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ATTENTION!

LE PROJET D'ELABORATION DE CE SITE A COMMENCE DEPUIS JUIN 2003. LA DETERIORATION INTENSIVE DONT HAITI FAIT L’OBJET EST LE MOBILE QUI M’INCITE A ECRIRE CE SITE. EN EFFET JE RESSENS LA DOULEUR MALTRAITRANT LA NATION HAITIENNE CAR LE CARACTERE HUMAIN ET PATRIOTIQUE REMPLIT MA PERSONNE. EN ECRIVANT AINSI, J’ESSAIE D’ALLEGER LA DOULEUR QUE JE RESSENS CAR JE SUIS INCAPABLE D’EN GUERIR DEFINITIVEMENT. MES CHERS AMIS, JE VOUS PRIE DE NE PAS VOUS EMPRESSER A CROIRE TOUT CE QUE VOUS ALLEZ LIRE DANS CE SITE A MOINS QUE VOUS VOYIEZ QUELQUE CHOSE QUI EST CONSISTANTE A CE QUE VOUS AVEZ DEJA CONNU. DANS LE CAS CONTRAIRE, JE VOUS CONSEILLERAIS D’ALLER FAIRE VOS PROPRES RECHERCHES APRES AVOIR LU QUELQUE CHOSE.

D’abord je veux remercier Dieu tout-puissant pour m’avoir donné l’habilité intellectuelle me permettant de traduire mes pensées aux écrits. Je lui demande de me combler de ses bénédictions tout en rendant à ma famille et moi toute la protection physique et spirituelle indispensable au maintien d’une vie agréable. Je lui demande également de bénir mes lecteurs. Que ceux-ci soient touchés d’une manière ou d’une autre par sa main puissante et invisible ! Avant de laisser ce paragraphe mes chers amis, je voudrais que vous lisiez avec moi le psaume suivant:

PSAUME 121:

Je lève mes yeux vers les montagnes…
D’où me viendra le secours?
Le secours me vient de l’Éternel,
Qui a fait les cieux et la terre.
Il ne permettra point que ton pied chancelle;
Celui qui te garde ne sommeillera point.
Voici, il ne sommeille ni ne dort,
Celui qui garde Israël.
L’éternel est celui qui te garde.
L’éternel est ton ombre a ta main droite.
Pendant le jour le soleil ne te frappera point,
Ni la lune pendant la nuit.
L’éternel te gardera de tout mal,
Il gardera ton ame;
L’éternel gardera ton départ et ton arrivée,
Des maintenant et a jamais. Amen!

Ensuite mes chers amis, je veux vous faire part de ma gratitude pour avoir accepté le privilège que je vous offre pour visiter mon site. En effet, vous y puiserez des choses enrichissantes tout au long de votre lecture. Je voudrais vous rappeler que le site est et restera ma tribune personnelle ou j’écris tout ce qui m’intéresse tout en respectant les règles de la bienséance, du bon sens et particulièrement toutes les lois relatives à cet effet. Je vais parler des sujets variés a travers mes textes. J’espère que vous les trouverez intéressants et amusants. Sans doute, a cette tribune, vous trouverez des loisirs auxquels un être humain ne devrait jamais être autorisé à avoir accès, mais que l’on veuille ou non, vous y aurez accès grâce à moi. Alors mes chers amis, une fois de plus, je vous souhaite la bienvenue.

Certains de vous auront sans doute la curiosité de savoir un peu de l’auteur de ce site. Alors je veux certainement vous parler brièvement de moi. Je suis américain d’origine haïtienne. Mes études primaires et secondaires ont été achevées en Haïti. Aussi j’ai été membre de l’armée américaine pendant six ans. A présent je suis marié et père de famille.

LES CRISES HAITIENNES NE SONT PAS INSOLVABLES EN REALITE, CE SONT PLUTOT LES PENSEES DE NOS DIRIGEANTS POLITIQUES QUI SONT TROP BORNEES!

Haïti appartient à tous les Haïtiens sans distinction. Dieu a donné à chacun de nous un cerveau pour penser, deux yeux pour voir et une langue pour parler. Mais je m’étonne complètement en remarquant que la plupart des politiciens haïtiens sont si egoistes qu’ils prendraient, s’ils le pouvaient, le cerveau, les yeux et la langue de chacun de nous pour ajouter aux leurs afin de nous neutraliser. Mes chers amis, on dit toujours que lorsqu’on n’est pas sur le terrain de football, on imagine toujours la meilleure façon dont la balle devrait être roulée. Mais, il est évident que le temps arrive pour qu’une prise de conscience soit prise par nos politiciens et nos hommes de loi afin de garantir la stabilisation générale du pays. Le problème du pays pourrait être résolu facilement mais on en cherche des solutions la ou elles n’existent pas. La plupart de nos gouvernements refusent catégoriquement de respecter les lois régissant leur poste. Ils refusent catégoriquement d’appliquer les principes du jeu, et ils ont même assez d’audace pour les changer au moment opportun pour arriver à leurs fins. Mes chers amis, s’ils nous ont bafoué une fois alors ils auraient du en avoir honte mais s’ils nous bafouent une seconde fois ce sera à nous d’en avoir honte. Je ne crois pas qu’une grande majorité des politiciens haïtiens pratiquent les théories qu’ils ont reçues au cours de leurs études. Je ne crois non plus qu’il existe un système éducatif ou l’on enseignerait le mensonge, la démagogie, la violence, la fraude et le zenglendo. Messieurs, ou est-ce que vous avez puisé ces outils destructifs que vous avez à vos services? Pourquoi preferez-vous divorcer avec les vrais principes que vous avez reçus à l’école pour adopter des principes défectueux qui peuvent vous détruire la chair, l’âme et en particulier le pays? La plupart de vous semblent être des docteurs licenciés en démagogie, pourquoi messieurs? Vous haïssez le pays, vous haïssez vous-memes et vos familles car celles-ci seront tourmentées a cause de vous.

Mes chers amis pour illustrer un peu ce que je veux dire, j'ai l'honneur de vous laisser lire vous-meme ce qu'un chez de la police nationale a déclaré dans sa lettre de démission adressée au président de la république. Ce nouveau chef de la police nationale haïtienne nommé le 6 juin dernier 2003, etait contraint de remettre sa démission et a exprime les tourments et les menaces dont il était l'objet pendant ses quinze jours à la tête de la police nationale. Directeur Général d'une institution policière, réduit à une autorité moins qu'un agent un, M. Jean Robert Faveur a adresse sa lettre de démission au Président Aristide. En voici le texte dans son intégralité :|||

"Port-au-prince le 21 juin 2003

S.E.M Jean Bertrand Aristide
Président de la République d'Haïti en ses bureaux

Excellence,

Pour des raisons dont des convenances seront libellées ci-dessous, je vous présente aujourd'hui ma démission en tant que Directeur Général a,i de la police nationale (PNH).

Monsieur le Président, le vendredi 06 juin 2003, en compagnie du secrétaire d'Etat à la sécurité publique S.E.M Jean Gérard Dubreuil, de l'ex Directeur Général M. Jean Claude Jean Baptiste, vous m'avez rencontré dans votre bureau au palais national pour me donner des directives concernant ma nouvelle fonction de Directeur Général a,i au sein de la PNH.

J'ai été pris au dépourvu quand vous m'aviez commencé à parler de votre autorité sur la gestion de la police nationale. Vous aviez commencé par dire que tout ce que je dois faire, c'est en consultation avec Jean Gérard Dubreuil et Jean Claude Jean Baptiste si je ne veux pas finir comme Nesly Lucien. La nomination et le transfert des directeurs départementaux dépendent de vous et de vous seulement. Les affections de la zone métropolitaine dépendaient de vous aussi. Je devais me souvenir de ce qui était arrivé à l'ex Directeur central de la police judiciaire(DCPJ) Jeannot François quand un grade lui avait été attribué sans votre consentement. Il avait été tout simplement dégradé.

Dès lors, j'ai su que j'étais en de très mauvaises postures. Je ne m'illusionnais pas sur mon sort en cette conjoncture mais je ne pensais pas que les pressions allaient commencer avant même mon installation. Et, après, ce fut l'installation dans une pièce trop petite de la direction générale sur ordre du secrétaire d'Etat à la sécurité publique (SEJ). Avant cette période, le jour même, (vendredi 6 juin 2003), Monsieur Jean Baptiste s'afférait à signer des tas de lettres de promotion et de transferts. Et, ce n'est qu'après son départ que Mario Siclair est venu me montrer des correspondances à « corriger » car il y a eu erreur. Je devais les faire sortir à nouveau avec mon nom pour signature après correction.

Grande, a été ma satisfaction, quand j'ai pu constater que M. Jean Baptiste a nommé un agent II (Germain St Fleur d'identité policière # 95-06-04-02437) commissaire divisionnaire pour qu'il soit affecté à la Croix des Bouquets en tant que responsable. Bien entendu, le Directeur du personnel n'a pas osé citer l'article 60 de la loi dans l'exécution de cet ordre illégal. En effet, que dit cet article tant cité et violé par les deux directeurs généraux qui m'ont précédé : « La carrière des différents fonctionnaires de la police Nationale comprend des grades hiérarchisés de façon ascendante sans discontinuité à l'intérieur de trois niveaux. A l'intérieur de chaque niveau supérieur de la police devra subir des concours internes dont les épreuves et les conditions d'accès sont déterminées par les règlements internes. Ces grades sont présentés& » (Loi du 28 décembre 1994 portant création de la PNH paru dans le Moniteur # 103 de cette même année)

J'ai été au bureau du S.E.J. pour lui dire que je ne peux signer cela si ce monsieur a subi un concours avant mon arrivée pour commissaire de police, il devrait être promu commissaire de police et non commissaire divisionnaire. Il a répliqué « c'est l'ordre du Président, on peut changer la forme mais la fin doit être atteinte ». Cependant, pour certains autres dossiers, c'est la date qui devait être modifiée car on les a fait sortir avec la date de mon installation.

Le lundi 9 juin, j'ai été vraiment choqué et émotionné quand le Directeur central de l'administration et des services généraux actuel m'a envoyé une lettre signée par le S.E.J dans laquelle il manquait ma signature. Cette lettre spécifiait que la Direction Générale transmet les spécimens de signature des personnes autorisées à signer sur les comptes de la PNH. Il s'agit de :
- Jean Robert Esther : Directeur Central de l'administration et des services Généraux.
- Patrick Valcin : Directeur Central de l'administration et des services Généraux et Directeur de la logistique.

Le directeur général a,i est mis automatiquement en dehors de l'administration. Il n'a plus le droit de contrôler les comptes de la PNH. Et, le comble, c'est lui qui doit autoriser cela. Encore une fois, ce fait a été contesté auprès du S.E.J qui réplique que je n'ai pas le choix car le Président l'a ainsi décidé. C'est la même phrase que l'ex Directeur général de la police nationale M. Jean Baptiste m'avait dit sans citer le nom du président quand il m'annonçait le mercredi 4 juin 2003 qu'il avait choix de moi pour devenir son chef de Cabinet.

En face du S.E.J, sidéré, j'avais en main l'alinéa 7 de l'article 23 portant création de la PNH qui stipule : « le Directeur général exerce les attributions suivantes :

Article 7- superviser et contrôler le fonctionnement de toutes les dépenses ou sorties de fonds à préparer, de concert avec la direction administrative, l'avant-projet du budget annuel ».

Fort de cet article, je lui ai dit que je ne pourrai pas apposer ma signature à côté de la sienne car c'est illégal. Il m'a répondu qu'il comprend ma situation mais je dois mettre de côté cette loi. Je lui ai demandé que vais-je dire au parlement ou à la Cour des Comptes s'ils me convoquent sur un décaissement de fonds irrégulièrement utilisé ? Il m'a répondu que je ne serai pas responsable puisque je n'aurai rien signé en matière de chèques à émettre ou de décaissement de fonds. Je lui ai dit que dans ce cas, ma signature ne serait pas non plus nécessaire sur la lettre qu'il a déjà signée. S.E.J a répondu que je dois le faire, d'ailleurs l'administration est bloquée.

Il a continué pour dire que le Président a dit que je m'occuperai de la « professionnalisation de la PNH », tandis que lui et les deux personnes autorisées à signer les chèques s'occuperont de l'administration. Avant de partir, je lui ai dit qu'il faudrait me définir le terme « professionnalisation de la PNH »

Abasourdi, malade, j'ai pris quelques heures de répit en dehors du bureau et certaines personnes m'ont conseillé de faire passer le temps car ma vie et celle de mes proches étaient en danger. Dans l'après-midi, j'ai signé ce non droit ainsi que plusieurs listes de transferts et de nomination que l'exécutif m'a imposé tandis que je faisais passer le temps pour m'en sortir de cette position de pantin dans laquelle je suis. Je n'avais pas plus d'autorité qu'un agent I affecté au Palais national quand vous m'aviez imposé votre cabinet, imposé des hommes sortis tout droit du Palais pour être nommés Directeurs départementaux au sein de la PNH. Or l'article 45 de la loi portant création de la police nationale stipule : « La direction départementale est dirigée par un commissaire divisionnaire. Il est Directeur départemental de la police nationale. Il est nommé par le Directeur Général après consultation avec le CSPN » (Conseil Supérieur de la Police Nationale). Ainsi, vous m'avez enlevé le contrôle opérationnel et financier de la PNH.

Cela fait deux semaines de souffrances morales, physiques, et deux semaines de résistance que j'ai passé à la tête de la PNH. Je ne voudrais pas en passer un jour de plus. J'ai écouté, réfuté et envoyé en douceur auprès du SEJ un ex sénateur du centre, membre de votre cabinet particulier et le Député Lévy Joseph qui sont venus me soumettre une liste avec grade de gens armés qui « pacifient le Plateau central ». Les noms de ces personnes ont été soumis pour être nommés dans la PNH. Cette démarche viserait à légitimer les actes de ces hommes.

Monsieur le président, si vous aviez bien suivi mon discours, vous auriez remarqué que cela fait longtemps depuis que je fais des sacrifices en vue de sauvegarder les valeurs qui font défaut aujourd'hui dans le pays : l'honneur, la dignité, l'intégrité, le caractère d'homme.

Aujourd'hui, j'ai choisi le chemin de l'exil au lieu de me laisser corrompre et de m'asservir. Monsieur le Président, la situation n'est pas bonne au sein de la PNH et la misère fait rage dans le pays. Je pensais qu'avec moi, vous voyez un début de solution au problème de la crise. Mais non, vous n'en tenez pas compte. Beaucoup de gens qui s'enrichissent autour de vous ont peur de vous dire que ça va mal dehors. Je suis fier de n'avoir pas trahi la confiance que le peuple, les policiers (la grande majorité), la communauté internationale et certains de vos proches ont placé en moi.

J'en profite pour dire au Premier ministre, au ministre de la justice, au ministre des finances, au secrétaire d'Etat à la sécurité publique, au Parlement, à la communauté internationale, aux policiers nationaux, au peuple Haïtien, que les pièces annexées à la présente prouvent la mauvaise foi de nos dirigeants et le danger permanent qui pesait sur ma tête et sur celle de mes proches. Tout ceci expliquerait mon silence.

Je m'en vais aujourd'hui mais je suis toujours disposé à servir mon pays honnêtement sans avoir de dangers internes qui pèsent sur ma tête à cause de mes proches. J'ai sauvegardé mon âme, ma conscience et ma dignité".|||

Nous avons besoin d’un citoyen authentique qui veut respecter la constitution tout en défendant l’intérêt national. Avant de siéger dans le palais du peuple un président élu devrait subir une révision générale de la constitution contrôlée par des hommes de loi. Et a la fin de cette révision, ce président devrait prendre par écrit son engagement de respecter sans condition les lois de la charte fondamentale du pays. Il devrait également y avoir des lois pouvant sanctionner ce président au cas ou son implication directe dans des cas de violations constitutionnelles serait constatée et affirmée. La plupart des controverses politiques qui ravagent le pays résultent certainement de la violation des lois établies. Cependant la démocratie que nous voulons établir ne prendra sa forme réelle que lorsque les lois auront été respectées sur tout le territoire national. Au cours des années de dictature menées par les duvalieristes et les militaires, nous avons assisté aux moyens stricts qu’ils ont utilisés pour maintenir le totalitarisme de leur régime. En effet un gouvernement démocratique doit aussi imposer des moyens stricts pour maintenir la démocratie qu’il veut établir. Si nous voulons réellement implanter un système démocratique en Haïti, il faut que le système judiciaire soit renforcé. Il faut que la police nationale soit sous le contrôle générale du ministère de la justice. Les autres entités de la police dont l’intervention musclée est indispensable au maintien d’ordre dans les cas surchauffés peuvent etre sous le contrôle de l’exécutif. Le ministre de la justice et ses représentants doivent travailler de concert avec ses policiers responsables pour faire respecter la loi. Les ministres du gouvernement doivent pouvoir s’acquitter à leurs taches sans la dépendance totale des hauts commandements. Si le président veut s’occuper de tout personnellement, alors il n’y aurait pas lieu de nommer des ministres a moins que ceux-ci soient des zombis et pourtant le peuple ne veut pas être représenté par ces derniers. La volonté de la police de protéger et servir les citoyens doit être clairement constatée par tous pour qu’un climat de paix et de confiance règne en Haïti. L’application intégrale des lois protégeant la vie et les biens attire les investisseurs. Le gouvernement doit travailler de façon à attirer ces derniers a participer dans le processus démocratique. Le peuple doit savoir apprécier les investisseurs ; ils sont le moteur de la machine économique d’une nation. L’analphabetisation n’est pas la cause du blocage du pays, mais la mauvaise foi des dirigeants politiques en est. Les gens non alphabétisés ne prennent pas les décisions politiques, mais celles-ci leur sont imposées par les dirigeants politiques alphabétisés. L’alphabétisation n’est pas le besoin le plus urgent du peuple haïtien. Les besoins urgents pour mettre le pays sur la voie démocratique, la voie de développement politique, social et économique sont suggérés de la façon suivante :
_Établissement d’un climat de sécurité stable.
_La disponibilité des services téléphoniques a tous les citoyens.
_La disponibilité de l’électricité a tous les citoyens.
_La disponibilité des eaux potables a tous les citoyens.
_Le perfectionnement routier pour faciliter le transport.
_La constitution haïtienne doit limiter le pouvoir de l’executif.
_Mariage de la police avec le système judiciaire.
_Protection et service par les policiers a tous les citoyens vivant selon la loi.
_Liaison amicale des policiers avec leur communauté.
_Les policiers doivent être toujours au surveillance des cas de violations de loi et traîner en justice les auteurs sans tenir compte du rang social, politique et économique.
_Le pouvoir législatif doit aussi pouvoir placer sous investigations et envoyer par-devant la justice les cas jugés épineux pour les suites nécessaires.
_Les manifestations violentes doivent être illégales dans le pays. C’est pourquoi les autorités élus doivent être toujours directement ou indirectement disponibles a recevoir les revendications des zones qu’ils représentent pour les suites nécessaires.
_Il doit être illégal de faire des offres aux policiers ou a n’importe quelle autorité afin de n’être pas sujet a la loi et il doit aussi être illégal aux policiers ou a n’importe quelle autorité de recevoir ces offres.

Le compromis signifie la lâcheté pour les Haïtiens. Leurs problèmes internes ne peuvent être résolus que par la force ou le dialogue. LA OU LE DIALOGUE ECHOUE AU DETRIMENT DE L’INTERET NATIONAL, LA FORCE DOIT IMMEDIATEMENT GAGNER A SON BENEFICE. Vu la mentalité haïtienne d’aujourd’hui, d’après vous quel forme de gouvernement qui serait mieux pour Haïti ? ___Dictatorial ? Démocratique ? Autoritaire et démocratique ? Progressiste et autoritaire ? D’après moi, que l’on veuille ou non les gouvernements haïtiens doivent être autoritaires et démocratiques. Mais le caractère autoritaire ne doit être utilisé que pour renforcer l’application des lois. Les jeunes haïtiens progressistes doivent marquer leur génération avec une nouvelle stratégie politique de peur qu’un jour leur pays ne soit pas gouverné par des robots humains venant de l’étranger. Ils doivent eux-memes faire leur apparition sur la scène politique pour penser aux différentes crises que traverse leur pays et en proposer des solutions credibles.

J’ai trouvé ce texte quelque part et l’ai lu attentivement. La version anglaise est originale et je l’ai traduit en francais pour mes amis qui ne parlent pas l’anglais.

The political turmoil in Haiti today is causing an explosive situation. Many world dignitaries who were planning to attend the festivities celebrating two hundred years of Haitian independence have already cancelled their plans on account of potential civil war in Haiti.

First of all, let’s not decide Haiti ’s future in a state of anxious emotion just because there are a few sectors in the country which have always been manipulating the negative stigma against President Aristide. Since Day One when Aristide became president of the country in 1991, there is a sector that has been working against him. Most of this sector is from the mulatto families, a few hands from the middle- class dark-skinned Haitians, and others of Middle-eastern descent, who have been held hostage the financial sectors of Haiti; who never supported the coming to power of a president with the ideology of the working class movement. In addition, the United States has never liked President Aristide’s philosophy, even though they aided his return to power on October 15th, 1994 . President Aristide has never been the favorite of those small sectors that have been behind so many lies and the destabilizing of his government. However, in spite of all the social, political or psychological manipulation on the part of the so-called opposition sectors in the country, I have to admit that President Aristide has made pretty serious mistakes during his first presidency in 1990 and until today’s events. One of the first serious mistakes that he made was allowing the United States to engineer his return to power. Since then many people, including myself, have turned their backs against Aristide because we come to the conclusion that he was never a serious mass leader but instead someone motivated by deep political ambition. Instead of serving the working class movement, the President has derailed it.

Next, the question that I really want to pose today to all Haitians out there: in the face of all this confusion over the destiny of the Aristide government, do we have an alternative for Haiti if Aristide were to leave power before the end of his term? Do we have a solid diagram for Haiti , to accompany the campaign of hatred and propaganda against the Aristide government? This is the question that I really want someone out there to answer today. I have never heard anyone talk about their plan; instead everyone is jumping on the bandwagon demanding the removal of Aristide.

I detest all the political abuses that have been taking place in the country under the Aristide government. Also I hate all the crime that has occurred under past governments. I am disgusted by the beating of students on their campus by the Government police for protesting against the government. I have extreme dislike for manipulation from Haitian police, orchestrated by this government. I abhor injustice, period. However, is it really necessary and important to oust this government? If Aristide leaves power today, what makes you think Aristide loyalists or supporters in the country would not carry out their opposition to whoever become the head of the country? We would be caught in the same political cycle of instability. Do we have to get rid of everything that we don’t like, or everything that we don’t understand? This is the query of the day that every Haitian needs to answer.

Since the day of our existence, since the day we became a nation, we have been practicing the same political crab-like mentality. If some one is in power and we don’t like it, automatically he or she must go. For a perfect example, ladies and gentlemen, look at President George W. Bush—he was an accidental president. He became to power through vote fraud in the state of Florida ; the whole country still dislikes the way he came to power. However, at the same time, the American people would not let that mistake destabilize the process, the dignity of their Democracy.

Changing President Aristide today and replacing him with someone else tomorrow will not stop the bleeding of this country. Changing Aristide is not the precise elucidation of the process for democracy. Replacing the prime minister with someone else is not the resolution of the future of this country. On the contrary, in order for Haiti to really move away from its long-time political foes, we need to examine our own behavior vis-à-vis our loyalty to this country. What Haiti requires today is not a change of government but a revolution in our mentality. This change in the mentality is the most important point that we need to address today. If we transform the neo-colonialist mentality that has been incarnate in our cognitive process for thousands of years and alter it to a new and healthier mentality that looks forward to the amelioration of the entire nation, we will no longer face the dilemma that we have today.

If we amend our mentality of selfishness, greed, hypocrisy, hate and lies, and turn it around to a positive story, we will never again have to demand a president leave power without reaching the end of his term. Remember, the process of democracy does not arise from intolerance. If we are sincerely looking forward to moving this country to a recovered future, we have to be patient with one another. Instead of crying out loud to shifting our president prematurely every hour, we need to first spend energy to face up to our neo-colonialist cognitive process. On this note, I would like to shout out a happy Two hundred years of Independence on January 1st 2004 to all Haitian. Stop the violence and peace to all of you!

L'agitation politique en Haïti cause aujourd'hui une situation explosive. Beaucoup de dignitaires du monde qui avaient l'intention d'assister aux festivités célébrant les deux cent années d'indépendance haïtienne ont annulé déjà leurs projets à cause d’une eventuelle guerre civile Haïti.

Tout d'abord, ne nous décidons pas l’avenir d’Haïti dans un état d'émotion parce qu'il y a quelques secteurs dans le pays qui ont toujours manipulé le stigmate négatif contre le Président Aristide. Des le début quand Aristide est devenu le président du pays en 1991, il y a un secteur qui a travaillé contre lui. La plupart de ce secteur est des familles des mulâtres, quelques-uns de la classe moyenne haïtienne à peau noire, et les autres de descendance du moyen orient, qui ont pris en otage les secteurs financiers d'Haïti; qui n'ont jamais soutenu la venue d'un président avec l'idéologie d’une classe en mouvement. En plus, les Etats-Unis n'ont jamais aimé la philosophie du Président Aristide bien qu'ils ont aidé son retour le 15 octobre 1994.

Le président Aristide n'a jamais été le préféré de ces petits secteurs qui a été derrière tant de mensonges et la déstabilisation de son gouvernement. Cependant, en dépit de toute la manipulation sociale, politique ou psychologique de la part des soi-disant secteurs d'opposition dans le pays, je dois reconnaître que le Président Aristide a fait des erreurs sérieuses pendant sa première présidence en 1990 et jusqu’aujourd’hui il continue a les causer. Une des premières erreurs sérieuses qu'il a faites est qu’il a permis aux Etats-Unis de programmer son retour. Depuis lors beaucoup de gens, moi y compris, ont tourné leurs dos contre Aristide parce que nous concluons qu'il n'était jamais un dirigeant sérieux pour la masse populaire, mais plutôt quelqu'un qui est motivé par des grandes ambitions politiques. Au lieu de servir la classe populaire, le Président l'a déraillé.

Ensuite, la question que je veux vraiment poser aujourd'hui à tous les Haïtiens : devant toute cette confusion par-dessus la destinée du gouvernement d’Aristide, avons-nous une alternative pour Haïti si Aristide était de quitter le pouvoir avant la fin de son terme? Avons-nous un diagramme solide pour Haïti, pour accompagner la campagne de haine et la propagande contre le gouvernement de Aristide? Ceci est la question que je veux vraiment poser aux opposants aujourd'hui. Je n'ai jamais entendu personne parle de leur projet; plutôt tout le monde saute sur l’idée d'enlèvement d’Aristide.

Je déteste tous les abus politiques qui ont eu lieu dans le pays sous le gouvernement d’Aristide. Aussi je déteste tous les crimes qui étaient engendres sous les gouvernements passés. Je déteste le battement d'étudiants qui protestent sur leur campus par les policiers du Gouvernement. Je déteste la manipulation de la police haïtienne, contrôlée par ce gouvernement. J'abhorre l'injustice, la période. Cependant, est-il vraiment nécessaire et important de renverser ce gouvernement? Si Aristide quitte, qu’est ce qui vous fait penser que ses supporteurs dans le pays ne formeront pas leur opposition à quiconque est devenu à la tête du pays? Nous serions attrapés dans un cycle politique pareil d'instabilité. Devons-nous nous débarrasser de tout ce que nous n’aimons pas, de tout ce que nous ne comprenons pas? Ceci est la question du jour que chaque haïtien a besoin de répondre.

Depuis le jour de notre existence, depuis le jour que nous sommes devenus une nation, nous avons pratiqué la même médiocrité pareille. Si quelqu’un est au pouvoir et que nous ne l’aimons pas, automatiquement il ou elle doit aller. Prenez un exemple parfait, mesdames et messieurs, le Président George W. Bush était un président accidentel. Il a gagne un vote frauduleux dans l'état de Floride; le pays entier déteste toujours la façon dont il a pris le pouvoir. Cependant, en même temps, les Américains ne laisseraient pas cette erreur déstabiliser le procédé, la dignité de leur Démocratie.

Changer le président Aristide et le remplacer aujourd'hui avec quelqu'un d’autre demain n'arrêtera pas autrement l'hémorragie de ce pays. Le changement d’Aristide n'est pas l'explication précise du procédé pour la démocratie. Remplacer le Premier ministre avec quelqu'un d’autre n’est pas autrement la résolution de l'avenir de ce pays. Cependant, pour vraiment éloigner Haïti de ses ennemis politiques, nous avons besoin d'examiner notre propre comportement vis-à-vis de notre loyauté à ce pays. Quel Haïti exige-t-il aujourd'hui n'est pas un changement de gouvernement mais une révolution dans notre mentalité. Ce changement dans la mentalité est le point le plus important que nous avons besoin d'adresser aujourd'hui. Si nous transformons la mentalité néo-colonialiste qui a été incarnée dans notre procédé cognitif depuis des milliers d'années et l'altérons à une mentalité plus nouvelle et plus saine a l’intention d’améliorer la nation entière, nous ne ferons plus face au dilemme que nous avons aujourd'hui.

Si nous amendons notre mentalité d'égoïsme, l'avidité, l'hypocrisie, la haine et les mensonges, et le tourner ver une histoire positive, nous n’exigerons plus un président de quitter le pouvoir sans avoir atteint la fin de son terme. Souvenez-vous que le procédé de la démocratie ne se lève pas de l'intolérance. Si nous voulons sincèrement faire avancer ce pays, nous devons être patients avec l'un l'autre. Au lieu de crier à haute voix pour changer notre présidant prématurément a chaque heure, nous avons besoin premièrement de déployer notre énergie pour combattre notre procédé cognitif néo-colonialiste. Sur cette note, j'aimerais souhaiter un heureux Deux cent années d'Indépendance le premier janvier 2004 à tous les Haïtiens. Arrêter la violence et que la paix soit à vous tous!

Vous pouvez certainement m’ecricre a cette addresse romau1@yahoo.fr afin de me faire savoir ce que vous pensez de ce site

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