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flots de la vie

pat kelbaugh

le navigateur

pat kelbaugh
Vieux capitaine que te réserve la vie?
A travers les pays et les continents tu as erré
A travers le temps et les flots tu as navigué
Vieux capitaine que te réserve la vie?
Peut être que dans tes nombreuses péripéties
Tu aurais pu trouver une raison d' être
Ou te former un moral tailler dans le cêdre.
Peut être que dans tes nombreuses péripéties....
Qui sait vieux capitaine trouveras tu port à ton gôut
Peut être une île généreuse et enchanté
Une contrée òu règne la sensualité
peut être trouveras tu port à ton gôut?
Vient le temps du bilan et de la réflexion
Vient le temps òu l' on rêve de mouiller l' ancre.
Alors on se trouve un peu cancre.
Mais combien est pénible la réflexion !
On navigue de femmes en femmes,d'îles en îles
Puis on se demande si on a aimé
Puis on se demande si on a été aimé
Mais jusqu'à quand d'îles en îles.N.M.J.P


le cancre

pat kelbaugh
Le cœur triste j' emprunte ma plume
L' âme en déroute prends l' ancre
Pour en moi le cancre
Et tel le phoenix faire rajeunir mes plumes.
Qu’ est ce que l’ amour véritable et sincère ?
Qu’ est ce que l’ assurance des sentiments d’ une femme ?
Car qui connaît la complexité des dames,
Jeune fille tu sembles des fois si amer !
Que de plus sincère que l’ amitié ?
L’ amour peut s’y meller mais pas la détruire
Les flots peuvent s’ y déchainer mais sans la réduire.
Ce sentiment est-il plus précieux que la sensualité ?
Terrible et douloureuse est la réflexion.
Le jeune collégien lui sait aimer sans convoitise charnel
Cependant le jeune homme connaît mieux l’ amour réel
Oh DIEU !Combien est pénible la méditation.
Entre l’ homme et la femme le plaisir des sens est-il roi ?
Certainement dans une relation dominent les sentiments
Ou peut être le partage des idées en est le vrai piment ?
Eh quoi !En amour il y a-t-il une loi ?N.M.J.P


les cafards

pat kelbaugh
Tristesse désolence et lassitude
Chaque jour le temps s’ allourdit
Tristesse dé et platitudeL’homme passif tel un cynique rocher
Sur un rivage éternellement planté
Subit le poids de l’ absurdité
D’ un gouffre qui ne serait ce combler.
Prisonnier en l’ esprit de la douce solitude
qui hante chacun de ses rèves
Et de son âme suce la subtile sève,
Il vacille du haut de sa négritude.
Trouvant un refuge dans la foie
spérant dans les ténèbres trouver la main du DIVIN
Et déjouer les pièges du malin
Pour redécouvrir la vie en soi.
Cependant désolence et lassitude
Chaque heure l’ horlonge plombe
Mais toujours désolence et platitude
Et chaque coup de gong telle une bombe.
Puis les infâmes cafards envahissent mon cerveau
Et l’ être sensible se perd dans le monde
Et la vie semble insipide et immonde,
Puis les infâmes cafards envahissent mon cerveau.

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