Le Ministère de la Culture fait deux choses pour les arts desquels j’ai disctué: il institute les écoles et universités où on peut étudier les arts, et il consacre les fonds aux arts chaque année. Il semblait (possiblement) que l’administration français consacre plus d’argent aux arts que l’administration aux États-Unis. En tout cas, il donne plus des fonds couramment qu’aux années quatre-vingts; en fait, le nombre a doublé de 1984--vers 5,4 millards francs--à 1993--vers 9 millards francs (Culture et recherché n.64). Auparavant, les arts étaient plus indépendants et l’administration le laissait longstops parce qu’il semblait que les deux ne pourraient pas collaborer effectivement. À propos des arts de la rue en particulier, ils sont pour la plupart completement indépendants comme le statut des troupes eux-mêmes change toujours et et donc ils s’appuyent principalement sur la vente des spectacles et les fêtes annuaires. La publique qui assiste aux spectacles du théâtre ou de la musique etc. est généralement les cadres et professions intellectuelles supérieures et les retraités. Les spectateurs aussi sont plus fréquemment féminins et assez âgés. Les inhabitants des villes assitent plus que les autres, quoique l’assistance provençal a monté recemment grâce aux programmes du décentralisation.
