Le Maroc s’avère être une contrée de la terre africaine du Nord aussi appelée l’Afrique blanche. Il est difficile de visiter ce pays sans voir des choses que l’on ne savait pas précédemment. L’année 2010, le royaume a abrité pas moins de dix millions de touristes en tout, le plus souvent au sein de le Riad à Marrakech (www.riad-2000.com/2008/09/riad-dar-ilham-laissez-vous-porter-par-la-beaute-majestueuse-de-cette-demeure/). L’office marocain du tourisme met de nombreuses processus en place afin que la villégiature continue de générer des revenus. Au nombre des processus que l’Office du tourisme supervise, on doit compter l’opération de communication qui a été diffusée. Il y’a longtemps l’on voyait particulièrement les riads au cœur des anciennes médinas, progressivement, ils se sont étendus pour se trouver dans plusieurs quartiers dans les cités.
L’on trouve les anciens marchés et la maison d’hôte à Marrakech, riad alrimal , se positionne comme l’image de marque de la contrée du fait que l’on y profite de la vie comme il y’a plusieurs siècles , avec en plus des touches de la vie contemporaine. Les souks sont des centres commerciaux qui sont installés sporadiquement, ce sont généralement des endroits de fête. Chaque année la perle du sud abrite plusieurs salons. Les souks sont très souvent installés en plein air pourtant à l’intérieur de l’ancienne médina plusieurs sont dans des locaux. Ceci dans l’objectif de faire visiter la ville et d’agrandir le taux de visites que Marrakech reçoit chaque année. Vu le nombre de vacanciers qui arrive chaque année, cela fonctionne.
L’on trouve au sein des marchés orientaux le maximum de ce que la population acquiert : la nourriture, les chaussures, les bracelets et bagues et des fois des animaux vivants. Les gens des villages viennent dans les marchés traditionnels pour se débarrasser du complément de provisions qu’ils recueillent. Les commerçants sont classés par branches, c’est-à-dire que les distributeurs de nourriture se retrouvent dans la même zone du marché oriental et les vendeurs de bijoux font de même. Les quelques branches sont structurées, on détermine pour le faire une hiérarchie où l’on a des mâalems , ces derniers sont classés comme des enseignants de l’artisanat qui jugent le travail des apprentis. À la tête de la chaîne on trouve les amines qui sont votés pour réguler la filière, ils interviennent comme des médiateurs qui solutionnent les disputes entre les détaillants et les clients ou les producteurs.