès volontaire et
sans entrave aux lieux de travails.
Qui est l'esclavagiste? Il est important de
spécifier que je ne crois pas au sous-
payement de quelqu'un, mais je crois
pas non plus au fait qu'il faille
forcer quelqu'un à surpayer un
tarif pour un travail offert.
Non seulement ça, c'est un saignement à
blanc anti-survivance des éléments les
plus productifs sur l'hôtel de la
caste socialiste.
Combien de temps pourrons-nous survive
collectivement si nous forçons les
employeurs à débourser 50000$ par
année pour qu'ils emploient des
gens chez McDonald à flipper
des hamburgers?
Est-ce que l'argent pousse dans les
arbres? Ou elle a vraiment besoin
d'être généré, produite?
Pouvez-vous deviner quel pays a cerné
le dicton "pour faire de l'argent"?
C'était celui qui n'aguère était le plus
productif, le plus libre et le meilleur
pays sur la planète... l'Amérique.
Nous comprenions qu'il est impossible
d'avoir le gâteau et de le manger à
la fois, nous avons été aveuglés par
de vieux adages gauchistes.
www.NanoMetaMacro.com
(beta 0.2)
anarco@com4.ws
La correspondance digne d'être publié au sujet d'anarco.com4.ws :
From: Mathieu madmat@ To: anarco@com4.ws
Subject: Intéressantes prémisses, décevantes conclusions
Date: Sun, 15 Apr 2001 19:35:02 -0400
>Mathieu madmat: Salut, J'ai lu ton texte pour
les «anarco-capitaliste». Ça m'a fait penser à
une nouvelle de Pessoa intitulée «Le banquier
anarchiste» ; nouvelle qui dénonçait autant
l'absurdité du socialisme que celle du
capitalisme. Le socialisme n'est qu'une
forme de capitalisme inversée.
Bref, je trouve tes prémisses intéressantes
-avec comme arrière-fond théorique une partie
du manifeste de l'Unabomber- mais tes
conclusions me deçoivent énormément.
>mx: Le texte ci-haut mentionné n'est pas tout-à-
fait de moi et je ne sais plus exactement où je
l'ai pigée exactement mais vu que je l'ai traduit
et fortement apprèté à ma sauce je puis affirmé
qu'il représente en parti ce que je pense...
>Mathieu madmat: Dans le fond, tu arrives au mêmes
constats que les colomnistes du cahier économique
du New-York Times. Le socialiste a été un echec
-pour preuve l'ex-régime totalitaire de
l'U.R.S.S. et son effondrement-, donc
le capitalisme s'en trouve légitimé,
produisant lui-même sa propre
légitimisation.
>mx: Éffectivement mais n'oublions pas que le
capitalisme à toujours besoin de plus de
consommateur et donc ce doit d'être
compatissant s'il veut compétitionné
avec les autre système de
d'attribution de crédit.
>>Mathieu madmat: Le capitalisme fabrique le
consommateur tout aussi bien qu'il fabrique
les produits qu'achètent le consommateur.
Le système capitalisme n'est nullement
compatissant (sic)
>>mx: Les capitalistes n'attirent pas les
mouches avec du vinaigre..., même si souvent
les concoquetions les mieux intentionnés
peuvent s'avèrer de très mauvais goût.
Pour moi la compatissance du capitalisme
est exprimé dans ses intances d'attributions
des crédits, inutile de mentionné qu'ils
s'en trouvent de toute les tendances qui
ont plus ou moins de succès.
>>Mathieu madmat: (suite de ci-haut) la recherche
du profit ne souffre pas de compassion. En ce qui
a trait aux «autres systèmes de redistribution
de crédit», ils sont tombés les uns après les
autres au cours du dernier demi-siècle.
L'alternative communiste s'est effondrée peu après
l'effondrement symbolique du Mur de Berlin ; seul
Cuba résiste encore, à la mesure de ses faibles
moyens -le comunisme peut bien sûr tout aussi
bien être critiqué que le capitalisme, mais
là n'est pas mon propos.
>>mx: Tu oublis que si Fidel (le milliardaire) a
financer la guerre en Angola non-pas pour la vertu
mais pour les diamants alors les communistes quelqu'
ils soient sont hypocritement tennuent par les mêmes
impératifs que les "vraies" méchant capitalistes...
>>Mathieu madmat: La Chine «communiste» elle-même ouvre
peu à peu ses frontières économiques, depuis sa récente
adhésion à l'OMC, et n'aura bientôt plus de communiste
que le nom.
>>mx: Pour te paraphrasé je dirais même qu'en Chine,
les communistes ouvrent eux-mêmes peu à peu leurs
frontières économiques pour satisfaires leurs
propres désir d'enrichissments.
>>Mathieu madmat: Le capitalisme n'a donc plus aucune
compétition à ce niveau ; la seule compétition se
situe à l'intérieur même du capitalisme, qui est
par définition un système basé sur l'accumulation
du capital et la compétition.
>>mx: C'est exactement à ce point que le jeux d'équillibre
entre les différent états compationnel ou pas pour souligner
ce point je réfère l'auditoire un extrait de L'ÉLITE ET
LA TECHNOLOGIE (de ma traduct du résumé Unabomber)
qui cerne très bien les enjeux capitaux
que soulève notre entretient.
"Grâce aux techniques améliorées, l'élite aura un
contrôle plus grand sur les masses; à cause que
le labeur des humains ne sera plus nécessaire et
même excédentaire, superflu. Sans usage courant,
les maîtres d'oeuvre de l'élite, pourront en
disposer à sa guise.
A l'autre extrême, des scénarios des plus apocalyptiques
où l'élite continuera de provoquer des génocides
sélectifs pour se délester des indésirables,
pour pouvoir repartir en neuf et départager
entre eux, les décombres de notre civilisation.
Si l'élite provient d'une souche moins virulente de la
culture bourgeoise, elle pourrait agir avec beaucoup
d'empathie en s'assurant que sous des conditions
hygiéniques et psychologiques contrôlées,
les besoins physiques de chacun, soient
bien assurés, fournissant de saines
occupations à sa population. "
>>Mathieu madmat: Mais c'est justement parce les individus
évoluant dans la société industrielle capitalisme ne se
font plus enchaîné - ou à la pointe du fusil- que le
capitalisme, sous le sigle de la science et de la
technique- est devenu si productif, efficace et
contraignant -sous un emballage démocratique-
puisqu'il a pénétré toutes les sphères
d'activités humaines, abolissant du
coup -ou incorporant, ça revient
au même- toutes contradictions,
toutes possibilités de révoltes.
>>mx: Quand c'est vraiment le cas il ce trouve toujours
des hackers, cyber/cypherpunks qui s'hacktivent à
renverser la tendance...
ref.: Que doit-on comprendre du mythe CYBERPUNK
>mx:Nul part n'est-il mentionné que la révolte ne pouvait être rentable.
>Mathieu madmat: La raison instrumentale a remplacé la raison critique.
Les vieux arguments du socialisme sont dépassés, mais cela ne devrait
pas vouloir dire que toute opposition, révolte, combat, négation ou
critique doivent être automatiquement invalidé.
>mx: Si elles trouvent preneur c'est quelles répondent à des besoins
donc peut-êtres en voies d'être rentabilisées.
>>Mathieu madmat: Une révole «rentable» n'est pas une révolution
contre le système capitalisme, mais seulement une situation de
crise inhérente à son bon fonctionnement et dont il soit en
mesure de gérer. La Guerre du Golfe et la crise du Kosovo
en sont de bons exemples. Les récentes manifestations
«antimondialisation» depuis Seattle, pourraient être
interprétées par contre comme un nouveau cycle de
révoltes se positionnant véritablement contre le
système capitalisme, mais il est encore
trop tôt pour le dire.
>>mx: Les T-shirt Fuck le Sommet est une tentative
puérille de rentabilation certe, mais quand même,
elle en une et elle en est une, pour l'instant
il n'a que valeur de symbole.
>>Mathieu madmat: Je ne souscrit pas à l'analyse
fonctionnaliste de l'Unabomber à laquelle tu
te réfères. Le manifeste de l'Unabomber est
intéressant à plusieurs égards, mais je ne lui
donne pas la valeur d'un nouveau Manifeste
politique, ni d'un Marx moderne. Aussi, j'ai
de la difficulté à voir où tu veux en venir
en dénigrant systématiquement l'anarchisme
et le socialisme.
>>mx: Je ne suis pas contre l'anarchie, pour moi
le système capitaliste, particulièrement celui
concerner par le segment toujours grandissant
de la nouvelle économie, favorise "l'empowerment",
la déhierachirisation de toutes les structures
pour quelles ne s'exprimment que dans leurs
plus simples expressions possible.
Je ne suis pas contre les mesures sociales mais pour
moi l'idéal serait qu'elles complèment issues
d'iniciatives volontaires et non-cohercitives.
>>Mathieu madmat: Je cherche en vain les éléments
constructifs au sein de ta critique. Qu'as-tu
à proposer ? Quelle est cet anarco-capitalisme
auquel tu fais allusion sinon le système
capitaliste néolibéral dans lequel nous
pataugeons en pure perte depuis un
bon moment ? Dans ce cas, il ne
s'agirait pas d'alternative,
mais de résignation.
>>mx: Non puisqu'ultiment la devise qui dominera
le monde post-néo-libéral sera la joule (et oui
encore la techno-science qui ce porte au secour
de l'économisme). Je ne puis être que motivé
par une telle perspetive.
>Mathieu madmat: Je te conseille d'explorer un peu
l'approche critique de l'École de Francfort
-d'Horkheimer à Habermas, en passant par
Marcuse-. Plus proche de nous, il y a le
récent ouvrage «Empire» de Micheal Hardt
et Antonio Negri, qui est éclairant à
plus d'un titre.
Bonne lecture
Mathieu
>mx: C'est noté mais n'aurais-tu pas des références
web que nous puisssions partager plus aisément avec
notre audience? Merci pour ta critique constructive
elle fut très appréciée...
à p
mx
>>Mathieu madmat: Au sujet d'EMPIRE, de Micheal Hardt et de Toni Negri
Au sujet de l'École deFrancfort et de la théorie critique :
http://www.uta.edu/huma/illuminations
http://www.chez.com/patder
Pour une autre «gauche»
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