Embrun (Hautes-Alpes) : la ville où un fou crève les pneus depuis dix ans.

Depuis 10 ans un fou crève les pneus sur Embrun.

De source locale, il s'attaque surtout aux touristes mais pas seulement.

Un Embrunais a eu 10 pneus crevés !

Le rythme de crevaisons, selon celui-ci, peut atteindre 30 pneus par jour.

Quel est le chiffre d'affaire du changement de pneus lié à cet individu depuis 10 ans ?

Quelques webcams branchées sur internet et avec enrégistrement 48 h (le temps pour les victimes de se manifester) ne coûtent pratiquement rien comparées à ce chiffre d'affaires.

Sauf à privilégier ce chiffre d'affaires par rapport au respect de l'ordre public, des touristes, des Embrunais eux-mêmes (en particulier de ceux qui n'ont pas de quoi se payer un garage).

Pauvre France où prospèrent les délinquants, où ils tiennent le haut du pavé, où celui que de Gaulle appelait l'Arsouille pratiquait "Le coup d'état permanent" avec les écoutes inconstitutionnelles de ses prétoriens, où les affaires Joséphine (6 milliards dont la com d'Hariri ?) Yanacocha Frégates de Taiwan/Clearstream (5 milliards dont la com des amiraux de Taiwan ?) Crédit Lyonnais (120 millards et deux incendies d'archives opportuns)sont passées comme une lettre à la poste (comme les autopsies faisandées des affaires Alegre, Jambert et Borrel), où le dernier ex-Président de la République et le Président du Sénat ont été mis en cause à répétition, où l'ex-Président du Conseil Constitutionnel, la plus haute autorité juridique de l'Etat et le soutien juridique performant du dernier ex-Président de la République, a été condamné dans la succession Giacometti, et où les victimes sont, de fait, stigmatisées.

La devise de la France est bien : "Vae victis".

Madame Borrel est l'honneur de la France. Son combat est un combat victorieux : l'assassinat de son mari est aujourd'hui officiellement reconnu par la Justice. Madame Borrel, c'est le courage incarné, solide comme un roc, la passion de la Justice. Elisabeth Borrel est une "Juste de la République". Combien aurons-nous de Madame Borrel ? Aurons-nous une commission Outreau des légistes félons faisandeurs d'autopsie ?

Le Dauphiné Libéré 3/9/07 page 28 : « Portrait Longtemps, on a voulu la faire passer pour folle Veuve courage L'assassinat de son mari, juge français délégué à Djibouti, a été maquillé en suicide. Elisabeth Borrel, refusant « une fausse raison d'Etat », se bat depuis 12 ans pour que la vérité éclate. La Savoyarde obstinée commence à obtenir des résultats, ce qui ne plaît pas à tout le monde... Comment ses pairs pourraient-ils lui mentire... les premiers doutes... l'omniprésence de ces soldats français, fouillant l'appartement et les affaires du défunt. Le résultat de l'autopsie qui tarde, les mystères entourant l'enquête sur place. Elisabeth demande un autre examen médico-légal. Aucune trace de suie dans les poumons. Bernard serait donc mort avant d'être brûlé ! La Savoyarde tétue, à qui l'on veut imposer le secret, se forge une conviction. Il s'agit bien d'un assassinat. Voilà ce qu'elle proclame, haut et fort, en 1997... le reste du monde ricane... Même mon chef de juridiction a voulu me faire passer pour folle... La rage d'Antigone et la confiance de Pénélope. La police, maintenant, calomnie son mari (méthode stalinienne totalitaire classique des affaires Alègre pour Edith Schleichardt SDF alors qu'elle était secrétaire de direction, Yonne, de Montgolfier/Renard, Dutroux...). Les enquêteurs le dépeignent en épous volage, fumeur de joint, proche d'un pédophile. Lui, si droit, presque raide, officier de réserve dans la Marine, fils unique élévé chez les Jésuites, procureur à 33 ans... A chaque démarche que la veuve entreprend, on lui claque la porte au nez. Jusqu'en 2002. De nouvelles expertises démontrent que la victime a reçu un coup mortel à la tête. De plus deux empruntes d'ADN masculin sont indentifiées sur son short. Vous avez dit « suicide » ?... En arrière-plan du fait divers, se profile tout un réseau d'intérêts politico-mafieux. A Djibouti, « nid de ripous », les magouilles en tous genres prospèrent – y compris au coeur de notre base militaire (des officiers supérieurs se sont payés un yacht sur nos impôts)...  La manipulation a fait long feu. Bientôt, les méchants seront punis et les justes reconnus...» Il en sera de même pour les affaires Dutroux, Alègre, Chanal, disparues de l'Yonne et centre de tortures d'Appoigny, Renard/de Montgolfier/DEFI...
L.N.D. n°1137 juin 2004 : « AFFAIRE ALEGRE : L'ETRANGE ATTITUDE D'UN MEDECIN LEGISTE Trois dossiers concernant des victimes de Patrice Alègre ont disparus de l'institut médico-légal de Toulouse. Devinez qui les a « empruntés ». On n'avait encore jamais vu ça à l'institut médico-légal de Toulouse. En ce lundi 21 juin, le juge d'instruction François Rives, flanqué d'une escoude de policiers, fait brusquement irruption dans les locaux ! Que vient-il chercher à la morgue ? Des documents relatifs à Edith Schleicherdt, cette jeune femme trouvée morte dans un champ de la région en 1990... Edith avait été découverte la jupe relevée, une bombe lacrymogène enfoncée entre les cuisses. Ce qui n'avait pas empêché deux médecins légistes, Pierre-Marie Bras et Danièle Alengrin, de conclure à l'époque à un suicide par ingestion massive de médicaments ! ... le juge Rives... a fait exhumé le corps... le crane présente des traces de violence, plusieurs dents ont été cassées ; sous la violence des coups, l'une d'elles est remontée jusque dans la cloison nasale ! Pourquoi les médecins légistes n'ont-ils pas noté tout cela dans leur rapport ? ... Le Dr Bras reconnaît ses erreurs. Mais sa consoeur, Danièle Alengrin, maintient qu'elle n'arien à se reprocher. A l'issue de l'audition, le juge lui demande d'apporter dans les 48 heures l'analyse toxicologique qui avait été effectuée sur le corps d'Edith... Danièle Alengrin quitte le bureau du magistrat et ne donne plus signe de vie. Trois jours après, le juge Rives la relance. En pure perte. C'est alors qu'il décide... de perquisitionner, le 21 juin, dans les archives de l'institut médico-légal. Là, nouvelle surprise : le dossier Schleichardt est vide ! Le Dr Alengrin explique qu'elle a emporté son contenu à son domicile... le juge... ordonne au médecin d'aller immédiatement chercher les documents, et il la fait escorter par un officier de police... Chez le médecin, on découvre bien les documents Schleichardt, mais aussi les rapports concernant Valérie Tariote et line Galbardi, deux autres victimes présumées de Patrick Alègre ! Que font tous ces papiers officiels au domicile privé du légiste ? - Si le Dr Alengrin avait des choses à cacher, elle ne s'y prendrait pas autrement, affirme aujourd'hui l'avocat de la famille d'Edith Scleichardt, Me Pierre Dunac. Signalons encore que Danièle Alengrin a également eu à autopsier une certaine Hadja Darolles-Benyoucef... étranglée avec une cordelette, une couche-culotte enfoncée dans la bouche, un couteau planté de part en part dans la gorge... Et là encore, curieusement, le Dr Alengrin avait conclu au suicide. » L.N.D. a bien servi la France : on attend une commission Outreau pour le Dr Alengrin. Il n'y en aura jamais. Ni pour Renard, ni pour les disparues de l'Yonne et le centre de torture d'Appoigny, ni pour Chanal, ni pour Dutroux, ni pour Borrel, ni pour les spoliations de Montpellier et toutes celles levées par Gaudino. L'affaire Renard-de Montgolfier a démontré que le système ne peut pas s'auto-enquêter et la simple mise à la retraite de Renard n'est due qu'au miracle d'un rapporteur honnête à destination du CSM. En sachant que dans le score, il y a la couverture d'un assassinat..
France 3 25/8/07 22h55 « Diana et les fantômes de l'Alma » opère le rapprochement du fonctionnement des autopsies pour Borrel et Diana. Il y a donc, les légistes d'Alègre, de Jambert, de Borrel, de Diana...
Aujourd'hui en France 5/9/07 page 14 : « ... disparus de Mourmelon... « faute lourde du service public de la justice »... 900 000 euros de réparation aux familles... pièces de procédure et scellés égarés, dépérissement des preuves, manque de coordination et de recherche sérieuse... »

Quo usque tandem abutere patientia nostra ?