GENERAL MICHEL AOUN MICHEL AOUN
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IFORMATION
LA VI PERSONNEL DU GENERAL
BUTE
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nom:michel
prenom:aoun
birthday:1935
pays:liban mai maintenant il vie en france
metiers:c'est un homme politique eh le directeure du fpm et sont referenciel
sitedu fpm

le site de l'fpm
des photos





LA VI PERSONNEL DU GENERAL

AOUN MICHEL

Aoun, Michel (1935-), militaire et homme politique libanais. Né à Haret-Hreik, un village au sud de Beyrouth, au sein d’une famille modeste chrétienne maronite, Michel Aoun a trouvé dans la carrière des armes un moyen de promotion sociale. Engagé en qualité de simple artilleur, il gravit peu à peu les échelons de la hiérarchie militaire et parfait ses connaissances lors de plusieurs stages à l’étranger — il séjourne notamment aux États-Unis, à Fort-Seale en 1966, puis en France dont il revient diplômé de l’École supérieure de guerre en 1980. Jouissant d’une excellente réputation de soldat, il accède au rang de général de brigade en 1984, avant d’être nommé, cette même année, commandant en chef de l’armée libanaise avec l’assentiment des représentants de la communauté musulmane. Son intrusion sur la scène politique libanaise intervient dans un contexte de crise institutionnelle majeure. Depuis l’accession à l’indépendance, le Liban vit sous un régime constitutionnel qui répartit les charges publiques entre les représentants des diverses communautés chrétiennes et musulmanes, mais alors que le mandat du président Amine Gemayel arrive à terme en septembre 1988, les communautés religieuses et politiques libanaises ne parviennent pas à s’entendre sur un possible successeur. Nommé au poste de Premier ministre par Gemayel, Michel Aoun forme un gouvernement de coalition réunissant chrétiens et musulmans, la majorité de ces derniers se ralliant à la personne de Sélim Hoss qui forme un gouvernement concurrent d’obédience pro-syrienne — les forces d’Hafez-al-Assad occupent une partie du Liban depuis 1976. Convaincu que le courant nationaliste et populaire qu’il entend incarner ne peut s’imposer que par la force, Michel Aoun lance, dès février 1989, ses partisans — qu’il recrute essentiellement au sein du quartier chrétien de Beyrouth-Est où il exerce un pouvoir plébiscitaire — dans une «?guerre de libération?» contre les syriens soutenus de l’intérieur par la milice des Forces libanaises. L’accord d’entente nationale signé à Taef en octobre 1989, et ratifié par les députés, ne suffit pas à mettre un terme à l’attitude du général chrétien. Au motif que l’accord ne contient aucune disposition expresse relative au stationnement des troupes syriennes au Liban, Aoun intensifie ce qui apparaît, à cette époque, comme «?sa?» guerre de résistance. Il s’oppose à l’élection régulière de René Moawad, se proclame lui-même président et se retranche dans le palais présidentiel de Baabda, constamment soumis à un déluge d’obus. Son intransigeance ne peut rien contre des forces qui lui sont largement supérieures : il se réfugie, en 1990, dans l’enceinte de l’ambassade de France où il demande, et obtient, l’asile diplomatique. Sa reddition met un terme à cette guerre civile. Se plaisant à se qualifier lui-même «?d’épine dans le pied?» de l’armée syrienne, Michel Aoun a laissé l’image d’un officier qui, tout entier habité par la conviction de mener une guerre de libération, s’est mué en simple chef de guerre ayant conduit ses partisans à une impasse, tant militaire que politique.


liban

Lorsque le mandat présidentiel d’Amine Gemayel expira en septembre 1988, aucun accord n’avait été trouvé pour la désignation de son successeur. Il nomma alors le commandant des armées, le général chrétien Michel Aoun, à la tête du gouvernement provisoire. En fait, les factions chrétiennes et musulmanes mirent chacune en place leur propre administration ; Le gouvernement conduit par le sunnite Selim el-Hoss refusant de démissionner s’installa dans Beyrouth-Ouest. En mars 1989, le général Aoun lançait une «?guerre de libération?» contre la Syrie qui acheva de ruiner le pays et s’accompagna d’affrontements meurtriers avec les Forces libanaises, désormais dirigées par Samir Geagea.






but

hirie siede este2lel



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