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La suite

Bon j’y vais pour un autre boute de nous somme rendu en 2002-11-07 j’ai maintenant 37 ans je ne fume plus depuis le 2002-09-04 et oui je me suis fais un superbe cadeau depuis c’est sport sport et sport et beaucoup de changement dans ma vie que je vous raconterais au fur et à mesure dans l’ordre chronologique bien sur.

Bon, nous étions rendu à Saint Michel des Saints, Lorsque je suis arrivé il faisait nuit, c'était froid, je suis entré dans un grand dortoir bondé de lit superposé un peu cela me donnais l'impression d'un camp d'armé. Je me suis couché pour me réveiller loin de mes problème, avec un soleil et un ciel bleu comme les couverture des magasines. C’était un beau matin, marchant sur le bord des quais l’air froid du lac Taureau emplissait mes poumons quand une vois s'exclame; si tu vient pas tu va te passer de déjeuner! C’était vraiment beau. j'ai ce matin en mémoire, l'été quand je me lève tôt et qu'il fait beau que je vais prendre mon café à l'extérieure, j'y pence encore aujourd'hui au moment ou je vous écris ce texte je n’ai aucune photo de « La Tanière Yogi » je viens tout juste de communiquer avec le frère de Jacques Doré ( François ) pour en avoir et les incorporer au texte . À la tanière nous avions droit à un dollar ou un paquet de cigarette par jour. La bouffe était abondante nul besoin de se cacher pour manger Hélène était une très bonne cuisinière Jacques aussi à ces heures ( en expédition cet homme pouvait vous concocter une gibelotte... tous en redemandaient. Nous étions en plaine nature pour l’instant les activités n’était pas vraiment au rendez-vous bon avec le temps bricolage, pool, tir à l’arc, Fusil à plomb, les couleuvres. nous occupions nos journées. J'étais assez refermé sur moi même, les jeunes qui étaient la n'avais pas vraiment les mêmes problème que moi, tout ce qui importait ne pas déranger, faire plaisir aux gens qui me garde, chaque journée passé loin de ma mère était une victoire.

Il y avait une chèvre Biquette deux chiens Looky un Labrador Noir et Ginger Une Malamuth Blanche,  nerveuse et très mauvaise (territorial) elle avait une jumelle, Nanouk, qui vivait dans un chalet voisin. Elle la souvent dévoré, j'avais jamais vu des chiens se battre ainsi. Nanouk était du genre très baveuse, elle n'était jamais attaché et venait sur notre terrain Ginger est souvent partie avec sa cabane ce n'était pas très beau à voir. Même si j'avais très peur de Ginger nous somme devenu un peu copain. Looky était beaucoup plus facile à approcher, je l'aimais bien. Malheureusement un jour de canicule, Looky c'était réfugié à l'ombre sous notre autobus, après avoir demandé mainte fois  Looky de sortir Jacques à reculé L'autobus il est décédé écraser par notre autobus sous les yeux horrifiés des tous  

Loin de penser à ma mère, après seulement une ou deux semaines ! un beau matin Hélène Dubuc vient me trouver et me dis, (tu as un téléphone…!) la panique, le cœur pompe plus d'un un coup c’était ma mère « reviens donc à la maison tu va être bien mieux ici avec nous bla bla bla » ben non maman je reviens pas, cruel mais sage décision. Il y avait plusieurs jeunes don je me souvient encore les noms aujourd’hui; Sylvain Duhem, Ricky Bédard, Claude Légaré, Michel Lépine, Marc Vaillancourt et Michel Labé les autre n’ont pas resté assez longtemps pour en parler. il y avait aussi une fille côté look c’était l’enfer, très belle mais le problème, c’est qu’elle aussi le savait. j’étais toujours avec elle, je crois que cela dérangeaient les autres, j’étais du genre plutôt petit et maigre, ils m’ont traité Des noms de toute sorte, je ne me défendais pas pis de toute façons tout le monde me faisais peur. Un jour ou Éric Doré fil de Jacques me dit « hey Pascal viens me voir ici » (çé lui qui m’avais montré à fumé pis j’avais confiance en lui) il me dis « pourquoi tu te laisse écoeurer par les autres ? Entre autre par Ricky Bédard, y’é plus petit que toé ». Ricky portait des Jeans, une chemise de chasse pis des bottes de travail, le kit du vrai bum, pis j’en avais peur. éric me dit « tu va l’appeler pis lui dire que tu va lui crisser une volée » ha ha ben oui laisse moi rire, je lui dis. « Non non je serais la si sa tourne mal me dit-il » ok, j’appel Ricky , mon coeur bat sans bon sens « hey Ricky vient ici » quoi, « je veux te crisser une volée » ha ha!  Il s'approche, pas le temps de penser,  je fonce comme me l’a conseillé Éric et je frappe comme un fou sur tout ce qui s’appelait Ricky Bédard, tellement qu’Éric a du nous séparer. Ricky est parti la queue entre les jambes, mais sur de lui; il pence que ce n’était qu’un coup de chance ou de surprise, il s’est essayé à nouveau sans succès. Pauvre Ricky nous somme finalement devenu ami avec le temps,

  • (aujourd’hui je ne sais pas ce qu’il est devenu. et de toute façon je n'ai jamais revu qui que se soit de mon enfance)

Sylvain Duhem était tant qua moi un trou de cul, prétentieux du genre regarde moi quand je passe sinon je te criss une volée, le genre de gars que j’aimerais rencontré aujourd’hui. Marc Vaillancourt le genre patient,  lui aussi était soudeur et bon bricoleur, sur de lui c’était le tombeur du groupe, toujours bien entouré à l’école. il était bon en canot, très courageux, je dirais même un peu tête brûlé. Claude Légaré, un mouton, un suiveur, il était collé à Ricky Bédard, tout leurs coup ils les fessaient ensemble, pas capable de rien faire seul, aucune initiative et tellement influençable. Michel Labé, je me suis toujours demandé ce qu’il faisait avec nous,  enfant de riche trop gâté, assez cool le gars toujours très propre presque tapette sur les bord, jamais eu de problème avec lui, Michel Lépine, lui je ne suis pas très sur de son nom. si moi j’étais maigre, lui en plus il était très petit mais nerveux comme dix. Il aurait défier n’importe qui même, Jacques Doré qui était très corpulent. Un jour il lui a tapé la gueule devant tous les autre, méchant malade. De la, la raison pour la quelle j'ai de la difficulté à me souvenir de son nom, y'a pas du rester très longtemps chez nous. Il y avait aussi avec nous les enfant Doré; Éric Doré, ci-haut, cool le gars il avait ses problèmes et ne s’occupait pas trop des autre aimait s’obstiné avec son frère Christian, l’enfant gâté de la famille et finalement Katia sourde il y a eu aussi Serge lui aussi sourd de naissance il aimait bien fumer un bon joint à l'occasion. Éric un beau matin à la cafétéria, m’a dit « tu vois Serge à l’autre table, ben lui on l’appel le Mouton » Serge avait un afro mais n’aimais pas se faire traiter de mouton je l’ai su assez vite. Merci Éric, LoL… 

Jacques à trouvé moyen de rentabiliser un peu l'endroit, il organisait des expéditions de canot avec des groupe de cégep et même une colonie de vacance. À cela c'est ajouté de nouveau éducateur manche de pelle je ne me souviens pas de son vrai nom et Laura il devait y en avoir d'autre mais pas sur. Super des filles et des filles, fuck un choix débile, mais tellement niaiseux un soir de tombola que nous avion organisé, j’ai demandé à une éducatrice « Lisa Graziano » si elle voulait danser avec moi, elle m’a dit pourquoi tu ne demande pas à ma petite sœur « Lucie Graziano », ce que j’ai fais et de plus nous somme tombé en amour, wow! des tétons full la face pis un corps de… super fine nous avons été ensemble dans les mêmes expéditions même couché dans la même tente (mise à part une petite branlette on a rien fait). Un bon soir nous avons traversé dans leur unité en passant par les fenêtres qui donnait sur l'arrière de la bâtisse, ça faite de la merde pas pour rire mais bon nous avons eu beaucoup de plaisir ensemble. à la fin de été lorsqu’elle est retourné chez ses parents, nous avons correspondu tout l’hiver, ben je crois deux lettres même que Jacques doré m'avait un peu aidé. J’ai même pu l’appeler à noël, nous avons organisé un rendez-vous en ville. J’ai pu allez coucher chez elle à Chomédé Laval,  nous somme allez au cinéma. Quand venait le temps de ce quitter, je laissais passer les autobus un à un, serré l’un contre l’autre, le membre bien durci elle m’a demandé, «as-tu déjà coucher avec une fille…» « ben ouiiii » je lui répondis ( maudis menteur ) une autre fois c’est chez l’ex femme à Jacques Doré à Laval des Rapides, Lise, il y avait foule au sous-sol j’ai demandé à Éric Doré si je pouvais utiliser sa chambre « si tu ne beurre pas les drap y’a pas de problème » me répondit-il. Alors j’étais certain qu’il n’y avait pas de problème, que j’avais carte blanche. cette soirée fût une des plus marquante de mon adolescence. Lucie avait une salopette en jeans, j’ai presque oublié d’enlever ces bas culotte, et … ( fuck les préliminaires, en moins d’une minute j’essayais de la monter comme une bête, bandé comme un cheval rien à faire ça rentre pas, ça plis ) elle me dit « on peut recommencer un autre jour », « non, non, j'v'a l'avoir une minute ». La lumière s’allume dans la chambre, un des invité qui était un peu (gelé, bosé) descend au sous-sol et crie, hey man, Pascal y’é en train de fourré sa blonde dans ton lit. ( cool, Marci le cave ) Tout le monde est arrivé à grand pas dans la chambre, Lucie à demi nue, Éric lui criait des bêtises, « t’é une salope on va te poursuivre pour détournement de mineur » elle n’avait que 17 ans, j’ai plus l’impression qu’il à capoté de voir que le petit crétin, qui avait de la misère à ce défendre, gros comme un poux, pouvais être au lit avec une si belle fille. J’avais beau crier de ce la fermer il continuait Lucie c’est lever à moitié nue devant tous elle c’est habillé et est sortie de ma vie le lendemain au téléphone elle me dit c’est fini

  • ma morale; je n’ai pas perdu Lucie parce que je ne savais pas comment, ou parce que Éric lui avait crié par la tête, mais simplement parce que je lui avait mentis. Du moins c’est ce que j’en ai déduis, Une leçon de vie plutôt dure à prendre mais bon en suite j’ai rencontré Lucie plusieurs années plus tard à la St Jean Batiste dans le vieux Montréal elle m’a embrassé, demandé si j’avais appris… LoL… ( un peu moins niaiseux on assaille.. )

Lorsque je suis rentré à La Tanière Yogi, Hélène Dubuc m’a posé plein de question pour savoir ce qui c’était réellement passé. Je lui ai avoué ne rien avoir fais de très sérieux. Elle m’a dit de garder cela entre nous, les autre n’avaient pas à savoir si oui ou non ou comment je l’avais fais. je crois qu’elle était très inquiète de savoir si Lucie n’était pas enceinte mais d'un autre côté presque fière pour moi. Le temps passait, l’école devenait de plus en plus difficile, comme toujours je trippe sur des tas de fille à l’école, une seule amie une fille du village, Manon, petite et mince très délicate mais pas plus blonde que ça, les rapport était plutôt du genre ami amie

Ha oui! J’ai omis de vous dire, les gens du village n’aimaient pas la Tanière Yogi et pour cause. Avant mon arrivé, la Tanière existait déjà depuis quelque année. Les jeunes avaient fais beaucoup de ravage dans la région, surtout local, les chalets, vol, vandalisme etc.… Même à mon époque; je vous parlais plus tôt de Ricky Bédard et Claude Légaré, ils ont voulus un jour fuir la Tanière. Ils ont marché jusqu’au village et défoncé les vitres du RONA, (quincaillerie et article de sport) ils ont volé des vélos mais se sont fais prendre en chemin pour Montréal. Jacques avait à cœur ses jeunes, il a du allez a mainte reprise en cour pour Claude et Ricky et bien d’autres, non je ne fessais pas parti du groupe. À La Tanière Yogi, je dois dire que j’ai toujours été un enfant exemplaire sauf pour ce qui est de l’école, j’étais plutôt du genre bouffon de classe, c’était la, la manière que j'avais pour extérioriser mes frustrations personnel. Nous avions une sœur comme  enseignante en Math et religion si ma mémoire est bonne. Elle se souvient sûrement encore de moi aujourd’hui, j'ai été méchant à son égard et dis des paroles...  je me souvient de quelques collègues de classe Simon, ( Simon templar) cool le gars un chum. Bruno, ( Bruno le chien ) son père est décédé de façon plutôt tragique, écrasé sous la remorque de son camion tracteur. Pizza, un grand roux dans la phase d'acné. Sarrasin un gros qui se lavait pas beaucoup. Serge, (Le singe) il était très poilu aujourd'hui décédé (j'ai su par Simon 13 ans plus tard lors d'une visite qu'il s'était suicidé), Andrée Marion, la plus belle fille de ma classe, elle avait une façon de s'étirer sur sa chaise, les deux bras vers l'arrière, les seins bien en avant, pas trop petit, pas trop gros, hum.. hum... attachez moi quelqu'un. encore la trop con pour lui dire. Andrée j'étais en amour!    

        

(mon école) 

École secondaire des Montagnes
290, rue Brassard, Saint-Michel-des-Saints (Québec)  J0K 3B0
Tél.: (450) 833-5262  Télécopieur: (450) 833-5056
Courriel: Montagnes@cssamares.qc.ca

 

 

 

 

 

De toute les activité, le festival de la chasse fut vraiment le plus beau, malheureusement il ne se fait plus ou plutôt ne s’est pas fait pendant plusieurs années, il était très gros pour un si petit village. Plein de char allégorique et j’y ai même participé une année déguisé en clown, il est possible de voir un peu d’histoire de Saint-michel des Saints sur le site suivant, même d'y voir des photos de parade comme celle don je vous parle ici

   

Finissez de lire avant merci

http://www.satelcom.qc.ca/stignace/index.html

http://www.geocities.com/st-ignace/index.html

ces site mérite un attention, si vous aimé l’histoire du Québec.

 

finalement c’est fini, ont déménage, après avoir eu selon les dire de Jacques Doré, des problèmes avec un de nos voisin. Qui aurait bien aimé acheter le terrain de la Maislin Bros, ( La tanière Yogi ) mais n’avait pas la liquidité. Alors il a fait tout ce qui a été humainement possible pour détériorer les bâtiments de la Maislin Bros, comme; de déterrer les tuyaux d’eau en plein hivers, fermé les valves. Lorsque Jacques a quitté les lieux ont été vandalisé de façon a ce que les bâtiment se détériore plus rapidement comme; des trou dans les toits, fenêtres fracassé et plus... Le terrain a vite perdu de la valeur et a été acheté pour moins que la valeur réel du terrain seul par monsieur Rondeau lui-même. Es-ce vrais? je ne saurais dire, mais il est très vrais que nous avons vécus plusieurs problèmes inexplicables et les dires de Monsieur Jacques Doré semblaient très probables. Le déménagement, un déménagement très rapide et nous avons fait le voyage dans la boite du camion, pas besoin de vous dire que j’étais très nerveux. Arrivé à Vimont Laval, tout était en construction dans le cartier, un très beau cartier d'ailleurs. J’ais vite senti que l’on ne resterait pas tous ici très longtemps vu la quantité limité de chambre.  je me suis vite ramassé dans un Habitat soleil Wow «  pourquoi moi… j’ai toujours été fin… j’ai jamais… pis j’ai toujours… » Mais je n’étais pas une réussite scolaire et de plus j'étais le mouton noir que les autres n'aimaient pas, bon honnêtement j’ai jamais vraiment compris le pourquoi. Pissst.. je ne veux pas le savoir non plus... Ce que j’aimais de la Tanière Yogi, était déjà très loin, la nature, le lac, les grands espaces.

 

Habitat Soleil …. Oui sur la rue De L’ormier à Montréal. Oui ben la, les petit vol de vélo, le vandalisme hum… excitant, les sorties de nuit, les entrée gratuite au parc Belmont, la baise, ben oui j’ai rencontré une fille Line Leclerc un peu ronde mais bien cochonne ok beaucoup de frottage et d’enfantillage surtout dans les hale d'entré mais à plusieurs occasion une bonne baise sur le divan, la chaise berçante, et même le lit. C’était une bonne fille issu d’une famille plutôt très pauvre. Son père était chauffeur de taxi lorsqu’il n’était pas ivre. Il était bien gentil sa mère était aussi très gentille. J’ai été invité au jour de l’an dans leur famille et à quelques reprises au chalet à St Calixte. Toute bonne chose a une fin, mon travailleur social vient me dire qu’il m’a trouvé un autre foyer car ma place n’était pas ici avec ces jeunes délinquants mais dans la nature. Bon ok ils ne sont pas dans le nord, ils vivent à Laval, ben à Bois des Filions au nord de Laval. Ils vont à toute les fins de semaine au camping, « Aux  Bouleaux Argentés » (c’est à Saint Jean de Matha. À première vue, je ne les aimaient pas plus qu’il faut. je ne me souvient même pas de leur nom c’est vous dire comme je les aimai vraiment. Elle une grosse femme ben… on dirait une Drag Queen mal rasé, pis lui fumait la pipe, dégueu le Capitaine Black. Il se promenaient dans un gros Oldsmobile Delta 88. Il demeuraient sur le chemin du cimetière, face au cimetière, deux bloques appartement, seuls, au milieux de nulle part. pour ceux qui connaisse la place, c’est juste de l’autre côté du pont David, ( j'était la quand le vrai pont David à brûler) en direction de l’autoroute 640. ils sont la sur la gauche, la seule raison qui me tenais la, était ma voisine un superbe de belle créature pis trop con pour y dire, la crouser  ( courtiser ), je ne faisais rien de trop apparent de peur qu’elle pence que je la crouse. J’allais à la polyvalente Curé Antoine Labelle,

 

 

École secondaire Curé-Antoine Labelle

Jean-Pierre Gagnon, directeur

Tél. : (450) 662-7000 poste : 3599
Télec. : (450) 628-2853

216, boul. Marc-Aurèle-Fortin

(Sainte-Rose)

Laval, (Québec)

H7L 1Z5

 

 une super de grosse école. La seule fois que je n’avais pas trop de problème en français, mon professeur mesurait 6,2 et n’attendait pas à rire, quoi qu’il fût très gentil. Je ne me souviens pas non plus de son nom, heu, c’est sûrement la drogue, youhoo! Ceux qui disent que le pot est une drogue sans danger… c’est la seule époque que j’ai vraiment de la misère à me souvenir, en tout les cas… Y’avait aussi un autre fille dans ma classe, d’un drôle de nom, mais tellement bien roulé. Lizon ou Suson Doré ??? Je ne suis pas très sure mais j’ai même pris un cour en couture, juste pour être dans ça classe. Je crois quelle ne sait jamais douté de rien, encore une fois j’était pas déniaisé. Avec le temps les choses se sont corsées quelque peu. Ce couple d’introverti n’était pas vraiment propre. Chaque fois qu’ont arrivait du camping, les mouche qui avait dans la cuisine… la vaisselle pas faite… pis de toute façon les règlements stupides et enfantins. Seule comme enfant, c’était aussi très ennuyant comme environnement. Chaque fois qu’ont allait au camping, j’allais aider le voisin en face du camping, M. Claude Nadeau. Un homme fière et orgueilleux, peu m’importe l’ouvrage qu’il y avait à faire, j’étais là pour l’aider. Il aimait bien ça et moi de même. Jean Claude Nadeau, son fils gâté par son père raisonnablement mais pas trop par la nature. Un peu bedonnant Jean Claude n’était pas très populaire au près de la gente féminine. Il était un super chum, pas égoïste pour un enfant unique. Il aimait être avec moi, sur le camping j’avais un bon succès avec les filles. Pourtant je ne faisais rien j’étais ben plus du genre Niaiseux, les filles se parlaient entre elles va savoir de quoi ? Son cousin Patrick en sait quelque chose. À chaque fois qu’il me présentait une fille qui sortait avec lui, je ne sais pas pourquoi, mais je finissais avec… pourtant je considérais Patrick bien plus belle homme que moi « Homme Wow 16 ans… » Bon ok des amourette d’été là, y’a jamais rien eu de sérieux, j’avais connu la baise avec Line Leclerc mais aucune de celles-ci n’y étaient intéressées et me trouvaient trop vite en affaire. Un jour je me promenais avec une fille, Sylvie Robert, elle demeurait sur la rue du même nom à Montréal Nord. La raison pour la quelle je me souviens particulièrement d’elle, viens de son père. Nous nous promenions dans les allés du camping, Aux Bouleaux Argentés. Tout à coup, j’entends des pas pesants et rapides arriver derrière, pas le temps de me retourner, j’étais déjà deux pieds dans les air. « Oui j’exagère un peu, mais criss que ça fais mal ». Le bohomme m’a ramassé un coup de pied au cul «  strick one!» Oui monsieur, « tu va enlever la main de sur le cul de ma fille. » Yo! J’avais seulement la main dans sa poche, Monsieur Nadeau n’appréciait pas vraiment ce genre d’amourette il me disais « l’autre, le sait-elle que tu ne sors plus avec elle, avant d’allez avec une autre » vers la fin de l’été nous allions dans un autre camping « Le Globe Trotteur » en moto le minitrail Honda CT70 de Jean-Claude. J’y ai rencontré un belle rousse, mais la encore je n’ais pas pu savoir si elle étais rousse de partout. De tout les foyer d’accueil M. Nadeau quoi qu’il puisse en penser aujourd’hui, était et restera le seul ou j’ai vraiment senti être aimé et éduqué, de la bonne façon. M. Nadeau était un homme droit, mme Nadeau une femme qui se faisait discrète, très dévouée pour sa famille, douce et plein d’amour par-dessus toute une cuisinière que tous voudrait avoir. finalement une famille formidable. J’avais tous pour réussir, sauf la volonté. Oui si je ne m’en suis pas sorti mieux c’est de ma très grand faute. Bon nous ne somme toutefois pas rendu la encore, alors ne brûlons pas les étapes. Monsieur Nadeau m’avait dis qu’il seraient prêt, lui et sa femme bien entendu, à me prendre sous leur toit, que je n’avais qu’a appeler et il viendrait me chercher. Ok pas si simple, un soir c’est la panique j’appel mon travailleur social « on ne peu pas te changer de foyer comme ça, bla bla bla, bon finalement le même soir j’étais chez Monsieur Nadeau et fière déjà d’y être. Tout va très bien bon toujours mon petit côté rebelle à l’école mes notes en souffre Beaucoup. J’était à l’école sur la rue folum à Montréal, un peu plus vieux que la majorité j’étais aussi un peu plus baveux et sur de moi. Un gars, Sylvain Petit, mon seul rival, a su que je ne l’aimais pas. Après une petite erreur de sa part au cour de gym, il m’a lancé le ballon de basquet ball dans les partis. Après m’en être vite remis dans la salle d’habillage je lui ais foutu un bon coup de poing à la mâchoire, il est parti en courant jusque dans le bureau du Dic (Directeur) Ma mère n’aimait pas le fait que je sois si bien loin de la maison, Je me suis vite ramassé au Mont St Antoine.

 

 

Le Mont, une vrai place de baveux pis de « rof and tuf », t’sé le genre regarde moé, je suis plus cave que toé. La semaine j’étais au Mont et la fin de semaine au chalet des Nadeau. Juste l’initiation te donnait le goût de ne pas y être, d’ ailleurs ce fût la dernière qu’ils aient faite. J’avais mal pris que l’on me roue « d’coup poing » en guise de bienvenue. Un vielle ami, Michel Labé y était aussi, de la Tanière Yogi. Le Mont, communément appelé, était une place qui avait de l’âge, presque une prison, le nec plus ultra de la débauche. Quand tu avais fais le Mont tu étais tout un homme ( bandit serait plus exacte ) J’étais dans le pavillon l’Equinoxe, je suis déjà passé par ici il y a quelques années, dans le pavillon Mont Joli, mais seulement pour deux ou trois jours, pas assez pour en parler, en attente d’une place plus convenable, juste avant Saint Donat. Je m’ennuyais beaucoup car je sortais avec Chantal Contois, une fille du camping qui demeurait à St Félix de Valois. Une vrais poupée, une peau si douce, blanche, cheveux bouclé, innocente et indépendante à la fois. Un soir Chantal m’a invité à venir la rejoindre, tout près du village dans une maison où elle gardait. On a eu beaucoup de plaisir, avec elle c’étais toujours plaisant mais quand les parents sont arrivés, plus tôt que prévu, ça été « vite, grouille, le linge, les running, vite, dehors, par la porte patio, pis ne te fais pas voir, je t’aime. » Après un certain temps, le Mont, j’en pouvais plus. J’ai fais plusieurs requête infructueuses au près de mon travailleur social, pour retourné chez la famille Nadeau. Mais un beau jour, il vient me voir et me dit; « cette place n’est pas pour toi tu retourne chez la famille Nadeau », « yes ! »  Le temps de me trouver une bonne école, cette fois plus près de la maison. La polyvalente Édouard Mont Petit, une très belle école dans l’est de Montréal sur la rue Hochelaga. J’avais beaucoup d’amis à cette école, dans une classe de PC2 (de récuperation) je n’étais pas seul à avoir des problèmes et je me sentais bien à ma place dans cette classe. Je dînais à l’école et nous allions à la salle de quille non loin de là. Il y avait des arcades, une belle place pour flâner. Une après midi avec un collègue de classe, j’ai fumé un joint de pot (de la feuille de pot, wow). Quand nous somme entré en classe j’avais un cours de français et comme à chaque fois je dormais car je trouvais le temps très long et les profs de français crissement ennuyant. Aujourd’hui je regrette un peu, qui aurait dit qu’un jour j’écrirais un livre, ben pas moi. La fille derrière moi Nathalie me réveille et dit qu’avez vous fais, (X) est tout vert, il était vert comme l’incroyable Hulk. Je me suis regarder, j’étais ok et me suis rendormis.

          

 En passant cette fille était un des plus belle de la classe, je l’aimais vraiment mais trop con pour lui dire, je ne suis pas certain de son nom mais Nathalie me vient en tête. Pourtant je l’ais même déjà accompagné chez elle à quelques reprise mais c’est tout es-ce encore les effets de la drogue.

 

Il y avait aussi Colette, Colette avait beaucoup d’acné, aussi deux beaux boutons sur les tétons. Un jour elle portait une chemise grise sans brassière je lui ai fais savoir quelle me faisait un peu bander, avec elle s’étais plus facile de parler directement et elle avait un de ces corps. une fille que je respectais comme amie une vrais ( Lucie et sa sœur Sylvie ) à l’école nous avions une activité d’organisé, une journée de plein air en ski mais elle et ses parents devais allez au mont Suttun dans les Cantons de L’est, une super de belle place et elle me demande si j’avais déjà fais du ski alpin sans hésiter « oui pis j’aime ça, j’en ais fais à Saint Michel des Saints au mont Trinité » LoL… ceux qui connaissent le mont Trinité doivent bien rires j’ai canceller mon activité pour allez avec eux, super le voyage ! mais quand nous sommes arrivés, du bas de la montagne on ne voyais rien, il neigeait, elle me dis alors « par ou on commence? L’intermédiaire ? »...« Pourquoi pas » nous embarquons, c'est la première fois que je prends un chair lift, au mont Trinité il n’y avait que des T Bar mais bon pas de problème. Après un certain temps … « on arrive quand ? C’est haut !... Comment on débarque de ce machin là » ? Arrivés à destination dans l’intermédiaire il y avait des « moggles » de la bosse « plutôt des montagnes » une journée qui a commencé très mal elle c’est vite rendu compte de quel niveau j’étais, frustré elle a déballée la pente me laissant seul avec son père, qui a fini comme instructeur pauvre de lui « non il a été très patient » et un bon prof à la fin de la journée nous avons fini au sommet yes yes yes! 15’ pieds, par 15’ pieds, à la fois mais nous l’avons fais. J’étais très fière de ma journée malgré tout, dans une des dernière descente, son père me dit « ok on se rejoint en bas. » J’ai voulu jouer au plus malin, en boule j’ai pris de la vitesse pour me retrouver à nouveau dans une section « muggles », ne sachant pas très bien freiner, j’ai fais un saut en chasse neige pour me retrouver sur le dos. Son père qui avait vu l’action de loin vin à ma rencontre, et me dit « es-tu correct ?» après lu avoir fais un rot énorme, « ça va allez » « tu dois embarquer sur tes ski et continuer car après une chute comme ça tu risque d’avoir peur et de ne plus faire de ski si tu ne continue pas tout de suite ».

 

            À l’époque Je me tenais avec Luc Fortier et son frère Marc-andré, nous avons fais beaucoup de mauvais coup ensemble, notre shopping qu’on appelais, nos sortis dans les ruelles et les entrées de block à six logement, j’ais pas vraiment le goût de tout vendre ici, nous en avons fais des belles. Nous allions aussi au Skadium sur le boulevard Viau dans l’Est de Montréal, j’aimais bien le patin à roulette, le Skadium une belle place pour la crouse. J’ai rencontré une criss de belle fille, elle aussi j’ai oublié (son nom), elle restait à Laval ouest dans une famille d'accueil elle aussi. Ce n’est pas une place pour ce trouver des blondes, juste pour allez la voir, le trajet en autobus, c’est l’enfer, c’est long et cher. Nous sortions à la Récréathèque elle était d’une classe à part. Marc lui avait dit que j’avais 17ans, ce n’était pas vrais, elle aussi m’a laissé pour un mensonge. Mme Nadeau a pensé qu’il serait important d’aller chez le Dentiste avant mes 17 ans la carte soleil ne couvre plus les dents après cette âge, toute une job d’excavation. des semaines et des semaines

           

Un jour j’ais eu un coup de fil d’une ancienne blonde, Line Leclerc et nous avons tout simplement continué ou nous étions rendu, C'est-à-dire; le frottage, les enfantillages et la baise occasionnelle. Line Leclerc est venu faire son tour chez le cousin de Jean-Claude ( Patrick ), qui lui sortait avec une Line Turpin. Ben la ç’est fort, je lui ai encore piqué sa blonde pis lui la mienne on a comme fait un échange. Bien non ce n’est pas drôle du tout, je crois même avoir du payer pour cette connerie la un jour. Plus tard vous saurez… Ben ça pas duré longtemps, une affaire de deux ou trois semaines, le temps de se rendre compte que finalement j’étais pas grand-chose pis côté prévision ça ne s’annonçait pas vraiment mieux. Délinquant, pas de famille pas plus d’éducation, c’est dure de bâtir du solide avec des fondations frêles. Passons, l’école devient de plus en plus une corvée, totalement inutile à ce stade de ma vie, je ne comprends et ne veux rien comprendre.

 

Aujourd’hui si un jeune avait les mêmes problèmes, je crois fortement que je serais très insistant sur son retour à l’école pour plus tard, pas que je n’aime ce que je suis devenu, mais j’aurais sûrement pu avoir la vie plus facile si j’avais étudié un peu. Car je suis retourné aux adultes, bon je n’ais pas fini mon Sec V mais j’ais grandement amélioré mon français de tout façon pour moi c’était là la seule raison