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La collection archéologique de George Sims.

Faits ou ethnohistoire?

Quérir notre histoire locale peu connue exige beaucoup plus qu’une recherche dans les notes de la vieille bible de la famille, ou en questionnant votre octogénaire locale sur l'ethnohistoire locale. En recherchant des faits historiques concrets, certains d'entre nous, sinon bon nombre de nous, seraient au courant de leurs détails. Quand la source est seulement des références des objets qui ont été oubliés avec le passage des décennies, des centaines d'heures de recherche sont souvent comme conséquence de trouver quelques pistes rarissime. L'histoire de la collection des objets témoins de Georges Sims a ces deux caractéristiques.

Quand j’étais mis au courant la première fois sur cette collection, l'information était vague et très fragmentaire. Peu de personnes locales étaient courrant des faits, et dans les quelques journaux archéologiques et anthropologique que j'ai eus, aucune mention pourrait être trouvée. Où allons-nous de là ? La plupart des objets témoins trouvé à Métis par messieurs Dawson, Leggatt, Armstrong, Mathewson et d'autres, ont été donnés au musée de Redpath, et résident maintenant au musée de McCord, Montréal. Mais ils n'ont pas eu la collection de Georges Sim. Ni l’Université de Montréal, ni université de McGill les avait non plus. En fait, personne ne semble avoir sa collection. Il avait été en contact avec l'archéologue W.J. Wintemberg dans les années 1930, et, heureusement, leur correspondance a été soigneusement préservée au Musée canadien de la civilisation. Entre ces lettres et les détails de sources locales, allons nous voir si nous pouvons séparer les faits concrets de l’ethnohistoire.

Dans les histoires de mlle Jessie G. Stevenson de Métis, écrit dans les années 80, nous apprenons que la ferme de Georges Sims était située du côté sud du point du phare, où son père ou grand-père a trouvé de nombreuses d'outils en pierre en labourant leurs terre. Elle a également mentionné que le professeur Henry Fry Armstrong du département de génie civile de l'université de McGill avait trouvé un maillet en pierre en faisant la base pour son chalet à Métis. Elle aussi avait trouvé une tête de flèche d'ardoise sur la plage près de la maison de Nowers, autrefois la maison de Georges Sims. Mlle Stevenson mentionne également que le côté sud de la pointe de Métis était un campement indien. En outre, elle mentionne en ses plus jeunes années, d’apprendre qu'un des Turriff, creusant près de la route ou de la plage, ont trouvé un squelette, des cendres, des perles. Mme Dorothy Drake sur la pointe de phare, a trouvé un objet témoin autour de 1965, qui était arrivée dans une chargement de la terre noire pour son jardin venant de la ferme que la famille Sims avait labouré pour des générations. Puis professeur Edouard Pilgrim, le directeur de l'université de Ridley, rue Catherines, Ontario, a cru que l'évidence de l’occupation indien devaient être trouvées sur l'emplacement de sa maison, une des maisons les plus anciennes dans Métis, sur le baie Turriff.

Es-ce que les outils de pierre trouvé par le père ou le grand-père de Georges Sims, qui a labouré leur ferme, étaient les mêmes objets témoins qu'il a mentionnés dans ses lettres. Nous ne connaissons pas, car sa collection s'est développée au cours des années, et probablement avons été donnés des objets témoins trouvés par d'autres fermiers ou résidants d'été. Nous savons qu'il avait documenté dans ses lettres, y compris des traces périphériques en crayon, d'une pierre de frottage ou d'un outil de finissage, deux haches, une gouge, quelques points de lance, un couteau biface. Il a mentionné qu’il a entendu de l’existence de deux campements amérindiens et un cimetière à Métis, incluant un grand os, pensé d’être une défense de morse. Tandis que nous ne pouvons pas vérifier les deux premières allégations, nous savons du rapport de Benjamin Écuyer 1811 sur Métis préparé pour John Macnider, seigneur de Métis, que le morse, qu'il a appelé des vaches de mer dans son rapport, erraient le fleuve à ce moment-là. M. Sims a également mentionné l'existence d'une petite collection d'outils amérindiens laissés sur les lieux par une famille, qui ont parti nombreuses années auparavant. À ce jour, cette collection n'a été jamais trouvée. La dernière trace de la collection de Georges Sims à arrêter en 1936, toujours avec les huit objets témoins, mais à Halloway, situé sur l'extrémité occidentale du baie de Quinte sur le lac Ontario.

La collection Sims avait quel age? Les plus anciens objets témoins connus dans le secteur remonte à 8 000 ans avant présent, et les outils de l’age de pierre étaient encore en service pendant la période des premiers contacts européens . Malheureusement, le manque de détails ne permis pas d’avoir une date juste sur la collection de George Sims. Mêmes les objets témoins bien documentés et connus de Métis, donnés au musée McCord au cours des années, continué non daté.

Avec des recherches archéologiques et anthropologiques additionnelles effectuée dans le secteur, nous rejoindrons lentement chaque partie du casse-tête. Trouverons-nous toutes les réponses et ces huit objets témoins que Georges Sims a emportés avec lui quand il a laissé Métis en 1933 ? Peut-être pas, mais des surprises sont venu des sources les plus inattendus. De temps en temps des lecteurs rappellent des détails qu’ils ont cru insignifiant à ce moment-là, aidant rejoindre ensemble ces liens manquant.


Gilbert R. Bossé, Métis-sur-Métis, QC
paleometis@gmx.com