Un certain nombre de preuves sont avancées pour prouver l'alunissage d'Apollo, mais après un examen poussé, elles ne résistent pas.
1) Un premier argument est les rétro-réflecteurs qui auraient été déposés sur la lune dans trois missions (Apollo 11, Apollo 14 et Apollo 15).
Les tenants d'Apollo avancent que, lorsqu'un laser est dirigé vers l'un de ces sites d'alunissage, un signal revient, lequel permet de mesurer la distance de la lune à la terre, parce que le rayon laser se réfléchirait sur le rétro-réflecteur déposé sur le site, et que, si le rétro-réflecteur n'était pas là, le signal laser ne reviendrait pas.
Or c'est faux, il n'y a pas besoin de rétro-réflecteur pour renvoyer un signal laser depuis la lune, car le sol lunaire est très réflectif (il réfléchit bien la lumière du soleil, et la réflectivité du sol lunaire est aussi utilisée pour obtenir son relief à partir de radiotélescopes) et est capable de réfléchir le signal laser de lui-même; la preuve est que cela marchait déjà avant les missions Apollo; en effet, un article paru an 1966 dans un numéro du National Geographic Magazine rapporte que, dès 1962, des essais d'envoyer un signal laser sur la lune avaient déjà été effectués, et le signal était revenu avec succès, et avait pu être mesuré par un équipement électronique ultra sensible.
Conscients de ce fait, les tenants d'Apollo rétorquent que cela marche mieux quand le rayon laser est un envoyé en direction de l'un des sites d'alunissage sur lequel un rétro-réflecteur a été déposé; là encore, cela s'explique aisément: En effet, la qualité du signal reçu dépend de l'endroit où le signal laser arrive; le signal reçu dépend de la structure du sol lunaire qui reçoit le rayon laser d'une part, mais aussi de son orientation relativement au signal laser; lorsque la partie frappée par le signal laser est en biais relativement au signal laser, les photons reviendront depuis des distances différentes, et donc à des temps différents, et ils formeront un nuage de points sur le graphe des photons reçus; mais si la zone frappée par le rayon laser contient une partie moyennement perpendiculaire au rayon laser, il y aura plein de photons qui parcourront le même trajet, et qui donc reviendront en même temps, ou presque, et qui formeront une barre concentrée de points sur le graphe de photons reçus; les sites d'alunissage sur lesquels un rétro-réflecteur a été prétendument déposé sont en fait des zones de la lune très favorables pour la réception du signal laser, avec une partie moyennement perpendiculaire au signal laser, ce qui permet d'obtenir une reception groupée de photons, permettant une mesure plus précise de la distance de la terre à la lune, en tout cas de la terre à ce point précis de la surface lunaire.
Il faut aussi préciser que le signal laser frappe la lune sur une zone assez large (plusieurs kilomètres carrés), et que donc, même si un rétro-réflecteur se trouve dans cette zone, il ne recevra qu'une partie infime du signal laser, et il ne pourra renvoyer plus que ce qu'il a reçu; cela veut dire que les rétro-réflecteurs d'Apollo sont bien trop petits pour être réellement efficaces à une telle distance.
Quant au fait que les rétro-réflecteurs d'Apollo marcheraient mieux que les réflecteurs russes, parce qu'ils auraient été réglés par la main "experte" des astronautes, cet argument fait bien rire quand on sait comment ces rétro-réflecteurs étaient dirigés vers la terre; l'horizontalité du socle était d'abord réglée avec des niveaux à bulle peu précis, et un dialogue d'Apollo montre que les astronautes avaient du mal à l'utiliser, et ensuite le rétro-réflecteur était dirigé vers la terre en utilisant un réglage d'ombre solaire; or, contrairement à la terre, la position du soleil n'est pas fixe relativement à la lune, et varie avec le temps.
Quand on connaît tous ces faits, on commence à se rendre compte que l'argument des rétro-réflecteurs d'Apollo ne tient pas.
Vous trouverez tous les détails de ce que j'ai expliqué dans ce lien:
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/ApolloReflectors/ApolloReflectorsF.HTM
2) Un second argument est les pierres lunaires qui auraient été rapportées par les astronautes, et dont la composition spéciale ne se trouverait pas dans les roches trouvées sur terre; là encore cet argument est facile à contourner; en effet, il est prouvé que des météorites tombées dans l'antarctique ont la même composition que les pierres lunaires, et précisément Von Braun a fait une expédition en antarctique en 1957, d'où il a rapporté des caisses de météorites qu'il a envoyées à Houston.
Les tenants d'Apollo essaient de contourner cet argument en disant que, si les pierres lunaires avaient été fabriquées à partir de ces météorites, il aurait fallu enlever la croute externe qui est brûlée par le passage à travers l'atmosphère, et on ne verrait pas ces petits trous que l'on voit à la surface de ces pierres, qu'ils appellent "zap pits", et qui, d'après eux, ont été causés par les micrométéorites frappant la surface lunaire; là aussi cet argument est facile à contourner, car ces trous sont faciles à produire avec un laser de puissance, et de tels lasers existaient au temps d'Apollo; d'ailleurs la NASA a elle-même montré que c'était possible en nous montrant une roche prétendument martienne dans laquelle le laser de Curiosity aurait creusé des petits trous semblables aux "zap pits".
De plus des géologues ont récemment trouvé en Australie des minerais rares dont ils affirment qu'ils ont la même composition que les pierres lunaires, ce qui montre que les pierres lunaires existent sur la terre, et qu'il n'est point besoin d'aller les chercher sur la lune.
Vous trouverez les détails de ces explications dans ce lien:
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/MoonRocks/MoonRocksF.HTM
3) Le troisième argument est qu'un vaisseau spatial récemment lancé par la NASA, le LRO, aurait pris des photos rapprochées des sites d'alunissages sur lesquelles on verrait les restes des missions Apollo; là encore il est facile de démonter cet argument.
D'abord les restes montrés ne sont pas clairement identifiables (l'étage de descente est méconnaissable, difforme), et de plus ces photos comportent un certain nombre d'anomalies qui les discréditent; le fait qu'on pourrait voir les traces de rover et les traces de pas des astronautes sur ces photos à une telle distance ne tient pas.
J'ai cherché une preuve indiscutable que ces photos sont truquées en mesurant la distance entre l'étage de descente et l'ALSEP (centrale de mesures sur la lune) sur différentes photos du site d'alunissage d'Apollo 15, prises à différentes altitudes, en utilisant l'échelle indiquée par la NASA sur ces photos, et, au lieu de trouver la même distance, j'ai trouvé des distances très différentes; de plus j'ai aussi calculé cette distance en utilisant la table de coordonnées lunaires fournie par la NASA, et j'ai encore trouvé une distance très différente.
Si ces photos étaient crédibles, je devrais trouver la même distance, à une marge d'erreur acceptable près.
Le fait que je trouve des distances très différentes, avec des écarts bien supérieurs à la marge d'erreur acceptable, prouve que ces photos ne sont pas fiables, et ne constituent aucunement une preuve de l'alunissage (d'Apollo 15 dans ce cas).
Voila donc encore une preuve qui tombe à l'eau.
Voici les détails sur l'analyse des photos du LRO:
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/LROHoaxF.HTM
4) Autre prétendue preuve: Le module lunaire aurait été suivi près de la lune; d'abord les radio-amateurs ne pouvaient pas capter les communications VHF des astronautes près de la lune, car ces communications n'étaient pas envoyées vers la terre; ce qui était envoyé vers la terre était une communication UHF que les radio-amateurs ne recevaient pas, et de toute façon cette communication était codée, et les radio-amateurs ne pouvaient pas la décoder.
Les tenants d'Apollo disent que le module lunaire aurait pu être suivi par un radio-télescope comme celui de Jodrell Bank en Angleterre, en utilisant l'effet Doppler, et ils montrent le graphe enregistré par ce radio-télescope; mais ce graphe montre plusieurs anomalies; après qu'Eagle se soit posé sur la lune, ce graphe montre une longue ligne droite dont un commentaire dit qu'il s'agit du mouvement de la lune relativement à Jodrell Bank; or, à l'époque de cet alunissage, la lune se déplaçait relativement à Jodrell Bank à une vitesse dépassant 500 km/h, et, si on compare la pente de cette ligne avec celle de la descente du module lunaire et des maneuvres qu'aurait effectuées le module lunaire (par Armstrong, soit disant pour éviter des obstacles lunaires), on peut en déduire que, sur ce graphe, le module lunaire serait descendu beaucoup trop vite, et aurait aussi effectué ces maneuvres à des vitesses insensées, impossibles; de plus, si les dernières maneuvres peuvent encore s'expliquer, au moment de la première maneuvre le module lunaire était encore trop éloigné de la surface lunaire pour être gêné par un obstacle lunaire.
Autrement dit, ce graphe enregistré par Jodrell Bank n'est pas crédible, et ne montre certainement pas la descente d'Apollo 11 sur la lune.
Ce lien montre les détails de ce que j'ai expliqué:
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/JodrellRadar/JodrellRadarF.HTM
5) Il y a aussi le fait que les astronautes insistent avoir marché sur la lune, et, si certains ont refusé de jurer sur la bible qu'ils avaient marché sur la lune (comme Neil Armstrong), il y en a quand même deux qui ont accepté de le faire (Comme Eugene Cernan); je ne pense pas qu'ils mentent sciemment lorsqu'ils affirment avoir marché sur la lune, ils se trahiraient s'ils le faisaient, mais je suis persuadé qu'ils ont été soumis au programme de manipulation mentale MKULTRA, dont il est reconnu que la CIA s'est livré à des expérimentations dans ce programme, utilisant en particulier du LSD (sur des soldats et des prisonniers): il y a des photos suspectes dans la dernière bobine d'Apollo 17 qui pour moi confirment cette hypothèse.
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/AstronautsKilled/StonedAstronauts.GIF
Mais si les astronautes ne disent pas directement qu'ils n'ont pas marché sur la lune, ils le disent en fait d'une manière indirecte en disant des choses qui n'ont pas de sens; Buzz Aldrin et Michael Collins ont dit que, au moment où la fusée Saturn a décollé, ils ont senti la fusée faire un mouvement de balancement parce que, d'après eux, le système d'articulation des réacteurs cherchait le centre de masse de la fusée, alors que ce système est préréglé pour que la poussée soit dirigée vers le centre de masse au décollage (sinon la fusée se casserait la gueule), et que la fusée décolle bien droite, ne se balance pas du tout, ce que l'on peut d'ailleurs constater sur la vidéo du décollage.
Amrstrong a aussi décrit le pilotage du module lunaire au dessus de la lune comme celui d'un hélicoptère, et Buzz Aldrin comme celui d'un avion, alors que cela n'a rien à voir, il se pilote complètement différemment, et ils ne pouvaient l'ignorer si vraiment ils ont piloté le module lunaire au dessus de la lune.
Mais, si tout ceci ne prouve pas qu'Apollo s'est posé sur la lune, cela ne prouve pas non plus d'une manière absolue qu'il ne s'est pas posé.
Alors il faut chercher d'autres preuves qu'il n'a pas pu se poser sur la lune, et ces preuves existent.
IL y a d'abord toutes les anomalies et contradictions qui existent dans les les photos et vidéos faites sur la lune ou près d'elle, et ces anomalies existent bien quoique les tenants d'Apollo essaient de nous faire croire.
Les vidéos dans l'espace en particulier ne sont absolument pas crédibles, dessus les vaisseaux spatiaux volent de manière complètement anormale.
On voit un vol irrégulier de ces vaisseaux, une vitesse orbitale qui varie de manière anormale, On voit le module lunaire qui fait des brusques rotations dans la descente motorisée et la remontée motorisée, lesquelles sont physiquement impossibles, car la rotation, aussi bien dans la descente motorisée que la remontée motorisée, doit être lente et régulière.
On voit aussi le module lunaire revenir de manière incorrecte au module de commande, de manière pratiquement verticale.
Mais c'est quand on se plonge dans la technologie du module lunaire qu'on se rend compte qu'il n'y avait aucune chance qu'il se pose sur la lune et qu'il en retourne.
D'abord la manière dont le module de remontée était conçu était une totale aberration; alors que le module de descente avait une paire de réservoirs de carburant et une paire de réservoirs d'oxydant disposés symétriquement, le module de remontée avait un seul réservoir d'oxydant et un seul réservoir de carburant, et le réservoir de carburant était excentré relativement au réservoir d'oxydant pour une raison de différence de densité; la conséquence est que, au fur et à mesure que les réservoirs se vidaient, le centre de masse du module se décalait vers le réservoir excentré; si le moteur avait été articulé, comme l'était le moteur de descente, il aurait pu être pivoté pour refaire l'alignement de la poussée avec le centre de masse, mais, il ne l'était pas, et le résultat est qu'il n'était pas possible d'éviter un couple de désalignement croissant qui faisait tourner le module dans le sens des aiguilles d'une montre; la seule manière de compenser ce couple de désalignement était d'utiliser les réacteurs latéraux pour appliquer un contre-couple s'opposant au couple de désalignement; cependant la poussée de ces réacteurs latéraux n'étaient pas ajustable, ils fonctionnaient en tout ou rien, ce qui veut dire qu'ils ne pouvaient fournir un contre-couple exactement équivalent au couple de désalignement, et la conséquence est qu'ils ne pouvaient être mis à feu que de manière intermittente, avec la conséquence qu'on ne pouvait éviter un mouvement de balancement du module de remontée d'amplitude croissante (qu'on voit d'ailleurs dans la vidéo de la remontée d'Apollo 17).
Mais là où cela devient carrément comique est que, lorsqu'on regarde l'interface de commande des réacteurs latéraux, on se rend compte que chaque commande de roulis et tangage activait deux réacteurs latéraux directement opposés l'un à l'autre sur la même grappe, oui sur la même grappe! Ce qui veut dire que ces réacteurs annulaient leurs effets respectifs en s'opposant l'un à l'autre.
Les réacteurs latéraux ne pouvaient donc jouer leur rôle, ce qui d'ailleurs condamnait non seulement la remontée motorisée, mais également la descente motorisée, car ces réacteurs latéraux sont aussi utilisés dans la descente motorisée pour contrôler l'attitude du LEM.
Rien que cela est suffisant pour montrer que la descente d'Apollo sur la lune n'a pas pu avoir lieu.
Voici un lien montrant les détails:
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/ApolloPropulsion/ApolloPropulsionF.HTM
Et c'est loin d'être le seul problème.
Quand j'ai regardé comment la mémoire de l'ordinateur du module lunaire (et du module de commande) était montée, j'ai été très surpris.
D'un bout à l'autre c'est une suite d'aberrations; les mémoires à cores de tores (core rope memory, ces mémoires qui contenaient un programme qui ne pouvait qu'être lu) existaient bien au temps d'Apollo, mais celles qui existaient étaient correctement montées, et ce n'est pas le cas de celle de l'ordinateur d'Apollo.
D'abord ils montrent une méthode de génération du pulse induit qui pose problème, car, dans un exemple, il y a deux courants d'inhibition qui sont envoyés dans un tore au lieu d'un seul, ce qui est complètement anormal.
Ensuite, alors qu'il ne devrait y avoir qu'un seul fil de détection activé à la fois (les autres étant mis à la masse), comme c'était le cas dans toutes les mémoires de ce type existantes, il y en avait plein à la fois qui l'étaient dans la mémoire de l'ordinateur d'Apollo, ce qui diminue d'autant le courant qui passe dans chacun des fils de détections activés, et de plus le circuit de sélection affaiblissait encore ce courant, au point qu'il devenait indétectable.
Ensuite l'impulsion détectée devait passer à travers un transformateur pour être transmise à l'amplificateur de bit; c'était une technique classique, mais, sur le secondaire de ce transformateur il y avait, dans toutes les mémoires normales, un circuit RC (avec un condensateur et une résistance) qui permettait de transformer l'impulsion arrivant sur le primaire en un courant temporairement continu sur le secondaire, ce qui était nécessaire pour pouvoir la lire, car cette impulsion était de très courte durée; dans le schéma montré dans la documentation technique d'Apollo, ce circuit est absent, ce qui veut dire que le transformateur transmettait simplement l'impulsion à l'amplificateur de bit sans la mémoriser, ce qui la rendait inexploitable.
Enfin, pour terminer, dans l'amplificateur, il manque une connexion entre un collecteur d'un transistor et la base du suivant qui fait que l'une des deux alternances de l'impulsion n'était pas amplifiée, ce qui avait le même effet que si la durée de l'impulsion était réduite de moitié, et, pour couronner le tout, le transistor de sortie de l'amplificateur était mal monté, à l'envers en quelque sorte, ce qui fait que, même si l'impulsion était parvenue à la sortie de l'amplificateur, ce qui n'était même pas le cas, elle n'aurait de toute façon pas pu sortir de l'amplificateur de bit.
Autrement dit, ils nous montrent une core rope memory qui, telle qu'assemblée, n'avait aucune chance de marcher.
Et, en ce qui concerne la mémoire dynamique (celle qui pouvait à la fois être écrite et lue), elle ne valait pas mieux, car, alors que les circuits d'écriture et de lecture ne doivent pas se toucher, car l'un agit sur l'autre par induction, ils partageaient une partie commune dans le schéma qu'ils montrent, et de plus l'amplificateur de bit qu'ils montrent n'avait pas non plus de chance de marcher, car ils montrent un transistor qui est monté de telle sorte que, lorsqu'il est activé, son collecteur et émetteur sont reliés directement à des tensions très différentes, ce qui fait qu'il va inévitablement brûler.
Autrement dit, l'ordinateur d'Apollo n'avait pas de mémoire qui fonctionnait, ni de mémoire morte (ROM) ni de mémoire vive (RAM).
Ce lien explique en détail ce que j'ai sommairement expliqué:
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/AGC/AGCMemoire.HTM
Il n'y avait d'ailleurs rien de logique dans cet ordinateur, car la notation de complément à 1 avait été choisi pour cet ordinateur, alors qu'au moment où sa conception définitive a été décidée, la notation de complément à 2 avait déjà détrôné celle de complément à 1, et était d'ailleurs utilisée par l'ordinateur IBM de la fusée Saturn.
Tous les interfaces électroniques que j'ai vus dans la documentation technique du module lunaire contiennent des anomalies évidentes, et manifestement intentionnelles, destinées comme des signaux d'alerte de l'arnaque d'Apollo.
Même les rapports de mission sont des mines d'information pour révéler l'arnaque, et en particulier toutes les anomalies décrites dans ces rapports de mission sont des gags (que j'ai expliqués).
L'un de ces gags est la fameuse alarme 1202 qui est arrivée dans la descente d'Apollo 11; des parasites arrivant sur l'entrée radar auraient perturbé l'ordinateur qui aurait saturé et aurait du redémarrer; or ce qu'explique le rapport de mission est que ce n'étaient pas des parasites, mais des signaux rapides générés par une interaction entre deux signaux déphasés qui étaient mélangés lorsque le commutateur radar était sur une certaine position; donc des signaux rapides arrivant sur l'entrée radar n'étaient absolument pas accidentels, et ne pouvaient pas être ignorés par les ingénieurs, surtout qu'ils pouvaient les décrire alors qu'ils n'avaient même pas le module lunaire sous la main pour analyser le problème puisqu'il était resté sur la lune; ces signaux rapides étaient donc générés intentionnellement! De plus, ces signaux rapides n'auraient pas du provoquer une saturation de l'ordinateur s'ils avaient été comptés normalement, c'est à dire par des circuits externes (compteurs électroniques) comme cela se fait dans tous les systèmes normaux (y compris l'ordinateur de la fusée Saturn), alors que le rapport de mission les décrit comme étant comptés directement par le processeur lui-même (à l'aide d'instruction dites cachées qui s'exécutaient à chaque pulse radar); autrement dit le problème de l'alarme 1202 n'était nullement accidentel mais bel et bien prémédité, en fait un nouveau signal d'alerte que la mission était fausse, et que Apollo 11 n'est jamais descendu sur la lune.
Détails dans ce lien:
https://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/Apollo11Descent/Apollo11DescentF.HTM
Absolument rien n'est logique dans Apollo: Lorsque le module de remontée d'Apollo 12 a été largué après être revenu au module de commande, le rapport de mission spécifie qu'il a frappé le sol lunaire presque horizontalement (avec un angle de seulement 3,7° relativement au sol lunaire moyen), et pourtant le graphe des vibrations du choc enregistré par un ALSEP voisin montre une vibration verticale nettement plus forte que les vibrations horizontales.
Lorsque le S-IVB d'une mission Apollo a percuté le sol lunaire, il est arrivé perpendiculairement relativement à la surface lunaire, et pourtant il a une vibration horizontale qui est quasiment la réplique de la vibration verticale.
Toutes ces contradictions sont autant d'indices donnés de l'arnaque Apollo.
J'ai vu tant d'anomalies dans le projet Apollo qu'il m'est impossible d'y croire, non par refus aveugle et "conspirationniste" d'un formidable exploit, mais simplement par logique scientifique.