Mes Choses Favorites
Bonjour ! Je m'appelle Eric Wilkins (« Érique » en français), et voici l'histoire de ma vie. Si vous voulez me connaître vraiment, il faut que vous lisiez cette autobiographie. Commençons. J'ai 17 ans maintenant, mais j'aurai 18 ans mon anniversaire prochain, qui sera le 5 août 2005. J'habite à 310 rue Arrow Drive à Elizabeth dans une maison en briques avec mes parents, qui s'appellent Denise (ma mère) et Bill (mon père). J'ai une grand-mère (qui s'appelle Pearl) aussi, et une demi-sœur très étrange qui s'appelle Danielle et qui vit à Brooklyn. Je vais au Lycée Elizabeth Forward (qui est grand, mais pas trop grand), et les cours que je suis sont : la physique (qui est le pire !), le français (qui est le meilleur !), la santé, le gouvernement américain, l'anglais (on commencera lire « Roméo et Juliette » cette semaine-ouais !), et un cours dans la probabilité et les statistiques. J'ai les yeux bleus et les cheveux blonds foncés, et je ne suis ni petit comme un hobbit, ni grand comme un géant. Je suis fou, mais intelligent, et je suis très bavarde. J'adore lire, nager (surtout à la plage d'une île tropicale), et aller au cinéma. Mes films favoris de tous sont « Le Seigneur des Anneaux » (tous les trois), « Kate et Léopold, » « Casablanca, » et, maintenant, « Le Fantôme de l'Opéra. » J'adore mémoriser mes lignes favorites des films et des livres, aller à l'église chaque semaine, et sortir avec mes parents le samedi.
Quand j'étais jeune, mes lieux favoris à visiter étaient le zoo, le musée, Kennywood, et Disneyland, et quelques choses ne changent jamais. J'adorais les dinosaures (et le film « Parc Jurassique »), et je voulais être un paléontologiste avant que j'ai appris que ça aurait entraîné de la fouille. Je n'aimais jamais les « grands espaces naturels. » Mes nourritures favorites étaient le poulet, le steak, le maïs, et les frites. Mes émissions favorites étaient « Le Voisinage de Monsieur Rogers » et « J'Adore Lucy » (maintenant, je préfère « Les Filles Gilmore, » « Perdu, » et « L'Émission Ellen DeGeneres »). L'année passée, j'étais très intéressé à l'Impressionnisme et l'histoire d'art et de l'architecture. Ma classe favorite (après le français, bien sûr) était la mythologie avec Mme. Meehleib. Nous avons lu « L'Iliade » (que j'adore) par Homer. Cet été passé, mes parents, ma sœur, et moi sommes allés en Aruba, une petite île dans la Mer des Caraïbes au nord du Venezuela. Il faisait beau la semaine entière que nous étions là. Nous sommes venus pendant la saison venteuse, et j'ai presque perdu mon chapeau beaucoup de fois. Nous montions des chevaux (mon derrière me faisait mal pour plusieurs jours après), nagions dans la mer (on voyait beaucoup de pélicans en plongeant pour des poissons), faisions des achats (ma sœur a acheté une nouvelle valise), et faisions une tournée de l'île en autobus (il pleuvait, mais, pour la plupart, quand nous étions dans le bus). C'était merveilleux-je voulais y rester pour toujours ! En fait, je pense qu'une partie de moi y réside encore. Au passé, d'autres lieux que nous avons visités à nos vacances incluent Hawaii (la grande île, Oahu, et Maui), Disneyland, Las Vegas, et les Bahamas (comme on peut voir, nous aimons passer nos vacances quelque part chaud). Il faisait chaud même quand nous sommes allés au Canada en 2002. Cette année-là était l'année quand j'ai reçu mon premier « goût » des Caraïbes (nous faisions une croisière, qui était trop merveilleuse pour les mots !). Et prochain ? Lisez en avant…
Cet été, nous irons en Europe-ouais !! Nous visiterons Londres (et peut-être prendrons du thé et des crumpets avec la reine !), Paris (notre hôtel ne sera pas très loin de la Tour Eiffel), Venise (nous prendrons une gondole pour visiter la ville), Rome (je veux voir la Chapelle Sistine et « il Colosseo »), Florence (où on trouve la Statue de David), Pisa (la résidence d'une autre tour célèbre), et Montagano (le petit village où mon arrière-grand-mère vivait avant qu'elle est venue à ce pays). Mais avant que je peux faire mes bagages, il faut graduer en premier ! Je serai diplômé le 6 juin 2005 (j'avais espéré que ce jour-là serait tombé plus bientôt), et j'irai à l'Université de Californie, où je spécialiserai en éducation secondaire. Je voudrais enseigner la mythologie, l'anglais, le français, ou l'histoire (ceux-ci sont mes sujets favoris du monde). Je voudrais aussi vivre en Europe, peut-être en Italie (où tout le monde prend une sieste l'après-midi !). En fait, en dix années, je serai un professeur ; j'habiterai à Rome, la ville éternelle, et je ferai une bonne somme d'argent. En vingt années, je serai marié et aurai une fille qui nous appellerons « Lorelai » (mon personnage favori de l'émission « Les Filles Gilmore »), et j'aurai acheté une maison pour mes parents en Aruba ! Je mènerai une vie très heureuse et paisible. Alors, merci pour lire mon autobiographie. J'espère que vous l'aimiez et qu'elle vous faisait sourire.
Le Fantôme de l'Opéra
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Pour Erik, l'amour est triste. Mais la tristesse de l'amour est aussi du bonheur. Erik n'avait jamais connu l'amour avant qu'il a rencontré Christine Daaé. Et quand Christine a donné son cœur à un autre homme, pauvre Erik avait le cœur brisé. Mais, à la fin de l'histoire, Erik a réalisé qu'il ne pourrait jamais être heureux si Christine était triste.
Depuis qu'Erik est jeune, personne ne le touchait jamais. « ‹Ma mère, Daroga, ma pauvre misérable mère ne m'a jamais permis de l'embrasser…Jamais!...Jamais!› » (123). Erik adorait Christine du moment qu'il l'a vue. Elle l'aimait aussi, mais comme l'Ange de la Musique, pas comme il était en réalité. Mais quand il l'a libérée et l'a laissée se marier avec Raoul, elle l'embrassait pour la première fois. Ils s'embrassaient et pleuraient ensemble. C'était le plus joyeux moment en la vie d'Erik. Maintenant, Christine l'aime comme un ami.
Mais l'amour est aussi triste pour Erik. Christine n'aimait pas Erik comme il l'adorait. Donc, Erik essaie de la forcer à l'aimer, mais ça ne fait rien. Son amour appartient à Raoul, le vicomte de Chagny. Erik a pensé qu'il a trouvé l'amour vrai, mais il avait tort. Il devient jaloux de Raoul et aurait tué le vicomte si Christine n'avait pas été là. « ‹Elle me suppliait pour son petit jeune homme. Moi, je lui ai répondu que j'étais maintenant son fiancé puisqu'elle avait tourné le scorpion. Elle n'avait pas besoin de deux fiancés. Et tu allait mourir avec l'autre fiancé!› » (123).
Enfin, Erik voit que Christine ne pourrait jamais être heureuse avec lui parce que son cœur serait toujours avec Raoul. Il cherche dans son âme et trouve qu'il désire seulement le bonheur de Christine, même si ça voudrait dire la laisser se marier avec un autre. Alors, il donne son anneau d'or à Christine et leur dit « ‹Prends ça pour toi…et pour lui…Ce sera mon cadeau de noces…le cadeau du pauvre, malheureux Erik!...Je sais que tu l'aimes, le jeune homme› » (124). Il sait aussi qu'il aura permis l'amour vrai à durer par les laisser être ensemble.
Erik est mort d'un cœur brisé. Mais dans sa tristesse, il a trouvé un bonheur plus merveilleux qu'on peut imaginer. Il était heureux parce que Christine avait pleuré avec lui, l'avait embrassé, et lui avait promis de porter son anneau d'or et le lui retourner quand il serait mort. Il faut que le lecteur sache que Christine tiendra sa promesse. Sachez aussi qu'il n'est pas mort sans des amis. N'oublions jamais l'histoire d'Erik, le Fantôme de l'Opéra.
La Belle et la Bête
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Dans le conte des fées « La Belle et la Bête, » l'amour vrai gagne sur tout. C'était l'amour qui a sauvé le père de Belle, qui a dissipé la peur de Belle envers la Bête, et qui a cassé le charme de l'enchanteresse. En cette histoire, le lecteur aura vu par la fin que l'amour vrai exerce une magie qui est plus puissante qu'aucun charme d'une fée.
L'amour vrai a le pouvoir de sauver des vies. Après que Maurice avait pris une rose du jardin de la Bête, la Bête l'a forcé de jurer qu'il retournerait dans trois mois pour être mangé si une des ses filles ne prendrait pas sa place. Maurice ne voulait pas demander à ses filles de le faire pour lui pace qu'il les adorait tellement. Mais la Belle ne le laisserait pas aller à sa mort, alors elle promet de rester au château de la Bête en échange de la vie de son père. « ‹Je vous assure, mon père,› lui dit la Belle, ‹que vous n'irez pas à ce palais sans moi; vous ne pouvez m'empêcher de vous suivre› » (Beaumont 6). Sa bonne action a touché le cœur de la Bête et l'a causée de libérer Maurice.
L'amour vrai peut vaincre aucun obstacle. La première fois qu'elle l'a vue, la Belle avait peur de la Bête et était repoussée par sa laideur. Mais, après qu'elle est passée trois mois dans son palais, tout cela commençait à changer. « Quand Belle observa le grand maladroit essaie de bête pour nourrir quelques oiseaux, elle s'est rendue compte qu'il eut un bon côté doux à lui-quelque chose qu'elle n'ait pas vu auparavant » (Disney 26). La Belle et la Bête deviennent des amis, et Belle lentement perdait sa peur de lui. « ‹Vous avez bien de la bonté,› dit la Belle. ‹Je vous avoue que je suis contente de votre cœur; quand j'y pense, vous ne me paraissez plus si laid› » (Beaumont 9).
L'amour vrai peut bouger des montagnes, mais pour le faire, il faut qu'il soit fort. Au commencement de l'histoire, un charme magique transforma le beau prince dans la Bête. « ‹Une méchante fée m'avait condamné à rester sous cette figure jusqu' à ce qu'une belle fille consentît à m'épouser› » (Beaumont 13). Belle pensait qu'elle seulement aimait la Bête comme une amie, mais quand elle l'a voyait blessée, elle a réalisé qu'elle vraiment l'adorait avec tout son cœur. C'était dans ce moment-là, quand la Bête serait morte, que la Belle a dit qu'elle serait sa femme et le charme a enfin été cassé.
Comme on peut voir, l'amour vrai conquiert tout, même la mort (en cette histoire, au moins). Il ne vient pas toujours facilement ou vite, mais où il est trouvé, il peut faire de grandes choses. Et l'amour vrai n'existe pas seulement dans les contes des fées. Regardez prudemment, et vous le verrez partout.
Le Petit Prince
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À Danielle Dybiec
Cette œuvre est spéciale car elle a une dédicace. J'y avais pensé longtemps, et j'ai décidé qu'elle est si grande qu'il faut qu'elle soit dédiée à quelqu'un. Cette quelqu'une est ma sœur, que j'adore beaucoup et qui a 13 plus ans que j'en ai. Si vous êtes un petit enfant, ça la ferait une grande personne, peut-être, à vos yeux. Mais si vous la connaissiez comme je la connais, vous sauriez qu'elle est jeune au cœur. Et, elle adore les petits enfants. Moi aussi, qui bientôt serai une grande personne moi-même, et je veux essayer rester un enfant au cœur toute ma vie, comme ma sœur. Alors, c'est pourquoi que je change ma dédicace. C'est maintenant :
À Tous les Enfants du Monde et
À Tous les Jeunes au Cœur
« Les enfants doivent être très indulgents envers les grandes personnes » (St.-Ex.). Une fois ou une autre, tout le monde devra vieillir, et il faut qu'on renonce les jouets de sa jeunesse. Mais ça ne veut pas dire qu'on doit arrêter d'être un enfant au cœur ; cependant, beaucoup de grandes personnes oublient ce qu'il soit d'être jeunes. Ainsi, ils pensent qu'ils doivent être indulgents envers les enfants, mais en réalité, le même est vrai pour les enfants aussi. Qui l'aurait jamais cru ?
« Celui que je touche, je rends à la terre dont il est sorti…Mais tu es pur, et tu viens d'une étoile » (le serpent). Depuis quand les premiers humains ont péché contre Dieu, tout l'humanité est sujet au pouvoir de la mort. Mais Dieu a changé tout cela quand il a envoyé Jésus à mourir pour nous et ainsi nous donner la vie éternelle. En cette histoire, le Petit Prince, qui symbolise le Christ, meurt pour sauver sa planète et sa rose. (Quand vous la lisez, sachez que le prince sera déjà retourné à la vie et sera déjà rentré.) Ici, le serpent, qui symbolise la mort, se sent menacé par la bonté de ce prince descendu du ciel.
« Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. » (le renard). Toutes les choses de ce monde sont temporelles. Quand on part cette terre pour la prochaine vie, on ne peut rien emporter avec soi, sauf ce qu'on est : son âme. Nos corps ne sont que des voiles de chair au-dessous de qui la vraie beauté et la vraie signification sont cachées. L'amour, la force la plus puissante à l'univers, ne peut pas être vue ou sentie avec nos yeux ou nos mains, mais seulement avec nos cœurs. C'est pourquoi on ne devrait jamais juger un livre par sa couverture.
« C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante » (le renard). Les mères portent leurs enfants dedans elles-mêmes pour 9 mois avant la naissance, et, à chaque mère, ses enfants sont les choses les plus précieuses dans le monde entier. Jésus a montré son amour pour nous quand il est descendu du ciel et vivait, un humain, avec nous sur la terre. Ça lui a fait plus intime envers nous et nous fait plus intime envers lui.
« Ce qui embellit le désert…c'est qu'il cache un puits quelque part » (le Petit Prince). Tout le monde est spécial parce que chaque personne est unique. Mais nous sommes spéciaux aussi car nous avons quelque chose en commun : tout le monde a un puits. C'est situé au milieu du cœur, et, quand on croit vraiment, ce puits déborde avec l'eau vivante. Alors, croyez : en Dieu, en vous-mêmes, et en les autres, et nous pourrons étendre les eaux dedans nous partout dans le monde.
Jeanne d'Arc
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vendredi, le 1er juin 1431
Monseigneur le Pape,
J'espère que cette lettre vous trouve en bonne santé. Vous ne connaissez pas mon visage, mais peut-être vous avez entendu mon nom. Je m'appelle Capitaine Jean de Metz, un officier de l'armée royale française, et je vous écris avec une proposition qui concerne une fille qui était une amie à moi. Cette demoiselle de qui je parle était la raison que les Français gagnent enfin la guerre contre l'Angleterre pour le trône de la France. Elle s'appelait Jehanne d'Arc, la Pucelle de Lorraine. Elle est née dans le petit village de Dom Rémy (P2). Elle travaillait comme une bergère simple, mais Dieu avait de grands plans pour elle. Jehanne était très pieuse. Elle irait souvent à la messe, où, elle m'a dit, elle entendrait les voix des anges. Elle me disait que celles-ci étaient les voix de Sainte Catherine, Sainte Marguerite, et Saint Michel. Ces saints lui apparaissaient depuis elle a 12 ans et lui disaient que c'était la volonté de Dieu pour elle à conduire le dauphin (maintenant le Roi Charles VII) à Reims pour le couronner, lever la siège d'Orléans, et libérer la France des Anglais (P1, 4). Ainsi, Jehanne est partie de chez elle à l'âge de 17 ans et est venue à Vaucouleurs à voir Richard de Baudricourt, le capitaine du roi, pour obtenir une escorte aux courts du dauphin. Elle lui a dit tout ce que ses voix lui avaient dit. J'étais là, et j'avoue qu'il n'y avait pas de mensonge dans ses yeux. Mais de Baudricourt ne l'aurait jamais crue si ses poules ne se sont pas arrêtées de pondre des œufs quand il ne lui accorderait pas une escorte. Alors, je suis devenu l'escorte de Jehanne à Chinon, et nous sommes devenus des amis. À Chinon, le dauphin s'est caché parmi ses courtisans (L89) pour tester si Jehanne était vraiment envoyée de Dieu. Et, à la surprise de tous, Jehanne, qui n'avait jamais vue Charles en avant dans sa vie, l'a trouvé dans la foule. Si quelqu'un avait aucune raison de la douter, il n'en avait plus. Plus tard, quand Jehanne a reçu son armée du dauphin, elle a délivré la ville d'Orléans et m'a sauvé quand j'étais fait prisonnier par les Anglais. Et elle a mené Charles sain et sauf à Reims (à travers un territoire occupé par les Anglais), où il a été couronné roi de la France. Après beaucoup d'autres victoires contre les Anglais, Jehanne a été capturée par les Bourguignons (qui étaient aussi des ennemis de Charles) à Compiègne et vendue aux Anglais (leurs alliés). Les Anglais la craignaient et voulaient sa mort. Elle était jugée comme une sorcière et une hérétique (P7) et a été condamnée à brûler au bûcher à Rouen l'avant-hier. Jehanne n'a fait pas d'effort de se sauver. Elle a su que sa mort unifierait tous les citoyens de la France contre leurs envahisseurs. Avant qu'elle est morte, elle a demandé de voir un crucifix à égalité de ses yeux. J'étais là, déguisé (encore), dans la foule, et j'ai tenu le crucifix pour elle. Elle criait le nom de Jhésus et, enfin, « Merci ! » au Seigneur au moment avant que les flammes l'a engouffrée. Elle n'avait que 19 ans. Un soldat anglais a hurlé, « ‹Nous sommes perdus, nous avons brûlé une sainte !› » (P7). C'est pourquoi je vous écris. Je voudrais nommer Jehanne pour la béatification pour toutes les raisons que vous avez déjà lues. Je sais que ceci semblera étrange à vous, mais si vous contacteriez Mère Babette, l'évêque Cauchon, ou Sa Majesté Charles VII, ils seraient du même avis. Quand vous recevrez cette lettre, j'aurai déjà été réassigné à Paris. Ne prenez pas ce que j'ai écrit trop légèrement, s'il vous plaît. Je sais que Jehanne est au ciel avec Dieu aujourd'hui et qu'elle continuera nous aider à gagner la lutte. Il faut que nous l'honorions pour son courage et sa foi.
Signé,
Capitaine Jean de Metz
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