Site hosted by Angelfire.com: Build your free website today!

Rendre a César ce qui lui appartient

Rendre a César ce qui appartient a César et DIEU la louange

louange à l’ETERNEL

Laisse moi te dire un peu.Laisse moi éponger sur le papier
Le soupçon de sagesse que j’ ai tirer de la vie.
Tout le labeur de tes mains ne sont que misère.
Toute ta vie sous le soleil n’ est que vanité des vanités.
Et toutes tes pensées ne sont que morosités et sotises.
Laisse moi te dire du haut de ton bloc de poussière .
Quel est le sens de la vie,sa saveur veritable .
Ne cherche pas loin ,car elle la toute près de toi.
La louange de l’ ETERNEL voil&agave; l’ essence de l’ existance.
Quelle joie magnifique ,quel plaisir pour l’ âme.
Quelle gaieté pour le cœur et douceur pour les reins.
Que la louange de DIEU et le récit des exploits.
Ne te soucies plus de ton imperfection car de l’impur il ne peut rien sortir de pur .
Loues ton DIEU a ton ivrer a t’ égosier.
Et si ta louange est imparfaite,sache le bien le premier et le dernier sera toujours a sa droite
Pour le louer et lui transmettre ta louange.
Oui !Tel est ta gloire tel est ta superiorité dans la création petit fils d’ Adam :
C’ est de louer a mourir ,de louer a pleurer.
Alors ne te retiens plus ,loues et pleures.
Amen,Amen !
N.M.J.P


Une femme de valeur

Une femme valeur qui la trouvera?
Elle a bien plus de prix que le corail.
Son mari a pleine confiance en elle,
Les profits ne lui manqueront pas.
Elle travail pour son bien
Et non son malheur touts les jours de sa vie.
Elle cherche avec soin de la laine et du lin
Et ses mains travaillent allègrement.
Elle est comme les navires marchands,
Elle fait venir de loin sa subsistance.
Elle jette son dévolu sur un champs
Et l' achète et avec le fruit de son travail elle plante une vigne.
Elle ceint de force ses reins et affermis ses bras.
Elle considère que ses affaires vont bien
Et sa lampe ne s' étaint pas de la nuit.
Elle met sa main à la quenouille et ses doigts s' activent au fuseau.
Elle ouvre sa main au misérable et la tend au pauvre.
Elle ne craint pas la neige pour sa maisonnée,
Car tous ont double vêtement.
Ell se fait des courvertures,et ses vê,tement son de lin raffinéet de pourpre.
Aux réunions de notables son mari est considéré ,
Quand il siège parmis les anciens du lieu.
Elle fabrique de l' étoffe pour la vendre
Et des ceintures qu' elle cède aux marchands.
Force et honneur la revêtent , elle pense à l' avenir en riant.
Elle ouvre la bouche avec sagess et fait gentiment la leçon.
Elle surveille la marche de sa maison
Et ne mange pas pas pareussement son pain.
Ses fils, hautement, la proclament bienheureuse et son mari fait son éloge.
"Bien des filles ont fait preuve de valeur;mais mais toi les surpasses toutes!
La gràce trompe, la beauté ne dure pas.
"La femme qui craint l' ETERNEL voilà celle que l' on doit louer.
A elle le fruit de son travail et que ses oeuvres publient sa louange.

j' espére que vous avez aimé ce passage ,cependant il me faut avouer l' auteur fesait allusion à l'esprit de sagesse et d' intelligence que seul le DIVIN attribue.


Attente du Seigneur

Au cœur de l’homme règne un univers parfumé
Ou l’ encens la myrrhe l’ emporte à profusion.
Ce jardin bénit de Dieu des les siècles passés,
C’ est la place qu’il réserve au seigneur son Dieu.
Car le regard humain ne peut en distinguer les senteurs
Ce verger gardé ,c’ est à toi qui le r´serve Puissant des Puissants.
Même lorsque son visage s’ est raidi,
Même lorsque son péché l’ accule impétueusement
Vers toi Oh El ,il tourne son regard timide,
Vers toi Oh El ,il tend indolemment la main.
Puisses -tu la saisir avant qu ‘il ne se perde.
Avant que la ténèbre humaine ne pervertisse son âme,
Avant que les feuilles de son pommier ne flétrissent,
Avant que les royaumes des ombres ne viennent,
Avant que la lune ne s’ obscurcisse,
Et que l’ on se réveil au son carpre.
Dans son néant l’ homme s’ attache à toi ,
Qui sonde les cœurs et les reins pendant la nuit.
Toi qui accorde gràce et miséricorde exellante,
Car ton jugement ne se dilue pas dans tes sentiments confus,
Car ton trône s’ est affermis par la fidélité et la bonté
Oui Elshadai c’ est toi qui arrose nos jardins
Et c’ est toi qui irrigue nos vergers en fleurs.
Regarde Seigneur ,regarde Oh mon Sauveur !
Daigne avoir pitié et daigne avoir compassion !
Déploies toi dans les cieux ancestraux ,
Prends les ailes du vent,
Que les nuages soient ton char,
Et que dans le tonnerre retentisse ta voix toute puissante.
Viens sauveur des siècles vers l’ opprimé,
Viens sauveur des si&efrave;cles vers l’ oppressé.
Prends celui sur qui on crache sous tes ailes.
Que nous puissions conna&icrc;tre l’ ampleur de ta gràce.
Que nous mettions notre joie à te louer.
Que les peuples trouvent en toi l’ amour et l’ all´gresse.
Laisses nous contempler ta magnificence,
Laisser contempler ta splendeur.
Alors unis dans un corps sein nous crierons de joie.
En bénissant ton Nom au siècle des siècles.N.M.J.P


Dame sagesse

A travers les àges elle a manifesté sa gràce,
A travers les siècles elle a laissé sa docile trace.
Plus précieux que l’ or ,plus précieux l’ argent.
Elle est chérie pour sa rareté sur la terre des vaillants.
A elle , la gloire ,la richesse et la longue vie.
Dans son sein précieux milles délices,milles parfums,
Car elle fut bénite de la bouche du Divin.
Car elle est princesse des ancestrales nuits.
Dans sa robe ,elle couve prince et roi.
Oui , a toi Sagesse éducation, droiture et équité.
A toi aussi femme céleste vigueur et vitalit´.
Car tes caresses sont douces comme la soie.
Tu nourrie l’ esprit d’ une joie ´ternelle.
Alors berc´ par les coulis de ton noble rire
L’ homme oublie combien il est mortel. N.M.J.P


Jeunesse et sagesse

Quel travail pénible que cultiver son jardin.
Quelle occupation pénible le Divin soumet au fils d’ Adam :
Que de sonder son œuvre si magnifique.
Deux milles ans après la venue en chair de la sagesse ,
Qu' est devenu la planète terre,mère universelle.
Quelques fois elle nous paraît être un aride un désert,
Quelques fois elle nous semble être un océan de souffrance.
Quand le jeune homme combat sa naiveté et sa son insouciance.
Quand en son àme il lutte contre le joug de sa chair .
Et de surcroît doit affronter la profondeur du néant humain.
Que de désolation et de tristesse il ressent.
Bénit soit le Divin qui dans sa gràce infinie
A pourvue la terre de sagesse a travers ses témoins.
Phares plantés dans les siècles qui dirigent
Nos barques indolentes en proie à tous les flots imp&acte;tueux.
D’une nature humaine dominée par les passions charnelles .
Et maltrait´ par une carence d’amour fraternel.
Path´tique est la vanit´ humaine.
Cynique est le siècle présent.
Que te dire sagesse de dieu ?
Sinon te louer pour ta lumière.
Sinon t ‘ adorer pour tes bontés et tes conseils.
Diriges nous comme Salomon, Daniel,et David,
Que nous trouvions en toi l’essence de l’existance.N.M.J.P

donner vos impressionsget this gear!