Site hosted by Angelfire.com: Build your free website today!

Aude


 

Avant de commencer mon histoire, j'aimerais préciser plusieurs choses: j'ai découvert Garou, comme la plupart des gens, avec Notre-Dame de Paris, mais ce n'était pas mon préféré jusqu'à il y a quelques semaines, jusqu'à mon merveilleux week-end à Londres. Je l'avais déjà vu à Genève, dans la version française, mais il m'avait "échappé" et malheureusement, après l'avoir attendu à son hôtel, à la télévision locale, et à la sortie des artistes, je n'avais toujours pas pu le rencontrer...Pour ceux que ça intéresse, les détails sont sur le site de Pauline:

 

 

Il est donc à peine 5 heure du matin, ce samedi 24 juin 2000, lorsque je me lève, avant le réveil: l'avion n'attend pas et impossible de dormir plus longtemps en pensant à la fabuleuse journée qui m'attend. Car il faut dire que cette journée, c'est aussi mon cadeau d'anniversaire un peu retardé, puisque j'ai eu 15 ans le 14 février passé. Enfin. je décolle (avec maman) de Genève pour atterrir à "London Luton" peu après (merci EasyJet)...Quelques heures de train, de bus et de métro sont nécessaires mais enfin, me voici devant le Dominion Theater avec son affiche gigantesque qui titre magistralement "Notre-Dame de Paris". Les guichets sont ouverts et nous entrons donc retirer nos billets: l'intérieur est sublime. Il faut dire que contrairement à la France où le spectacle était accueilli dans des salles de concert, ici nous sommes dans un vrai théâtre, avec des beaux tapis bordeaux, des ornements dorés, des lustres en cristaux, etc. Tout à coup, ma mère m'appelle presque en criant: "mais regarde, ils sont pas tous là!!!" Je bondis. Comment ça ils ne sont pas tous là?! je regarde une liste en caractères dorés et constate l'horreur. Apparemment, je n'aurai droit ni ä Daniel Lavoie, ni à Luck Mervil, ni à Bruno Pelletier ...c'est trop injuste!!! Ma mère est au bord de la crise de nerf, elle qui adore Bruno Pelletier, et moi je n'en suis pas loin non plus, vu que j'adore Luck Mervil...la caissière nous rassure: ce n'est pas définitif....

Il est environ midi: il ne nous reste plus qu'à dénicher un petit hôtel bon marché dans le coin, et on sera bon pour l'interminable attente. J'ai déjà vu le spectacle deux fois et pourtant j'ai la même impression: les minutes se traînent, le temps se ralentit. C'est dans ces moments que je me dis Vive Londres et Vive le shopping, sinon je sias que je serais resté toute la journée à tourner en rond et à me demander "Qu'est-ce que je vais bien pouvoir leur dire?". Donc voilà, les magasins prés de Picadilly ont sauvé mon impatience (mais pas mon porte-monnaie...). Mais plus le temps passe, plus je deviens tout de même nerveuse: j'ai mal au ventre, je tremble, je tourne en rond, je fixe ma montre toutes les 5 minutes....à tel point que je me demande comment nous avons fait pour arriver en retard!!!!! Bon, c'est vrai, on avait pas bien repérer l'endroit, mais quand même, à courir sous la pluie avec ma mini-robe bleue et mon plan londonien à la main, j'avais presque les larmes aux yeux tant la situation m'échappait. Enfin, on a quand même réussi à y arriver pour 19h45, l'heure où débute le spectacle, et c'est là que le rêve a commencé.

Je savais que nos places étaient parmi les meilleures: je ne savais pas que c'était les meilleures: premier rang, les deux place du milieu, au début de l'allée centrale. dans ma précipitation je n'avais même pas pu voir la distribution des rôles pour la soirée. tant pis, on verra le moment venu. Les lumières s'éteignent, une annonce retentit en anglais puis en français, j'ai du mal à contenir mon excitation. Les premières notes du "Temps des cathédrales" retentissent et Gringoire apparaît: ce n'est pas Bruno Pelletier(gros soupir de ma mère), c'est un certain Alexis James: lorsqu'il commence à chanter le choc est brutal. Je sais, c'est stupide, mais dans ma tête je m'apprêtais à entendre "C'est une histoire qui a pour lieu..."Quelle surprise! cet Alexis James a la voix presque parfaitement identique à celle de Bruno! Et il a un sourire, un sourire...un sourire désarmant, un sourire splendide, qu'il utilise avec un mélange fascinant de mystère et de charme...ah non, ce Gringoire-là, je ne suis pas prête de l'oublier, car de plus, inutile de dire que d'où je suis je vois tout! Je vois ce qu'il voit, et lorsqu'il baisse les yeux pour fixer les premiers rangs, son regard clair me fige sur place: il croise mes yeux et me regarde en continuant à sourire si superbement: je me surprends à soutenir son regard au lieu de détourner les yeux pas gêne...

Clopin entre en scène: il est chauve et je comprends dans l'instant que je ne verrai pas Luck Mervil ce soir: J'apprends par mon programme qu'il s'agit de Carl Abraham Ellis: il est pas mal en Clopin. sa peau noir et son air désespéré brillent sous la lumière verte des "Refugees". J'ai déjà quelques larmes dans les yeux.

Arrivent Phoebus et Frollo. C'est Steve Balsamo! C'est Daniel Lavoie! Merveilleux!!!

Pour les quelques personnages que je n'ai pas encore décrit, je vais procéder par ordre sinon je vais m'emballer et écrire des pages et des pages...

Phoebus (Steve Balsamo): il n'est pas spécialement beau mais il faut avouer qu'il a une voix sublime. Et puis il joue à merveille son personnage. Par exemple "Torn Apart" ("Déchiré") était une chanson que je n'aimais pas du tout sur le CD anglais. Et là, sur scène, j'ai été subjuguée. Il y met tellement de passion, de désespoir, de déchirement. On dirait vraiment qu'il se détruit avec cette chanson, qu'il souffre, qu'il lutte dans un combat intérieur terriblement douloureux....ça m'a laissée sans voix, sans souffle, tellement il était plié en deux et "déchiré" par lui-même...

Frollo (Daniel Lavoie): c'est quelqu'un d'incroyable, vraiment. la première fois qu'il est apparu sur scène j'ai bien vu qu'il avait envie de rire. Mais il a tout de suite retrouvé son sérieux et il met tellement de force, de vérité, de ferveur, de méchanceté et de passion dans son rôle que cela en devient effrayant. Je dois dire que j'ai moi-même dut interpréter Frollo sur scène et j'ai découvert que c'était encore plus dur que ce que j'imaginais. C'est avant tout un 'être humain. Et Daniel Lavoie fait aussi bien ressortir le côté "méchant" que le côté "humain" dans son interprétation...Il est vraiment formidable. Il montre la folie de Frollo avec beaucoup de crédibilité...

Fleur-de-lys (Natasha St-Pierre): alors là, bof, bof, vraiment bof...D’accord elle a une belle voix mais elle doit se contorsionner en une sorte de grimace robotique pour les notes hautes : pas très beau à voir. Pour le côté " gentil " de Fleur-de-Lys, elle fait sa grimace et pour le côté " méchant ", elle a dû confondre les termes " méchant " et " salope " (désolé, pas moyen de dire autrement...)

Esmeralda (Tina Arena) : comme j’étais tout près et que je m’amusais à relever des détails, j’ai pu constater qu’elle portait un vernis rouge sur les orteils et un wonderbra noir...pas très bohémien, mais bon. Elle chante superbement. C’est une fille très émotive, je crois, car elle a pleuré dans " Ave Maria " et dans " Vivre ", en regardant intensément ma mère, qui pleurait elle aussi. Ma mère (qui fait une formation en psycho) m’a dit qu’elle a vécu là une " expérience très profonde... "Tina était géniale : elle n’a pas la voix fragile et diaphane d’Hélène Ségara, ni le jeu impeccable de Daniel Lavoie, mais elle a la vivacité, la fougue, la force et la puissance, le feu de la gitane Esmeralda. Remarquable et émouvant.

Quasimodo (Garou) : lorsque quasimodo apparaît pour la première fois, il est au fond de la scène. Il était tellement maquillé que j’ai eu peur que ce ne soit pas lui...je me suis dit " dès les premiers mots, on va savoir... "C’était lui, aucun doute possible. Cette voix rauque et indescriptible, ces mains expressives, ce visage qui tremblait d’émotion...c’était lui. Personne ne saurait interpréter Quasimodo mieux que Garou. Personne. Je l’entendais chanter " pour de vrai ", pas seulement dans son micro, et c’était un instant sans nom, le temps s’était arrêté pour moi. Isabelle a écrit ceci : " Garou ne joue pas Quasimodo, il est Quasimodo. Il se déchire l’âme... "C’est tellement vrai. C’est exactement ça. Dans " Dance my Esmeralda ", il chantait à 2 mètres de moi. La sueur tombait sur son visage. On aurait dit qu’il était réellement en train de mourir sur scène. Et c’était vrai. Il y avait dans sa voix des larmes, de la tristesse, du dégoût, mais aussi de l’horreur, de l’amour et de la haine. Il sortait tout ce qu’il avait en lui, tout son cœur, son courage, son âme, parce qu’il mourait. Il sortait tout ce mal de vivre, ce désespoir, cette injustice, et il se brûlait vif, il se mutilait, il se brisait avec ses propres mots. C’était terrible et cette fois j’ai pleuré pour de bon. Je crois que sans cette voix déchirée, sans cet ultime cri d’amour, il n’y aurait eu dans la salle qu’un grand silence terrifiant. Un silence religieux. Un silence de mort. Rien que d’y repenser, j’ai la chair de poule, les yeux embués, les membres qui trembles et les jambes qui ne me portent plus.

 

Garou a mis là en moi quelque chose qui ne s’effacera jasais.

 

A la fin, comme un rituel, il y a eu un tonnerre d’applaudissements. Il y a eu les salutations, il y a eu le bis " Au temps des cathédrales " . Et il y a eu le regard des chanteurs qui balayait la salle. Celui de Garou a croisé le mien : il ne s’est pas attardé, inutile de mentir, mais la reconnaissance et la gratitude qu’il y avait dans mes yeux, ça je crois qu’il l’a vu.

Mais la soirée n’était pas terminée.

Aussitôt le spectacle fini, nous nous sommes précipitées à la sortie. Plusieurs inattendus : primo, nous n’étions pas seules contrairement à ce que j’avais espéré, secundo il n’y avait là presque que des français, tertio, il n’y avait ni sécurité, ni barrières, ni gardes du corps ! ! ! ! ! Nous étions une vingtaine de personnes et, étant tous francophones, on a très vite commencé à discuter. C’est aussi à ce moment que j’ai repéré le groupe d’hystériques de service qui se tenaient agglutinées autour de la porte en criant des " Garoooou ! " aigus. Natasha St-Pierre est sortie la première : je l’ai trouvée assez peu sympathique alors on ne va pas s’attarder là-dessus. Les danseurs sont sortis, eux aussi, suivis d’Alexis James : il a gentiment signé des autographes et posé pour des photos. Il était un peu timide parce que tout le monde s’adressait à lui en fran4ais et qu'il ne comprenait pas. J’ai d’ailleurs eu un mal fou à lui épeler mon prénom très peu " english ".Steve Balsamo aussi est sorti, et il a suivi le même parcours qu’Alexis James. Les gens commençaient à s’impatienter, surtout les hystériques de devant. Une grosse dame est sortie et a trébuché : elle est tombée à plat ventre par terre et certains ont ri alors qu’elle semblait s’être fait mal. Elle est à nouveau rentrée, furieuse, et elle a cadenassé la porte de l’intérieur. Ça semblait plutôt compromis pour la séance d’autographes. Certaisn ont commencé à lui crier des insultes, surtout les hystériques, et j’ai tenté de leur expliquer que ce n’était pas la meilleure chose à faire.

La sortie des artistes était au coin d’une rue, et j’étais assez éloignée de la porte (2 ou 3 mètres d’hystérie m’en spérait). C’est alors que quelqu’un a crié : "Tina Arena vient de partir en voiture ! "C’était vrai. Au revoir Esmeralda. Elle était sortie par une autre porte que nous n’avions pas remarquée et tout le monde a changé de place, persuadé que c’est par là que sortirait Garou et Lavoie. Moi je suis restée près de la première porte, tout contre la porte cette fois puisqu’il n’y avait plus grand monde....la suite s’est passée comme dans un rêve :

 

Je me suis redressée en entendant le cadenas se déverrouiller de l’intérieur. LA porte s’est ouverte et boum ! face à face avec Garou et Daniel Lavoie. Je ne pouvais plus bouger, je ne savais plus quoi dire. La timidité a toujours fait partie de ma personnalité mais là, c’était plus que ça : j'étais figée sur place. Erreur de ma part : déjà le petit groupe d’hystériques m’avait bousculée et s’était mi à pousser de petits cris en tournant autour de garou...le pauvre. Je suis donc allée vers Lavoie : il m’a signé mon programme et je lui ai dit que je l’admirais encore plus depuis que j'avais dû jouer son rôle (bien sûr, je l’ai sûrement pas dit aussi bien, j’étais trop déboussolée, mais bon...)Il a écarquillé les yeux et m’a dit : " Ah bon ? Et on t’appelait comment ? Frollette ? "Je lui ai expliqué ce qu’on avait fait exactement, il a dit qu’il aurait bien voulu voir ça. Je lui ai dit qu’on lui avait d’ailleurs envoyé une invitation mais il m’a confirmé qu’il ne l’avait pas reçue. Il m’a fait ce petit sourire qui lui est propre et j’ai souri aussi . Mais ce qui me fait le plus rire, c’est que tout en me parlant, il continuait à signer d’autres programme pour des gens qu’il ne regardait même pas ! ! !ALORS JE L’AI REMERCIE ET JE SUIS ALLEE VERS GAROU ! ! ! ! ! Il a prit mon programme, la tête baissée comme pour les autres et il a commencé à écrire. Je voulais dire quelque chose d’intelligent, mais j’ai juste réussi à bégayer dans un soupir : C’était, c’était....incroyable... ! " Il a brusquement tourné la tête vers moi en souriant : "Ah oui ? " Je lui ai répondu un " oui " affirmatif et sincère. Je n’en revenais pas : je lui avais demandé 2 autographes, il avait dit " Oh la la ! ! " en riant, je lui avais dit une phrase banale qu’il devait entendre chaque soir et il m’avait répondue avec sincérité et charme (apparents en tout cas..) ! ! ! ! ! Quel type extraordinaire, Garou...Je crois que c'est à ce moment que j’ai complètement, mais vraiment complètement, craqué pour lui. J’ai lancé une phrase un peu stupide, très gamine et très spontanée : " Je peux vous faire la bise ? "(eh oui, je l’ai vouvoyé, sans doute pour qu’il sache que même si je lui sautais au cou, c’était un signe de profonde admiration et non d’hystérie...). Il a ri : il s’est rapproché de moi pour me faire la bise et j’ai remarqué qu’il sentait bon le savon pour la douche. Je lui ai donc fait la bise, mais j’avais oublié qu’en France on en fait 2 ! J’en ai fait 3 comme à Genève (chez moi) !Dans ma tête je me suis dit : " Oh non, je fais des gaffes avec tout le monde mais quand même pas avec Garou... "Lui il avait l’air de trouver ça drôle : il a fait un " Oooohhh ! " en riant parce que j’avais fait une bise de trop ! Il m’a fixée un moment puis il a de nouveau ri, ou souri, c’est selon. Je me sentais devenir rouge jusqu’aux oreilles...De son côté, il avait l’air de me trouver plutôt drôle, alors que dans la vie de tous les jours, je ne suis pas du tout " drôle " !Je lui ai dit que j’étais vraiment heureuse d’être là parce que cela faisait plusieurs fois et pas mal de temps que j’essayais de le rencontrer. Je lui ai dit que j’avais souvent été là lorsqu’il était à Genève(enfin, de nouveau c’était pas dit exactement comme ça..)Un instant je me suis dit qu’il ne m’avait pas entendue, mais il m’a regardée dans les yeux, et ça, c’était ma réponse, comme quoi je n’avais pas parlé dans le vide. J’avais toujours mon programme dans la main, alors il m’a demandé mon nom et il a rajouté " Pour Aude " au-dessus de sa signature...Je lui ai demandé si je pouvais faire une photo avec lui et comme il était d’accord, il a passé son bras autour de mes épaules , et tête contre tête, " klik-klak " voici un précieux souvenir...je suis retournée vers Daniel Lavoie, aussi pour une photo : il m’a dit :  " Ah, c’est de nouveau toi, Frollette...comment vas-tu ? " avant de me prendre dans ses bras, comme Garou avant, pour faire aussi une photo...

" Merci Daniel.. ! " " Aurevoir Frollette ! "...Daniel Lavoie s’apprêtait à partir lorsque Garou lui a dit : " Eh Daniel ! Tu fais quoi ce soir ? ! "Il a répondu qu’il ne savait pas et lui et Garou se sont serré dans les bras avant de se dire au revoir...et c’est ainsi que Daniel Lavoie, alias l’abbé Frollo, s’en alla, à pieds, mains dans les poches, seul, en sifflotant dans les ruelles de Londres...

Voyant que garou aussi allait partir, je me suis dit que je devais lui parler une dernière fois...une fille lui a demandé quand sortirait son album solo. Vers octobre ?Il a répondu " Oui, par là, je pense... "Et y aurait-il des reprises ? "Non, ça je ne pense pas... "a répondu notre quasimodo préféré. Je me suis lancée : " et il y aura une tournée ? "il s’est retourné vers moi et là, juste à ce moment là, j’ai cru que le temps s’était arrêté : j’étais debout au milieu de la rue, et face à moi il y avait Garou, à quelques mètres devant moi...il n’y avait personne entre nous 2, puisque nous n’étions plus très nombreux...je lui souriais, il me souriait, et il me regardait...pour une fois je ne me suis pas sentie obligée de détourner le regard... " oui, il y aura une tournée... "j’ai continué : "  et c’est possible qu’elle passe par Genève ? " Il y a eu une pause : il a attendu pour me répondre et on avait un peu en vie de rire en se regardant comme ça :je crois pouvoir affirmer sans honte et sans prétention que de l’un et l’autre côté, on savait ce qu’il était en train de se passer :le charme...moi, grâce à lui, je rayonnais de bonheur, je lui faisais des sourires

un peu timides, et lui...eh bien lui il me regardait aussi, il me souriait, mais il a surtout ce charme naturel.... " oui, c’est bien possible... "et après un dernier sourire, il est parti, à pied lui aussi, avec une fille blonde qui attendait là depuis un moment(mais ne vous inquiétez pas, ça n'avait pas l’air d’être sa petite amie...)...et croyez-moi ou non, personne ne l’a suivi ! Je l’ai vu traverser la route devant le théâtre, se fondre dans la foule nombreuse du centre de Londres et disparaître au coin de la rue...sans que personne ne se retourne sur son passage ou ne le suive ! ! !A vrai dire moi je l’aurai bien suivi jusqu'à son hôtel vu qu’il me restait 4 jours sur place, mais ma mère était contre...et il avait été si gentil, il faut bien lui laisser un peu d’intimité ! ! !

Voilà, vous savez tout...bien sûr, il y a sûrement des dialogues pas très précis, ou des sentiments pas très bien décrits, mais dans l’ensemble, ma rencontre avec NDDP à Londres, c’était ça...inutile de dire que cette nuit-là, j’ai très très bien dormi et j’ai aussi fait de très très beaux rêves....

 

Gros Bisous

Bye ! !

retour